Kakadu
box 15/1
ue
9.3. Der eeeee
Xcene 00t
medien excenent.
Avec le Perroquet vert, nous ne som¬
mes plus comme tout à l’heure sous la
ge
Restauration, mais au soir du 14 Juiliet,
à cette époque ou les gentilshommes
e
3'amusaient à la révolution et sten al¬
AI
Paßls
ee
laient en parties voir les émeutes et les
inlcenches. Prosper, un ancien comé¬
dien, Hent dens un sous-sol une mar
nicre de caparet montmartrois. ou, com¬
me cnez Brurnt autrefois, les gens
chics, les hommes et les femmes du bei
air, viennent se faire engu.. infurier,
utjet assister à des scènes on des compal
ses jcuent au criminel et simulent
escärpes. Un jeune chevalier, nouv
ment arrivé à Päris, s’étonne de T’ac
de vérité qu'ont tous ces acteurs à g
et peu à peu, pendant que les Lan:
les Nogent apprécient et s’extasie
s’épouvante, éperdu, entre la flet
la réalité, jusqu'à ce que Didier, le c
dien, qui dans son röle raconte le m
tre supposé d’un duc de Cadignan, pe
gyarde tout d’un coup et pour de bon
celdi-ci, qui vient de survenir, et qu'un
rudent lui a révélé comme
mot
eLéocadie, sa femme, une
ar
comédie est finie; la
G
frivoles seigneurs, ür
de parade contre
multueux des val
861
prise pour de bo
13
ange de vérité et
un pen Timpres
pr
re
is un musée d
urs rap¬
Taction principe
et
ndes,
pelle l’admirable Taba
éci¬
est combiné avec la pl
nche
sion de mise en scène
peut
el, süre intensité d’ense
guère citer de noms dar
gique, dont Part préci
Ebrouiller indistinctemer
lités. II faut remarquer
Antoine, si net et mesure
de röle; M. Marquet, qui mor
violence et de l’autorité; MM.2
Mosnier, qui flgurent à merve
une façon de Santerre et l’autre un
nière de Lauzum; Mile Jeanne Lion es
un tres gentil petit chevalier de la Tré
moille et Mine Grumbach une tres délu.
rée marquise.
Mais comme cette pièce m'a paru¬
symbolique, et comine nous savons,
nous aussi, nous amuser aux bagatelle:
du faux crime, en attendant qu'on
prenne les dernières Bastilles !.
FRANCOIS DE MION.
DeRHiERs couns CömmERclur
(e b. Xl. 1003.
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ue
9.3. Der eeeee
Xcene 00t
medien excenent.
Avec le Perroquet vert, nous ne som¬
mes plus comme tout à l’heure sous la
ge
Restauration, mais au soir du 14 Juiliet,
à cette époque ou les gentilshommes
e
3'amusaient à la révolution et sten al¬
AI
Paßls
ee
laient en parties voir les émeutes et les
inlcenches. Prosper, un ancien comé¬
dien, Hent dens un sous-sol une mar
nicre de caparet montmartrois. ou, com¬
me cnez Brurnt autrefois, les gens
chics, les hommes et les femmes du bei
air, viennent se faire engu.. infurier,
utjet assister à des scènes on des compal
ses jcuent au criminel et simulent
escärpes. Un jeune chevalier, nouv
ment arrivé à Päris, s’étonne de T’ac
de vérité qu'ont tous ces acteurs à g
et peu à peu, pendant que les Lan:
les Nogent apprécient et s’extasie
s’épouvante, éperdu, entre la flet
la réalité, jusqu'à ce que Didier, le c
dien, qui dans son röle raconte le m
tre supposé d’un duc de Cadignan, pe
gyarde tout d’un coup et pour de bon
celdi-ci, qui vient de survenir, et qu'un
rudent lui a révélé comme
mot
eLéocadie, sa femme, une
ar
comédie est finie; la
G
frivoles seigneurs, ür
de parade contre
multueux des val
861
prise pour de bo
13
ange de vérité et
un pen Timpres
pr
re
is un musée d
urs rap¬
Taction principe
et
ndes,
pelle l’admirable Taba
éci¬
est combiné avec la pl
nche
sion de mise en scène
peut
el, süre intensité d’ense
guère citer de noms dar
gique, dont Part préci
Ebrouiller indistinctemer
lités. II faut remarquer
Antoine, si net et mesure
de röle; M. Marquet, qui mor
violence et de l’autorité; MM.2
Mosnier, qui flgurent à merve
une façon de Santerre et l’autre un
nière de Lauzum; Mile Jeanne Lion es
un tres gentil petit chevalier de la Tré
moille et Mine Grumbach une tres délu.
rée marquise.
Mais comme cette pièce m'a paru¬
symbolique, et comine nous savons,
nous aussi, nous amuser aux bagatelle:
du faux crime, en attendant qu'on
prenne les dernières Bastilles !.
FRANCOIS DE MION.
DeRHiERs couns CömmERclur
(e b. Xl. 1003.