Liebe
box 13/4
„
Extralt de:
Achene . Mt ue U. Arna
2 9 MRs 1934
Date:
Slg## #
LES BEAUX FILMS
& Liebeleis à T’Odéon
Dermisgquelque temps 1’4 Odéon, s’est
fait uhegspécialité de nous présenter de
forts beaux films; alnsi Marie-Louise,
qui tintlaffiche pendant des semaines.
Vendredi prochain nous aurons l’oc¬
casion Ge voir un autre film de toute
beauté qui Hoit également tenir l’affiche
pendant des gemaines. A Paris et à Bru¬
xelles, nous affirme-t-on son succès fut
inépuisable.
Une première vision à Anvers pour
quelques privilégiés, dont nous fümes,
nous a émervelllée.
Tout contribue à rendre ce film inté¬
ressant: la musique avec des entraman¬
tes danses viennoises, l’action des artis¬
tes, de paysages superbes
L’histoire pourtant est bien simple:
Deux jeunes officiers assistent à une
représentation de gala de l’Opéra hono¬
rée de la présence de l’empereur.
Alleurs pieds choit une paire de jumel¬
les qu'a laissé tomber la fille d’un des
artistes de l’orchestre. Celle-ci vient ré¬
clamer ses jumelles au concierge en
présence d'un des officiers. Ce dernier
emmène les jeunes filles au café ou nous
voyons circuler les garçons avec leurs
tas de journaux.
Les officiers se lient d’amitié avec les
jeunes femmes, L’un d’eux rompt une
liaison avec la femme d’un baron diplo¬
mate qui malheureusement a été mis au
courant de l'affaire et qui exige répara¬
tion par les armes.
Entretemps nous assistons émerveil¬
Iés à des exercices de cavalerie, des pro¬
menades en traineau à travers les bois
seintillants sous la neige. Nous parcou¬
rons Vienne la nuit, assistons à des
bals et des fétes, etc. Puis c’est le dé¬
Inouement brusque et brutal: le duel.
Lofficier est tue. Cela se passe au mo¬
ment ou sa jeune amie vient d’être
agréée comme artiste à l’opéra. Toute
heureuse, elle se trouve dans l’apparte¬
ment de l’officier quand son père vient
lui annoncer l’affreuse nouvelle.
La malheureuse, accablée de douleur,
ne veut pas survivre à son fiancé, qui
lui avait juré un amour géternels et se
suicide.,. Fin bien malheureuse d’un
film excellent autrement sous tous le#
rappörts.
6. blupnt, leng
2 2.APR. 1934
wd, Ken Jaendah
Don Dienslag, den 24. bis Donnerstag, den 26. ds.
Magda Schneiders Meisterleistung in Arthur Schnitzlers
„Liebelei“. Luise Allrich ist durch ihre Leiftung in dem
Trenker=Film „Der Rebell“ mit einem Schlage zu einem er¬
klärten Liebling des Kinopublikums geworden. Sie findet in
dem Tonsilm „Liebelei“, nach Arthur Schnitzlers unsterb¬
lichem Meisterwerke. besondere Gelegenheit, um ihre Kunst
in der Gestaltung zarter, liebenswürdiger Mädchen zu zei¬
gen: sie spielt die Mizzi Schlager, das süße, etwas leichtsin¬
nige Wiener Mädel. Die übrigen Rollen in dem Tonsilm
„Liebelei“ sind mit Magda Schneider (Christl), Paul Hörbi¬
ger (der alte Weyring), Willy Eichberger und Wolfgang
Liebeneiner (Theobor Kaiser und Fritz Lobheimer), Gustar
Gründgens und Olga Tschechowa besetzt.
□
DGSTHVER‘
Wien,
—
Gzeile Nr. 11
2
Telefon R-2 3.0. 42
4
Innviertier Nachrichten, Ried
F
Tehweer S. AK 935
Tonkino. Sonntag bringt das Eberschwanger
Tonkino den überaus spannenden Mädchenhändlerfilm
den jeder sehen soll. „Mädchenhändler an der Arbeit“
betitelt sich dieses vorzügliche Aufklärungswerk. Nie¬
mand versäume den Film. — Donnerstag (Christi
Himmelfahrt) gelangt der Schlagerfilm Liebelei mit
Starbesetzung zur Aufführung. Der Fulm hatre bis¬
her überall größten Erfolg gezeitigt. Magda Schneider,
Paul Hörbiger und Olga Tschechowa haben in diesem
Sefolgsfilm die Hauptrollen inne.
A PICCOLO DELLA SERA-THIESTE
1 8 LUG. 1984
Arte viennese a Parigi
PARIGI, luglio
Da „popelarità della musica, della
gwezta, dellespirito viennese comin¬
cio-Parigi tre anni or sono, per me¬
rito di un film di aggraziato ambien¬
te viennese, girato a Berlino: (Il Con¬
gresso si diverten, II valzer di Giovanni
Strauss, che accompagna Lilian Harvey
nella sua celebre corsa in carrozza,
fu ben presto cantato e fischiettato da
tutta la folla parigina. Poco dopo, a
rinfocolare gli entusiasmi, venne all
cavallino biancon, che ha raggiunto or¬
mai la eua novecentesima replica. Nes¬
suna propaganda, per quanto accorta¬
mente condotta, avrebbe potuto ottene¬
re si magnifici effetti. II valzer, il caf¬
fercon la panna montata, il cguglkupfn,
i monti e i boschi salisburghesi-tirolesi
costituiscono la scoperta piü recente
dei parigini.
In quest'ultimo anno, altri due film
hanno conquistato il pubblico: (Liebe¬
lein, tratto dall’omonima commedia di
Schnitzler, che noi conosciamo nella
pessima trädüzione di (Amanti folliy,
jeAngeli senza paradison, che nell’ori¬
(ginale si chiama press’a poco (Lievi
implorano le mie canzonis. Da ultimo
e venuto Max Reinhardt, il quale, con
Ia fantastica messinscena dello straus¬
siano (Pipistrellon al Teatro Pigalle,
ha completato l’opera di propaganda.
Fra i numerosi &Caffé viennesin e
„Restaurants viennesin sorti in vari
punti di Parigi, due sono i piü noti:
il Danubio blun e lo =Studio vienne¬
Isen, decorato da un pittore di Salisbur¬
go. Non manca nemmeno un cabaret,
dove tre volte la settimana, in una gal¬
leria di quadri, alcuni artisti esegui¬
scono rvariati programmi. Un attore
viennese, allievo di Hans Thimig, di¬
rige l’audace impresa, la quale ha per
scopo precipuo di venire in ainto agli
attori tedeschi, che hanno dovuto ri¬
fugiarsi all’estero, e da una vita bril¬
lante e ricca di soddisfazioni artisti¬
che, si son visti sbalzati a un tratto
nella piü completa miseria, II pubblico
francese frequenta volentieri questo
„Club degli artisti di Parigi-Viennan,
Iquantunque tutti vi recitinoe cantino
1prevalentemento in tedesco.
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Achene . Mt ue U. Arna
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LES BEAUX FILMS
& Liebeleis à T’Odéon
Dermisgquelque temps 1’4 Odéon, s’est
fait uhegspécialité de nous présenter de
forts beaux films; alnsi Marie-Louise,
qui tintlaffiche pendant des semaines.
Vendredi prochain nous aurons l’oc¬
casion Ge voir un autre film de toute
beauté qui Hoit également tenir l’affiche
pendant des gemaines. A Paris et à Bru¬
xelles, nous affirme-t-on son succès fut
inépuisable.
Une première vision à Anvers pour
quelques privilégiés, dont nous fümes,
nous a émervelllée.
Tout contribue à rendre ce film inté¬
ressant: la musique avec des entraman¬
tes danses viennoises, l’action des artis¬
tes, de paysages superbes
L’histoire pourtant est bien simple:
Deux jeunes officiers assistent à une
représentation de gala de l’Opéra hono¬
rée de la présence de l’empereur.
Alleurs pieds choit une paire de jumel¬
les qu'a laissé tomber la fille d’un des
artistes de l’orchestre. Celle-ci vient ré¬
clamer ses jumelles au concierge en
présence d'un des officiers. Ce dernier
emmène les jeunes filles au café ou nous
voyons circuler les garçons avec leurs
tas de journaux.
Les officiers se lient d’amitié avec les
jeunes femmes, L’un d’eux rompt une
liaison avec la femme d’un baron diplo¬
mate qui malheureusement a été mis au
courant de l'affaire et qui exige répara¬
tion par les armes.
Entretemps nous assistons émerveil¬
Iés à des exercices de cavalerie, des pro¬
menades en traineau à travers les bois
seintillants sous la neige. Nous parcou¬
rons Vienne la nuit, assistons à des
bals et des fétes, etc. Puis c’est le dé¬
Inouement brusque et brutal: le duel.
Lofficier est tue. Cela se passe au mo¬
ment ou sa jeune amie vient d’être
agréée comme artiste à l’opéra. Toute
heureuse, elle se trouve dans l’apparte¬
ment de l’officier quand son père vient
lui annoncer l’affreuse nouvelle.
La malheureuse, accablée de douleur,
ne veut pas survivre à son fiancé, qui
lui avait juré un amour géternels et se
suicide.,. Fin bien malheureuse d’un
film excellent autrement sous tous le#
rappörts.
6. blupnt, leng
2 2.APR. 1934
wd, Ken Jaendah
Don Dienslag, den 24. bis Donnerstag, den 26. ds.
Magda Schneiders Meisterleistung in Arthur Schnitzlers
„Liebelei“. Luise Allrich ist durch ihre Leiftung in dem
Trenker=Film „Der Rebell“ mit einem Schlage zu einem er¬
klärten Liebling des Kinopublikums geworden. Sie findet in
dem Tonsilm „Liebelei“, nach Arthur Schnitzlers unsterb¬
lichem Meisterwerke. besondere Gelegenheit, um ihre Kunst
in der Gestaltung zarter, liebenswürdiger Mädchen zu zei¬
gen: sie spielt die Mizzi Schlager, das süße, etwas leichtsin¬
nige Wiener Mädel. Die übrigen Rollen in dem Tonsilm
„Liebelei“ sind mit Magda Schneider (Christl), Paul Hörbi¬
ger (der alte Weyring), Willy Eichberger und Wolfgang
Liebeneiner (Theobor Kaiser und Fritz Lobheimer), Gustar
Gründgens und Olga Tschechowa besetzt.
□
DGSTHVER‘
Wien,
—
Gzeile Nr. 11
2
Telefon R-2 3.0. 42
4
Innviertier Nachrichten, Ried
F
Tehweer S. AK 935
Tonkino. Sonntag bringt das Eberschwanger
Tonkino den überaus spannenden Mädchenhändlerfilm
den jeder sehen soll. „Mädchenhändler an der Arbeit“
betitelt sich dieses vorzügliche Aufklärungswerk. Nie¬
mand versäume den Film. — Donnerstag (Christi
Himmelfahrt) gelangt der Schlagerfilm Liebelei mit
Starbesetzung zur Aufführung. Der Fulm hatre bis¬
her überall größten Erfolg gezeitigt. Magda Schneider,
Paul Hörbiger und Olga Tschechowa haben in diesem
Sefolgsfilm die Hauptrollen inne.
A PICCOLO DELLA SERA-THIESTE
1 8 LUG. 1984
Arte viennese a Parigi
PARIGI, luglio
Da „popelarità della musica, della
gwezta, dellespirito viennese comin¬
cio-Parigi tre anni or sono, per me¬
rito di un film di aggraziato ambien¬
te viennese, girato a Berlino: (Il Con¬
gresso si diverten, II valzer di Giovanni
Strauss, che accompagna Lilian Harvey
nella sua celebre corsa in carrozza,
fu ben presto cantato e fischiettato da
tutta la folla parigina. Poco dopo, a
rinfocolare gli entusiasmi, venne all
cavallino biancon, che ha raggiunto or¬
mai la eua novecentesima replica. Nes¬
suna propaganda, per quanto accorta¬
mente condotta, avrebbe potuto ottene¬
re si magnifici effetti. II valzer, il caf¬
fercon la panna montata, il cguglkupfn,
i monti e i boschi salisburghesi-tirolesi
costituiscono la scoperta piü recente
dei parigini.
In quest'ultimo anno, altri due film
hanno conquistato il pubblico: (Liebe¬
lein, tratto dall’omonima commedia di
Schnitzler, che noi conosciamo nella
pessima trädüzione di (Amanti folliy,
jeAngeli senza paradison, che nell’ori¬
(ginale si chiama press’a poco (Lievi
implorano le mie canzonis. Da ultimo
e venuto Max Reinhardt, il quale, con
Ia fantastica messinscena dello straus¬
siano (Pipistrellon al Teatro Pigalle,
ha completato l’opera di propaganda.
Fra i numerosi &Caffé viennesin e
„Restaurants viennesin sorti in vari
punti di Parigi, due sono i piü noti:
il Danubio blun e lo =Studio vienne¬
Isen, decorato da un pittore di Salisbur¬
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dove tre volte la settimana, in una gal¬
leria di quadri, alcuni artisti esegui¬
scono rvariati programmi. Un attore
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rige l’audace impresa, la quale ha per
scopo precipuo di venire in ainto agli
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che, si son visti sbalzati a un tratto
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francese frequenta volentieri questo
„Club degli artisti di Parigi-Viennan,
Iquantunque tutti vi recitinoe cantino
1prevalentemento in tedesco.
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