II, Theaterstücke 18, Der einsame Weg. Schauspiel in fünf Akten (Junggeselle, Junggesellenstück, Die Egoisten, Einsame Wege, Wege ins Dunkle, Weg zum Licht), Seite 650

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M
13. Der eins. Neg
d’une comédie hongroise lu Qud¬
tèrent la discipline, l’ensemble, T’entrain
chevaug du roi. qui ne manquait
des artistes russes, mais leurs pièces
grément.
n’offraient pas grand intérêt et leurs
Nouvel-Ambigu, deux productions
mises en scène fort discutables pour
genre de la maison: Folle Jeu¬
nous, ainsi que leur jeu acrobatique,
e M. Alfred Machard, et le Père
nous avaient désä été révélés aux
on, de MM. Jean Kolb et Léon
Champs-Elysées par Teroff et Kamerny.
bs.
Au Théätre de la Potinière, deux pié¬
alais-Royal avec lne semme dans
ces, VInitiatrice ct Voyage à Trois, qulil
ebla Beignense du Lido a rempli
n’y a pas lieu de signaler particuliere¬
née gräce d ces deux pièces, dans
ment.
les sont ingénieusement dosés
A la Renaissance, M. Alfred Savoir,
s agréments un peu faciles qu'a¬
rétour d’Amérique, a donné une cu¬
elientele de cet heureux théätre.
rieuse et ironique étude des meurs amé¬
Théätre de Paris, Max Dearly,
ricaines, Cocktall, qui a semblé aux Pa¬
une reprise de son répertoire, a
risiens assez fantaisiste et cependant est,
oifjeur pour Dames de MM. Ar¬
parait-il, une peinture exacte et vigou¬
Gerbidon, ou la verve du grand
reuse des mcurs de lä-bas.
ie fit merveille autant que l’esprit
Au Théätre Sarah-Bernhardt, succes¬
ux aufeurs. Ef l’on acheva la sai¬
sivement, une comédic sans éclat, 7’Abbé
eclAmant de Madame Vidal, de
et te Ministre, ies Amants de Paris, un
buis Verneuil, dont le succès se
drame bien interprété et bien charpenté
nt si bien qu’il est probable que
de M. Pierre Frondaie, et un assez plai¬
du Fauteuil 47 et sa merveil¬
sant vaudeville de M. Georges Berr, le
partenaire, Mile Elvire Popesco,
Passage de Vénus, ont rempli la saison,
domicile la saison prochaine
terminée par une belle reprise de la
Léon Volterra.
Femme Nuc.
Porte-Saint-Martin, dont la dis¬
A la Scala, petit scandale avec En
nest maintenant certaine et peut¬
Bordée, vandeville assez épicé de MM.
rochaine, beile reprise de Chan¬
Pierre Veber et Géroule ou l’on s’accor¬
qui n’eut peut-étre pas l’éclat de
da à relever des réminiscences du Trdin
tion, mais fit une heureuse car¬
de 8 Heures 47 de Courteline. Néan¬
t dans laquelle Victor Francen
moins, succès de gros public, si consi¬
naavectalent et autorité. Puis,
dérable qu'il fallut aller l’épuiser en
avat de l'Amour, d’une formule
face de la Scala.
u faliguée, servit de rentrée à
Aux Variétés, une pièce de Sacha Gui¬
WVera Sergine et à son partenaire
try, 7e Miracke- une reprise de l’opérette
el Henri Rolland. L'adaptation
triomphante des Capucines, Fes; une
piece américaine, 7e Crime, par
autre de l’Eve toute #ze de M. Paul Ni¬
arles Méré, dont on attendait mer¬
voix et une comédie, le Garcon ei la
en raison de la célébrité de ce
Fille de MM. Birabenu et Dolley dans
ame chez les Anglo-Saxons, ne
le genre habituel de la maison.
arüt point d’une grande origina¬
J’ai parlé dans mon feuilleton précé¬
dent des spectacles de chez Bullin,
me au Gymnase et à l’Odéon.
Baty, Pitoöff et Jouvet, dont j'ai signalé
Enes la visite d’une troupe étran¬
les suceès.
Thédtre Académique de Moscen
Aux Escholliers on a donné ###e piece
par M. Alexis Granowsky qui
de M. Bruyèz, la Puissance des Mots,
la naturellement beaucoup plus
qui ne manquait ni de heauté, ni d’am¬
ces devant la colonie russe que
bition; P’Apprenti Sorcier à la Grimace;
les Parisiens; les amateurs goü- chez les Compagnons de Notre-Dame,
un fort beau mystère de M. Henry
Ghéon, la Fille du Sultan; an Théätre
des Jeunes Auteurs, dans la salle de
1·Odéon, le Pont de I’Europe; à !’ (Euvre,
un tout jeune comédien, M. Pierre“
Brasseur, a révélé dans llomme du¬
Monde, un talent plein de saveur qui#
fait espérer beaucoup, et enfin, au Stu¬
dio des Champs-Elysées, après le de¬
part de Baty, nous eümes une tres inté¬
Ls crise parlementaire
ressante représentation d’une Guvre
De M. René Lara (Gaulois).:
inédite de M. Matéi Roussou, un Bean
La démission de M. Emile, Brune
Rève, dans laquelle le jeune Samson
president de la, Chamhre belger
Fainsilber, que l’on va peut-étre se déci¬
une si vive emotion chez noswvois
der à employer triompha littéralement.
la gravité de la erise politiguh#et
l’on öbserve aujourdihui dans
Tel est le bilan de cette saison 1927-
ou la démagogie aspire à im
1928, qui démontre que la production¬
trines et ses méthodes et
dramatique fut loin d’étre aussi deplo¬
ture qui assurer Pordre à Pintérieu
curité au dehors.
rable que l’on a bien voulu le dire.Certes,
#II a compris, avec son ben sens
comme toujours, le théätre commercial
réfléchi et de patriote clairvoyänt, qut
y occupe une large place parce que la
ou la Belgique n’aurait plus, böhr 18
majorité du public ne se' laisse que ra¬
défense nationale, qutune milice inst
six mois il se pourrait qu'iln'y eüt
rement séduire par uge onivre exigeant
plus de Belgique.
de lui un effort quelconque, mais, tout
Le compromis suggéré par
de mème, T’année qui nous à apporté
la Chamhre appelle sans do
sérieuses: il risque d’aggi
les Fruits de lAmour; Vient de Purei¬
de périls qui oppose Fla
tre. Siegfried et Miature, quatre pièces
Mais 11 est un danger pl
de grande valeur goutées à la fois des
refus de voter une loi m
lettrés et de la foule, a réalisé une belle.
à la défense du pavs. Or.
heureusement en fäce de
récolte dans le champ dramatique, et,
obtenir une armée de cout
en remontant dans le passé, pourrait-on
trainte de donner des compe
militarisnie.,
aisément trouver pour le méme hiver
quatre productions de celte classe?
La mésaventure du chan

De M. Victor Snell (Gurret:
Elle apparait plus lourde cette saison
On a, ces jours derniers, endllem
si l’on envisage les cruelles pertes subies
en France — ici dans un sens#etia-b
par le Théätre. La mort de François de
un autre — comienté avecquelgu
une déclaration du chancelier Herna
Curel fut un événement considérable et
ler relative à la question, colömele:
la disparition de Robert de Flers nous a
Pour le moment— avait
privés d’un maitre de la fantaisie et de
magne ne peut que s’en désinteresser
Tesprit français.
trop besoin d’argent pour quesson
mème ne la détourne pas de rechere
Dans la promotion des Beaug-Arts, !
colonies, soit directement, solt'sols 1
monde dramatique a jusioment f#ié la
mandats de la Sociélé des Nations.
cravate de Commandeur d’'lenry Berns¬
II etait naturel que pareille Farole
tein, la rosetie de Lucien Fugère, les
certain retentissement. Mais-Ke#ivite
couvrit qu'en le publiant, la Garette
deux rubans de Denys Amiel et, de Rip.
laire de Dresde aväit, vonlursussout vo
et on eut encore le plaisir de voir ren¬
méghante farce au chancelier
dre instice à deux de nos meilleurs co¬
Cette phrase, en effet est anci
mnonte à un temps on M. Hermann
médiens, Numès et Gabriel Sienoret.
elle en fournit tout justement Ia pr
ANTOINE. Jne songeait pas à devenir chancelier.