I, Erzählende Schriften 28, Frau Beate und ihr Sohn. Novelle, Seite 96

tae TOUS LES VENDREbIs Knuuauumuaunaluundaauuune GRINGOIRE a
Lisen :
dessous de
Les
TEspionnage anglals
(de 1914 à 1918)
par Robert BOUCARD
SENSATIONNEL ! PASSIONNANT !
12 francs
1.26 ADTLONS DR FRANCR. 20, urenue Rapp
JEAN
trangers modernes
MAROUES-RIVIERE
de lAcadémie Française
tei PREVOST,
A LOMBRE
teur infaillible, dans ce conteur magis- Iter aux lecteurs de Gringoire: celui de
ui, de Rabelais à Molie¬
DES MONASTERES
tral on pressentait le plus large don de [I’Autrichien Arthur Schnitzler. Un conte
à Balzac, à Maupassant,
romancer. Les romans que j'ai eu l’hon- Ide lui paraissait ici récemment. Schnit¬
r notre territoire toute
THIBETAINS
zler est fort goüté dans son pays d’ori¬
neur de publier dans la g Revue de
lecteur français pouvait
Préface de Maurice MAGRE
ligine et, je crois, dans toute l’Europe cen¬
France 9 — la Passe dangereuse et l’En¬
e: & Ce n’est point ainsi
strale. Je ne Lai lu, jusan'à présent,que.
voüté — ont égalé chez nous la réputa¬
ture. ) Tandis que s’im¬
Toutes ees eerenones ritneles soit
dans d’honorahles versions françaises,
Ition de Maugham à celle des grands en¬
nous et s’incorporaient
infiniment curieuses. Elles précisent
moins brillantes que celles dont bénéfi¬
singulièrement notre connaissance ec¬
chanteurs de nos ámes, ceux qui, sans re¬
Felittérature un Shakes¬
terteure de la religion thibétains.
courir à d’autres moyens que de regar¬
cièrent Valle Inclanet Somerset Man¬
e,un Tolstol. On peut, je
Faure-Biouet.- Prin: 13 fr
gham. La dernière duvre (je crois) tra¬
der les paysages, d’étudier les meurs et
conque de citer un exem¬
Fdufte dans notre langue est un romawin¬
d’observer les ámes, nous ont fait voir
EDrTrIONs VICTOR ATTINGER
Ctitulé: Mudame Béate et son fils. II est
Pet comprendre des réalités qui n’étaient
nerset Maugham (on pro¬
loin d’étre indifférent.
point en nous . L’Angleterre nous a donné
est le plus récent et le
Beau sujet. Une veuve, jeune encore et
depuis cinquante ans plusieurs roman¬
cette absorption, immé¬
mère d’un grand fils, s'alarme de voir
ciers que nous apprécions justement. Je
ve, des grands écrivains

celui-ci, encore étudiant, capté, au cours
ne crois pas qu'ilyen ait un plus incor¬
ranger par le vrai public
—Laltry“
de vacances passées par tout ce petit
poré à la France que l’auteur de Pluie.
de toute coterie, de tout
Sur Somerset Maugham, je recomman¬
monde au bord d’un lac tyrolien, par
e, de tout snobisme. Le
FTaRz
une ancienne chanteuse devenue baron¬
de vivement la lecture, dans le numéro
eMaugham traduit, ex¬
LAffaire Roussakov
ne. Mais voici que la mère elle-méme,
précédent de la Revue de France (1“ oc¬
Hluit en notre langue par
peut-étre grisée par le reient d’amour
tobre). d’un artiele tres remarquable de
et fut publié dans la Re¬
T·U.R. S. S. d’aujourd’hui
ique l'adolescent traine après lui, tombe
Fernand Vandérem.
en 1923. II est juste de
par
#àsen tour dans les bras d’un camarade
Frais précurseurs furent
M
Panaft ISTRATI
de celui-ci. Vainement elle s’est flattée
bisset et Horace de Car¬
Un sentiment de justice me pousse
de cacher sa liaison. Le fils la découvre,
ce chef-d’cuvre, Pluie, at¬
à citer iei le nom d’un autre au¬
let sa mère et lui, pareillement désespé¬
ete et le périodique. Le
teur étranger, également très bien tra¬
Dans le mäme numéro:
rés, se noient volontairement dans le
diat, malgré la bouderie
duit en français au cours des dernières
Hlac, par une nuit obscure.
LA MORT DE SILBERMANN‘
uelques importateurs de
années, admiré hautement par la cri¬
Cette scène dernière, pour laquelle
tes, Maugham avait lu et
tique libre, goüté par les délicats, mais
Jacques de LACRETELLE
Itout le roman est fait, a de la grandeur,
urs français du dix-neu¬
que le public ne connait pas encore com¬
justement par contraste avec l’allure me¬
gtième siècles: il ne leur
me il le devrait. Je veux parler du ro¬
LES CHANTIERS
surée du récit. Elle vaut, à elle seule,
üt de ferme composition
mancier espagnol Valle Inclan, juste¬
DE MICHEL-ANGE
qu’on lise le livre, parfois un peu gauche
ses compatriotes, et aussi
ment mis à la première place parmi les
par
Iet embarrassé dans la description du
e récit, de ne pas musar¬
conteurs dans son pays. Jetiens la Sona¬
Guy de POURTALES
Imilien et le maniement des personnages
e ne pas étre long ni en¬
Ite de printemps, la Sonate d’été, la So¬
secondaires. Néanmoins, cette descrip¬
UN DE BAUMUGNES
temps ou la longueur et
nate d’automne et la Sonate Chiver, pu¬
par
tion méme d’un groupe germanique en
apôtres. Mais quelle sa¬
bliés en français sous le titre commun
Jean GIONO
vacances, mais germanique d’Autriche,
ien britannique dans sa
Les Saisons amoureuses du marquis de
a beaucoup de vraisemblance et un char¬
Conditions del'’Abonnement
les caractères, quel sens
Bragadin, comme de parfaits chefs-d’eu¬
France: un AN 48., sIX NoIs 26.
mant appareil bourgeois et romantique:
Quelle nostalgie du g loin¬
vre. Je conjure le lecteur de lire ces ad¬
Le numéro 6.5
Lexcursions et beuveries honnétes, amours
Etranger: Demand:z la notice sptelale 2 ia
nullement artificiel, im¬
mirables récits, d’une perversité si hau¬
et Delikatessen.
nrr. 2, Rue de Grenelle, Paris (6o
nobique, mais inclus par
taine qu'elle ne choque plus la pudeur
Combien cette Allemagne-la, que le vi¬
la nature mème du con¬
courante, d’un sens aristocratique que
rus prussien n’a pas corrodé, conserve
britannique aussi! En¬
je n'ai jamais trouvé nulle part à ce de¬
d’attrait, méme pour nous, gens de Fran¬
avorable qui ne fait ja¬
gré. Mème dans Barbey d’Aurevilly, au¬
ce! Et combien il faut regretter que les
n véritable artiste avait,
Iquel ressemble l’auteur des Sonates.
(La Joie au Foyer!.
politiciens soient aveuglés par la politi¬
voyages, retenu les yeus
Mais que Valle Inclan est plus majes¬
que théorique, au point de n’avoir pas
e
ir les horizons du Pacifi¬
tueux, plus impertinent, plus g sei¬
väniTABLEs
compris qu'il valait mienx autrichiani¬
Malaisie enchanteresse
gneur 9 et — nvec tout ccla — plus
ser le plus d’Allemagne possible que de
iautant qn'à Loti, le sor¬
S
Carilions
68

prépärer, par des dosages à la Diafoirus,
Français le plus séden¬
lit PArchipel aug sirénes | Voici enfin un nom de romancier la prussification de toute l’Autriche !
Westminster
Marcel PREVOST.
malais. Dans cet observa- Ijetranger qu'il n’est pas besoin de présen¬
MOUVENENTS DE PRECISION
VA
B limbree gong.
Luxueuses ebenisteries