II, Theaterstücke 18, Der einsame Weg. Schauspiel in fünf Akten (Junggeselle, Junggesellenstück, Die Egoisten, Einsame Wege, Wege ins Dunkle, Weg zum Licht), Seite 649

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18. Der einsane deg
e
fonde impression de simplicité et de
tanson d’une comédie hongroise la Qua¬
vérité.
tèrent la discipline, T’ensemble, T’entrain sun fort be
rante chevaug da voi, qui ne manquait
des artistes russes, mais leurs pièces 4 Ghéon, 77
Ala Madeleine, saison extrémement
pas d’agrément.
n’offraient pas grand intérêt et leurs
fournie, et, d’ailleurs, alimentée par des
des Jeune
Au Nouvel-Ambigu, deux productions
mises en scène fort discutables pour¬
combinaisons diverses. Des représenta¬
I·Odéon, 1e
dans le genre de la maison: Folle Jeu¬
nous, ainsi que leur jeu acrobatique,
tions de Lorensuccio, par Mlle Falconetti,
un tout je
nesse de M. Alfred Machard, et 7e Père
nous avaient déja été révélés aux
n’eurent point l’éclat attendu; une jolie
Brasseur,
Lampion, de MM. Jean Kolb et Léon
Champs-Elysées par Teroff et Kamerny.
comédie datant un peu, de M. Etienne
Monde, un
Bélières.
Au Théatre de la Potinière, deux pie¬
Rey, Miche; un ouvrage plus savou¬
fait espéren
Lo Palais-Royal avec Une femme dans
ces, UInitiatrice et Veyage à Trois, qwlilg
reux en raison de son exotisme, Gutlib.
dio des C
un lit ek'la Beignense du Lido a rempli
n’y a pas lieu de signaler particulière-
de M. Forzano; puis Ie Hlub des Loufo¬
part de Ba
son année gräce à ces deux pièces, dans
ment.
gnes de MM. Armont et Gerbidon, oc¬
ressante
lesquelles sont ingénieusement dosés
A la Renaissance, M. Alfred Savoirj
cupèrent Tafliche sans, je crois, rencon¬
inédite de
tous les agréments un peu faciles qu'a¬
retour d’Amérique, a donné une cu¬
trer une fortune tout à fait satisfaisante,
Rèue, dan
dore la clientele de cet heureux théätre.
rieuse et ironique étude des meurs amé
jusqu'à T’apparition d’une jolie fantaisie,
Fainsilber,
An Théätre de Paris, Max Dearly,
ricaines, Cocktail, qut a semblé aux Pa¬
#a Tie est beile, de M. Marcel-Achard,
der à emple
après une reprise de son répertoire, a
risiens assez fantaisiste et cependant est,#
un peu inconsistante, mais d’un charme,
Tei est 1
créé Coiffeur pour Dames de MM. Ar¬
parait-il, une peinture exacte et vigous
d’une gräce et d’une jeune gafté qui fi¬
1928, qui
mont et Gerbidon, on la verve du grand
reuse des mcurs de la-bas.
rent merveille avec l’incomparable in¬
dramatique
comique fit merveille autant que l’esprit
Au Théätre Sarah-Bernhardt, succes¬
terprélation de Jules Berry que nous
rable que1
des deux auteurs. Et l’on acheva la sai¬
sivement, une comédic sans éclat, T’Abbé
verrons bientôt, je crois, installé chez
comme tou
son avec l’Amant de Madame Vidal, de
et te Menistre, les Amants de Paris, und
iui, dans une nouvelle salle.
y occupe u
M. Louis Verneuil, dont le succes se
drame bien interprété et bien charpenté
Marigny, T’opérette et une Revue
majorité d
maintint si bien qu’il est probable que
de M. Pierre Frondaie, et un assez plai¬
7e Diable à Paris, sur laquelle on comp¬
rement séd
l’auteur du Fauteuil 47 et sa merveil¬
sant vaudeville de M. Georges Berr, le
tait beaucoup en raison de la collabora¬
de lui un
leuse partenaire, Mile Elvire Popesco,
Pussage de Vénus, ont rempli la saison,
tion de Robert de Flers, et qui, du reste,
de méme,
éliront domicile la saison prochaine
terminée par une belle reprise de la
tint l’affiche fort longtemps.
les Fruits
chez M. Léon Volterra.
Femme Nue.
Au Michel, comme à la Madeleine,
tre. Stegir
A la Porte-Saint-Martin, dont la dis¬
A la Scala, petit scandale avec En
saison intéressante, composée de spec¬
de grande
parition est maintenant certaine et peut¬
Bordée, vandeville assez épicé de MM.
tacles miontés par des entreprises diver¬
lettrés et de
étre prochaine, belle reprise de Chan¬
Pierre Veber et Gérouie ou l’on s’occor¬
ses. L’Ere loule nue de M. Paul Nivoix
récolte dan
fecler qui n’eut peut-étre pas l’éclat de
da à relever des réminiscences du Trein
fut assez goütéc pour étre bientöt reprise
en remonta
la création, mais fit une heureuse car¬
de 8 Heures 47 de Courteline. Néan¬
aux Variétés en fin de saison; la Ro#:
uisément tr
rière et dans laquelie Victor Francen
moins, succès de gros public, si consi¬
dle Perles de M. Nozière fit und carrière
quatre proch
S'affirma avec talent et autorité. Puis,
derable qu'il fallut aller l’épuiser en
honorable et une réapparition du Bup¬
le Carnavat de TAmour, d’une formule
face de la Scaln.
7e, la forte piece de MM. Alfred Sa¬
un peu faliguée, servit de rentrée à
Aux Variétés, une pièce de Sacha Gui¬
voir et Nozière accentua l’opinion de¬
Elle appa
Mine Vera Sergine et à son partenaire
try, 7e Miracke; une reprise de l’opérette
puis longlemps établie que cette hardie
si l’on envis
habituel Henri Rolland. L’adaptation
triomphante des Capucines, Fes; und
et originale piece est l’une des plus
par 1e Thé#
d’une pièce américaine, 1e Crime, par
autre de 1’Eve tonte nae de M. Paul Ni¬
vraimert fortes de cette époque.
Curel fut un
M. Charles Méré, dont on attendait mer¬
voix et une comédie, le Garçon ei la#
La Michodière aura donné l’une des
la disparitio
veille, en raison de la célébrité de ce
Fille de MM. Birabenn et Dolley dans
privés d'un
comédies les plus considérables de la
mélodrame chez les Anglo-Saxons, ne
le genrehabituel de la maison.
Tesprit fran
saison, Vient de Paraitre, d’Edouard
nous parut point d’une grande origina¬
J'ai parlé dans mon feuilleton précé¬
Dans la p
Bourdet, dont le succès n’était pas
lité.
dent, des spectacles de chez Bullin,
monde draf
épuisé à la fermeture. Une interpréta¬
Comme zu Gymnase et à l’Odéon,
Baty, Pitoäff et Jonvet, dont j'ai signalé
cravate de □
tion de premier ordre avec Victor Bou¬
nous eünies la visite d’une troupe étran¬
les succes.
cher, Baumer et Mlle Blanche Montel,
tein, la ros
gère, ie Thédire Acudémique de Moscen
Aux Escholliers on a donné une piece
acheva de faire de ce spectacle l'un des
deux ruban
dirigé par M. Alexis Granowsky qui
de M. Bruyèz, la Puissance des Mots,
plus applaudis de Tannée.
et on euten
remporta naturellement beaucoup plus
qui ne manquait ni de heauté, ni d’am¬
dre justice
Aux Nouveautés, opérettes loujours,
de succès devant la colonie russe que
bition; P’Apprenti Sorcier à la Grimace;
médiens, Nu
et une adaptation par M. Jacques Na- devant les Parisiens; les amateurs goü- chez les Compagnons de Notre-Dame,