II, Theaterstücke 9, (Der grüne Kakadu. Drei Einakter, 3), Der grüne Kakadu. Groteske in einem Akt, Seite 41

Kakadu
box 15/1
ruene
9. 3. Der eneeeeee
&e Otgare

P antun ar
Pour finir, Au Verroquet vert, une
curieuse pièce qui a au moins le méritel
K N A Te
de la nouveauté. Nous sommes, le 14 juil-
let 1789, dans le caberce du & Perroquet
PARls
7
vert v. Gest une sorte de bouge ou la
ait

noblesse vient Chercher parmi les pires
8
canailles des sensations inédites. Pros¬
se
per, le patron de cet étrange établisse¬
s6.
ment recrute des individus qui passent
et
aux yeux de la noble clientèle pour des
58
malandrins, des voleurs, des assassins.
de
Ils sont payés pour raconter des forfa
ait
imaginaires terribles et donner le
te¬
frisson aux seigneurs et aux b
SO-
mes blasées. L’originalité et lat
re, Vgestle mélange salsissant dust
*
ste
du réel: un véritable assassin
P
tire
lement & refroidi s sa tante, mi
0
s et
ignore l’art de dramatiser une histoire,
mie
est traité d’ d amateurb et conspué par
1Tassistance, tandis que celle-ci nest pas 1
éloignée de croire à Pauthenticité du poi¬
Jui
gnant récit que lui fait le célèbre acteur
pour terroriser son
118
Didier. Get acte
nvente un drame saisis¬
st
„ public de choix,i

ulil vient de t
sant: il racon
a
t#
1 a surpris ar
duc de Cadigna
Mlebre comédienne.
femme Léocadit
I1.
Ille fait avectantide vérité, de désespoir,
62
ulés, que
4 8
de fureur, d’égar
y laisse
in
Prosper Jui-méme,
ur
prendre.
ue nous
CI-
Tun'ignoraisd
de
ng. Isavions tous? Jui dit
r. Hap¬
C’est une révélat
ahison
ys.
an Lprend ainsi-querla#
mme
stl.1 de sa femme, per
in6
ne- Eprétexte à jouer
1
ichose vraie, conn
dur
accès de colère# ter
re.
duc de Cadignan,
ine
sarroi et le tumult
lle,
ard kcomble par Tarrivt
der I. volutionnaires, Wwre
t
nent annoncer la pri
rer
se ruent sur la petite
on3
seigneurs.
en scène
iter
Dans cette pièce, dontla
6C-
compliquée est admirablement réglée,
se8
toute la troupe du théätre Antoine donne
se.avec conviction et intelligence. M. Mar¬
anquet est un superbe Didier; Matrat, un
1Ia| Prospertour à tour bon enfant et tragi¬
que; Signoret, un duc de Cadignan dis¬
e
tingué; Degeorge, un curieux Grasset
Le
uil tomtruant; Berthier fait de Soevola une
pittoresque silhouette. Dans ce milien
sinistre; des femmes mettent une note
vec
ient
de gräce qui n’est pas de trop, ce sont
len¬
Mmes Grumbach, Van Doren, Luce Co¬
ghe¬
las, Barsange et Mariey.
est
Emmanuel Arbne.
eter
tnge
u. L. U. h