2. Die drei
Elixiere
—
box 1/1
DHFRAN
urtgentée ou Emue, Tont dit qualld meme, mais
sincèrite, en restant de qulils sont. En somme
t, moins dartifciel.
De nouveau, la prose de mele au vers, la noure
fragment de dranie ou d’épopée. Pourtänt
n la reproduction fragmentalr de drar
calistes modernes dni maintenant onf tröure acces
darales grands theätres: Le gronpement n'a éte fan
que Papres la similitude des talents, quelquefe
arbitrairement. Quaire ; femmes de lettres2 auvrem
lasérie serait-ce hasard, serait-ce galanterie de
Péditeur? — Bas bleus, non, mais femmes restée
femmes, ad. savent mettre dans un poème tontelle
sensibilite. Mmnd Janitschek montre une merveilleits
force de passion dans la ballade Plus fort que Bar¬
deur du Fen, et la mélancolie de Sous les rose Volle
à peine toit Temportement de son temperan
Un grand souffie epique passe dans les Neres#
Demons de Marie Eugénie delle Grazie. Plus donc
Mme Anna Croissant-Rust sait écouter les
légeres vibrations de ses nerfs endoloris; elle
désole sür Ia Werge tombée troptôt, avant le teli#
enterrant Tamour maintenant glacé et perdu dans
nuit dhiver. Le Conte de in Peine qui grandit
bommes „,d’Ernst Rosmer (pseudonvme de Mme)
Bernstein, de Mürich), est écrit dans une 1e
émue et belle. Oest Thistoire d'un roi qui v
voir rayonner ia joie autour de lui, quf sait com
es mendiants, mais nön consoler les malheuren
Le recueil contient encore quelques autres houre
de tout premier ordre. M. Arthur Schnitzler, dans 1
Trois Elirirs, conte la triste histeire d'un jeun
homme qui souffrait des peines infnies, puisqulil
savait pas si les femmes aimées lui étaient fideles.
il s’en alla de par le monde pour chercher T’élizi#
les forcät à linr révéler le passé. Mais toutesschat
fois qu'il leur en donnait, Jui parlaient d’un aütre
Jui, auquel elles songeaient au moment des plus
douces extäses. Plus malheureux encore, ils’en alla
à la recherche d’une autre boisson magique qui pro¬
cure T’oubli du passé. Alors les femmes Larnèrent
sans réserve, et celle qulil choisit n'avait de penser
que pour lui seul. Cependant il n’était pas moint
malheureux, gar maintenant il sInquiétait de Pavehi,
Un nouvel élixir devait lui assurer que, meme en
pensée, elle ne serait jamais à un autre. Lorsqu’eile
Elixiere
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box 1/1
DHFRAN
urtgentée ou Emue, Tont dit qualld meme, mais
sincèrite, en restant de qulils sont. En somme
t, moins dartifciel.
De nouveau, la prose de mele au vers, la noure
fragment de dranie ou d’épopée. Pourtänt
n la reproduction fragmentalr de drar
calistes modernes dni maintenant onf tröure acces
darales grands theätres: Le gronpement n'a éte fan
que Papres la similitude des talents, quelquefe
arbitrairement. Quaire ; femmes de lettres2 auvrem
lasérie serait-ce hasard, serait-ce galanterie de
Péditeur? — Bas bleus, non, mais femmes restée
femmes, ad. savent mettre dans un poème tontelle
sensibilite. Mmnd Janitschek montre une merveilleits
force de passion dans la ballade Plus fort que Bar¬
deur du Fen, et la mélancolie de Sous les rose Volle
à peine toit Temportement de son temperan
Un grand souffie epique passe dans les Neres#
Demons de Marie Eugénie delle Grazie. Plus donc
Mme Anna Croissant-Rust sait écouter les
légeres vibrations de ses nerfs endoloris; elle
désole sür Ia Werge tombée troptôt, avant le teli#
enterrant Tamour maintenant glacé et perdu dans
nuit dhiver. Le Conte de in Peine qui grandit
bommes „,d’Ernst Rosmer (pseudonvme de Mme)
Bernstein, de Mürich), est écrit dans une 1e
émue et belle. Oest Thistoire d'un roi qui v
voir rayonner ia joie autour de lui, quf sait com
es mendiants, mais nön consoler les malheuren
Le recueil contient encore quelques autres houre
de tout premier ordre. M. Arthur Schnitzler, dans 1
Trois Elirirs, conte la triste histeire d'un jeun
homme qui souffrait des peines infnies, puisqulil
savait pas si les femmes aimées lui étaient fideles.
il s’en alla de par le monde pour chercher T’élizi#
les forcät à linr révéler le passé. Mais toutesschat
fois qu'il leur en donnait, Jui parlaient d’un aütre
Jui, auquel elles songeaient au moment des plus
douces extäses. Plus malheureux encore, ils’en alla
à la recherche d’une autre boisson magique qui pro¬
cure T’oubli du passé. Alors les femmes Larnèrent
sans réserve, et celle qulil choisit n'avait de penser
que pour lui seul. Cependant il n’était pas moint
malheureux, gar maintenant il sInquiétait de Pavehi,
Un nouvel élixir devait lui assurer que, meme en
pensée, elle ne serait jamais à un autre. Lorsqu’eile