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box 5/2
31. Fraeulein Else
aen nene e e e ne ene
A L E A 1
LE CARNET DU BOUOUINISTE
HTT
comprend la vie, et que Sissy Mohr a sur
Mademoiselle Else
0
elle des avanlages que ne peut lui disputer
une fille honnéte. Elle pardonne à Paul de
par Arthur Schnitzler
lui préférer une maitresse. D’ailleurs, il
Librairie Stock
est trop riche, sans doute, pour jamais
songer à épouser unc petite cousine sans
L’ceuvrefest remarquable tant par la fi¬
fortune, et le désirerait-il que sa mère s’y
nesse, par Tacuité de T’analyse psycholo¬
Opposerait.
gique que par l’émotion qui s’en dégage
Elle raisonne de la sorte lorsqu'une let¬
intense. Ce roman n’est qu'un long mono¬
tre-express lui est remise. Sa maman, aux
logue, mais qui nous fait assister au dé¬
abois, lui écrit de Vienne. Elle lui apprend
veloppement d'un terrible drame ou l’au¬
que son père a fait une nouvelle folie:
teur se garde bien d’intervenir, II nous
entrainé par sa passion du jeu, il a dila¬
épargne ainsi les explications et les com¬
idé le bien de ses enfants mineurs; une
#tes ces digressions dont
mentaires, et
abusent tant d’. rivains sous prétexte de
lainte sera déposée dans deux jours,
s’il n'a pas restitué, le surlendemain à mi¬
nous faire pénétrer le fond des ämes et
di, les trente mille florins qu’il a volés,
qui n’ont souvent d’autre résultat que de
nous tenir en haleine et de ralentir P’ac¬
il sera arrété, cundamne, envoyé aux tra¬
tion. Celle-ci est continue, directe, eile
vaux forcés. Naturellement, il ne suppor¬
tera pas, lui l’avocat illustre, une pareille
progresse sans arrêt, sans défaillance, et
honte; il préférera la mort à l’ignominie.
c’est pourquoi le livre se lit avidement,
Or, sa femme a tout fait pour empécher
d’un trait.
la catastrophe imminente; les amis du
Mlle Else pense lout haut devant nous:
coupable sont, pour la plupart, encore
elle nous livre mienx qu’ef journal, mien:
absents de Vienne, d’autres ont refusé de
qu’une confession; elle nous communique
lui venir en aide. Un seul espoir demeure:
ses impressions, ses sensations au moment
demander à M. Dorsday, le riche amateur
mème ou elle les éprouve; elle nous fait
d’art, d’avancer à sen ami les trente mille
partager ses hésitations, ses appréhen¬
florins qui le sauveront. Dorsday, juste¬
sions, ses craintes, son angoisse et ses es¬
ment, loge au mème hôtel qu’Else, et la
poirs à l’instant ou elle les ressent; nous
eune fille n’est pas sans le connaitre.
suivons ses réflexions an fur et à mesure
Du'elle osc cette démarche supréme auprès
qu'elles se forment; nous vivons avec
de lui, et son père, acculé au suicide, vi¬
elle; nous sommes dans le secret de son
ecur. Tout ce qui jaillit de ses lévres
est d’ailleurs spontané; c’est son äme
Ala lecture d’une telle supplique, Else
mème qui parle; delà, un certain désor¬
est atterrée. Dorsdav lui déplait et instine¬
tivement elle le déteste. Elle consentirait
dre dans ce qu'elle exprime, de l’indéci¬
à implorer le secours de quiconque, sauf
sion, des contradictions parfois, des cris
de ce personnage oblique qui lui fait peur.
de douleur et de révolte, des monvements
Elie sacharne à chercher un äufre expé¬
de rage et de découragement; une explo¬
dient; telle forge“ vingt projets, suppute
sion de tous les sentiments qui tourmen.
es chances de chacun et force lui est de
tent un pauvre étre désemparé, qui le se¬
se convaincre que seul Dorsday peut lui
couent et le déchirent, de toutes les idées
venir en aide. Alors elle rassemble son
qui tourbillonnent dans un cerveau ma¬
courage et se décide. Oh! c’est un dur
lnde.
sacrifice, mais l’existence de son père en
Eille d’un avocat célèbre de Vienne, à
dépend. Tremblante d’émotion, elle at¬
get Pon s’accorde à reconnaitre un véri¬
tend Dorsday qui l’aborde. Ils se promé¬
table génie d’orateur, Mlle Else est venue
nent de conserve; aura-t-elle la force de
terminer ses vacances dans la montagne,
venir au fait? Tout à coup, elle prend son
auprès de sa tank“. C’est une fille splen¬
parti, se roidit, s’impose une contenance
dide, de dix-neuf ans, dont la beauté, à
et, sans trop halbutier, elle expose sa re¬
son arrivée à lhôtel, a fait sensation par¬
quête.
mi la jeunesse. Else, pourtant, n'a guère de
Dorsday n’a pas un geste de surprise,
gout pour le flirt et elle a beau ausculter
pas un tressaillement, II prend son temps
son eceur, elle est bien süre qu’elle n’aime
pour répondre, il laisse mème entendre
personne. Tout au plus se sent-elle un peu
qu’il va refuser; puis il fait mine de ré¬
d’inclination et beaucoup d’amitie pour
fléchir, il se ravise alors et, finalement,
son cousin Paul. Mais le jeune homme n'a
déclare Froidement qu’il accepte. Mais il
d’yeux que pour Sissy Mohr, une jeune
pose une candition: Eise se montrera à
femme qui profite allégrement de l’éloi¬
lui sans voile, et quand i i’aura contem¬
gnement de son mari pour se faire cour¬
plée nue, il enverra à Vienne le cheque
tiser et qui, sans doute, n’a déja plus rien
libérateur.
à refuser à Paul. Else, au demeurant, n’est
Le premier mouvemient de la jeune fille
pas jalouse. Elle n’est plus une enfant, elle
eie de giller ie gonjat. Elleistest Contenue
pourtant, clle n eu asser de vigueur pour
se maitriser, et Dorsday#stestgéloigné. Lé
soir tombe, c’est T’heure du,diner, et pen¬
dant qu’on la cherche dans, Thöfel, Else,
éperdue, s’affale sür un banc aug envi¬
rons. Elle s’efforce au calme, mais son es¬
prit s’enfièvre, elle frissonhe et une sohte
de délire la saisit. Elle va et vient, égarge,
sur la route, bien résolue à repousser l’in¬
fame proposition de Dorsday, mais inGa¬
pable de renoncer à sauver son père. Sou¬
dain, elle entrevoit une solution. Elle don¬
nera satisfaction à Dorsday; elle abdi¬
quera pour quelques minutes foute pudeur
et, aussitôt après, elle se tueral Elle monte.
dans sa chambre., elle prépape la dose
de véronal u’elle absorbera tout, 5 Iieure,
puis eile se dépouille desses, velements,
endosse un large manteau. Elle söngé alors
qu'elle n’est pas obligée de se montrer à
Dorsday seulement, qu’il n'a point énoncé
cette exigence, que d’auires peuvent étré
les témoins de son acte ei qu’il n’en sera
pas moins lié par sa promesse. Comme
une somnambule, elle descend; elle hé¬
site à la porte du salon; enfin elle entre.
Dorsday est la, accoudé près du pianaß.
quelqu'un joue un air de Schumann, plu¬
sicurs personnes écoutent. Elle s’appretke
et ouvre tout grand son manteau.
Mais elle s’ecroule évanouie et l’onse
précipite. Le cousin Paul, qui est médecin,
diagnostique une erise d’hystérie. On
transporte la malade dans son lit. Elle
est tombéc en léthargie et alle ne peut se
monvoir; mais elle perçoit tous les bruifs,
toutes les paroles. Paul et Sissy Mohr, de¬
meurés à son chevet, se toient. Elle s’en
dontait bien, et pourtant cette intimité en¬
tre cnx lui crêve le ccur. Sissy, d’ailleurs
se venge maintenant par son persiflage
d’une rivale qu’elle aussi soupconnait. Elle.
ne craint pas d’étre entenduc etne ménäge
pas ses sarcasmes à#la vierger dépravée que
3e1
ses forces ont trahl#.####nemne
a
C’en est trop, Paul sort de la chamhfél
tson inséparable Sissy le suit. Else ipro¬
file de leur courte absence, Elle parvient
à détendre son bras paralysé, à atteindge
e verre, et elle avale d’un trait la solution
de véronal qui la fera doucement glisser
Ajoutons que cette cuvre du célebre ro¬
mancier viennois est excellemment tra¬
Juite.
11
Le chemin du des.#
par Félicien Champsaur
Ferenczi et fils, éditeurs
Le sculpteur Pierre Gardan est à Lapo¬
sce de son talent et dle sa reno“ méc. I
approche de la cinquantaine,ais c’est
encore un solide gaillard qui use large¬
ment de la vie et connait peu de cruelles.
Pourtant cette existence dissipée com¬
foyer, de se marier. Or, voici que parmi
les lettres d’admiratrices inconnues qui
läl P
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Elle vien
aus, enth
seinent b
tographie
flamme.
Carnol,
le train
Marie-
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plus,
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aprés à
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LE CARNET DU BOUOUINISTE
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comprend la vie, et que Sissy Mohr a sur
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une fille honnéte. Elle pardonne à Paul de
par Arthur Schnitzler
lui préférer une maitresse. D’ailleurs, il
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est trop riche, sans doute, pour jamais
songer à épouser unc petite cousine sans
L’ceuvrefest remarquable tant par la fi¬
fortune, et le désirerait-il que sa mère s’y
nesse, par Tacuité de T’analyse psycholo¬
Opposerait.
gique que par l’émotion qui s’en dégage
Elle raisonne de la sorte lorsqu'une let¬
intense. Ce roman n’est qu'un long mono¬
tre-express lui est remise. Sa maman, aux
logue, mais qui nous fait assister au dé¬
abois, lui écrit de Vienne. Elle lui apprend
veloppement d'un terrible drame ou l’au¬
que son père a fait une nouvelle folie:
teur se garde bien d’intervenir, II nous
entrainé par sa passion du jeu, il a dila¬
épargne ainsi les explications et les com¬
idé le bien de ses enfants mineurs; une
#tes ces digressions dont
mentaires, et
abusent tant d’. rivains sous prétexte de
lainte sera déposée dans deux jours,
s’il n'a pas restitué, le surlendemain à mi¬
nous faire pénétrer le fond des ämes et
di, les trente mille florins qu’il a volés,
qui n’ont souvent d’autre résultat que de
nous tenir en haleine et de ralentir P’ac¬
il sera arrété, cundamne, envoyé aux tra¬
tion. Celle-ci est continue, directe, eile
vaux forcés. Naturellement, il ne suppor¬
tera pas, lui l’avocat illustre, une pareille
progresse sans arrêt, sans défaillance, et
honte; il préférera la mort à l’ignominie.
c’est pourquoi le livre se lit avidement,
Or, sa femme a tout fait pour empécher
d’un trait.
la catastrophe imminente; les amis du
Mlle Else pense lout haut devant nous:
coupable sont, pour la plupart, encore
elle nous livre mienx qu’ef journal, mien:
absents de Vienne, d’autres ont refusé de
qu’une confession; elle nous communique
lui venir en aide. Un seul espoir demeure:
ses impressions, ses sensations au moment
demander à M. Dorsday, le riche amateur
mème ou elle les éprouve; elle nous fait
d’art, d’avancer à sen ami les trente mille
partager ses hésitations, ses appréhen¬
florins qui le sauveront. Dorsday, juste¬
sions, ses craintes, son angoisse et ses es¬
ment, loge au mème hôtel qu’Else, et la
poirs à l’instant ou elle les ressent; nous
eune fille n’est pas sans le connaitre.
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Du'elle osc cette démarche supréme auprès
qu'elles se forment; nous vivons avec
de lui, et son père, acculé au suicide, vi¬
elle; nous sommes dans le secret de son
ecur. Tout ce qui jaillit de ses lévres
est d’ailleurs spontané; c’est son äme
Ala lecture d’une telle supplique, Else
mème qui parle; delà, un certain désor¬
est atterrée. Dorsdav lui déplait et instine¬
tivement elle le déteste. Elle consentirait
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de ce personnage oblique qui lui fait peur.
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couent et le déchirent, de toutes les idées
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ne craint pas d’étre entenduc etne ménäge
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Le chemin du des.#
par Félicien Champsaur
Ferenczi et fils, éditeurs
Le sculpteur Pierre Gardan est à Lapo¬
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