2. Die drei Eliziere
box 1/1
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MARS 189.
TOUVRE ALMANACH
E M
BIERBAUN
quiei meme (1) Janalysais le premier vo¬
me de lAlmanach des Mases, publié par M. Bier¬
um, les tendances modernistes de la nouvelle litté¬
ure allemande se sont äffirmées toujours davah¬
ret quelques auteurs jusqu'alors presque des
inconnus ont produit des cuyres dart d’une impel¬
tange considerable, qui les classent au premiel rang
bärmi deus que devront lire les bons Européens de
notrefspoque. En mème temps, le grand püblich et la
moutonnière acclamaient quelques noms dont,
ende temps ençore, ils nlavaient parlé qu'avec
En France mäme, ou, à une longue ignorance
ue ou forcée, succède souvent un enthousiasme
agéré, on essayd des’enquérir de ces courants nöu¬
ur trois pieces de M. Hauptmann ont étémontées
succes, et l’or älmonce la representation pro¬
# d’un drame de M. Max Halbe, Jeunesse, don
manner Med#rne ###t la primeur.
publication du deuzieme volume de ce Moderne
nach des Muses (2) ne pouvait donc quletre
nd avec impatience. Apen de chose pres, les
ivnins que Pannée derniere ont collaboré a
ele manifestation d’art. Quelques-uns, qui
enque remplissage, önt disparu, definitiver
esperans-le. Quelques nouveaux de talent;
leizues aneiens dont T’absence avait été regrettée.
ensembie du volume montre un progres marquaht
#rle précédent. Le##ie s’est épuré, les talents se
sont approfondis ont prie conscience de leur indivi
Jualité propre. Dlancun qui acchmulait des parele
edondantes et creut es. famant parade d'une artmicielle
igueur, a quitte les vaine déclamations, pour se
donner que de petites schnes d’intimité ou. — des tra#
Güctions. La phr ise sociale, les brutaliten vonlues ont
disparu Presques entièrement, et ceux qulagité und
vertable pitié pour les malhenreux, ceux qui sentent
fer en eux läme du peuple, saignante ou joyense,
t) Voir Merture de France, no #1.
Moderner Musen-Almanack auf das Jahr 189#, herausgeg
J. Bierbaum (Albert et Cie, à Municb).
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MARS 189.
TOUVRE ALMANACH
E M
BIERBAUN
quiei meme (1) Janalysais le premier vo¬
me de lAlmanach des Mases, publié par M. Bier¬
um, les tendances modernistes de la nouvelle litté¬
ure allemande se sont äffirmées toujours davah¬
ret quelques auteurs jusqu'alors presque des
inconnus ont produit des cuyres dart d’une impel¬
tange considerable, qui les classent au premiel rang
bärmi deus que devront lire les bons Européens de
notrefspoque. En mème temps, le grand püblich et la
moutonnière acclamaient quelques noms dont,
ende temps ençore, ils nlavaient parlé qu'avec
En France mäme, ou, à une longue ignorance
ue ou forcée, succède souvent un enthousiasme
agéré, on essayd des’enquérir de ces courants nöu¬
ur trois pieces de M. Hauptmann ont étémontées
succes, et l’or älmonce la representation pro¬
# d’un drame de M. Max Halbe, Jeunesse, don
manner Med#rne ###t la primeur.
publication du deuzieme volume de ce Moderne
nach des Muses (2) ne pouvait donc quletre
nd avec impatience. Apen de chose pres, les
ivnins que Pannée derniere ont collaboré a
ele manifestation d’art. Quelques-uns, qui
enque remplissage, önt disparu, definitiver
esperans-le. Quelques nouveaux de talent;
leizues aneiens dont T’absence avait été regrettée.
ensembie du volume montre un progres marquaht
#rle précédent. Le##ie s’est épuré, les talents se
sont approfondis ont prie conscience de leur indivi
Jualité propre. Dlancun qui acchmulait des parele
edondantes et creut es. famant parade d'une artmicielle
igueur, a quitte les vaine déclamations, pour se
donner que de petites schnes d’intimité ou. — des tra#
Güctions. La phr ise sociale, les brutaliten vonlues ont
disparu Presques entièrement, et ceux qulagité und
vertable pitié pour les malhenreux, ceux qui sentent
fer en eux läme du peuple, saignante ou joyense,
t) Voir Merture de France, no #1.
Moderner Musen-Almanack auf das Jahr 189#, herausgeg
J. Bierbaum (Albert et Cie, à Municb).