II, Theaterstücke 11, (Reigen, 1), Reigen: Frankreich, Seite 16

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11. Reigen
N• DE DLBI‘! Snseezassssene saeeesee nt

PARTS-IIIINI
RUE ROYALE, 25, VIII:
Cresse
Dale
29 SEPTEMBRE 1932
Stonature
Ernoalitol
Informations
5
Aagjourd'hul. — Au Théätre de la Po¬
tindere, à 21 heures. répétttion générale A
du, spectacle russe du Kafoussel, présenté
par M. Kalchouck.
Au Théätre de l’Avenue, à 20 h. 45,
première représentationde La Ronde,
pléce en 10 tableaux d’Arthur Schnitzler,
traduction française de Mme Suzanne
Clauser et MM. Remon et Bauer.
4
Aymenée. — Nous apprenons les fan¬
çailles de M. Michel Czernow, l’impresario
bien connu, avec Mile Myriam Livchitz.
440
Cours théätraux.
Conservatoire de
Mimi-Pinson. Réouverture des cours gra¬
tuits de musique, de diction et de danse.
Inscriptions, par correspondance, au se¬
crétarlat, 66, boulevard Rochechouart, 18#.
K
NE DE DEBIT —
onafis
Eatrull de:
L.E JOTTRNAL.
RUE DE RICHELIEO, 100, II
Adresse
pale: 29 SEPTEHBRE 1932
Stanature
E.opostiton
LA REPENTTON DE CE SOIR:
A la Potinière, à 21 h., répatition géné¬
rale A (coupons orange) du gpeciacie du
Théätre russe Karoussel.
P
LES PREMIERES DE. GE SOIR :
A l’Athénée, à 20 h. 45, première de Ponkt,
de M. Félix Gandera.
—Au Théatre de l’Avenue Cie Piloêfr),
20 h, 45, première de la Ronde, d’Arthur
Schnitzler.
PERA. — Demain, 1e céjebre opéra de
V nichard Strauss, ie Chevalier d la rose,
réunira la superbe interprétation qul com¬
prend pour les principaux röles Mme
Campredon, M. Huberty, Mile Marisa Ferrer,
M. Henrl Fabert, Mlies Laval, Lapeyrette
M. Warnery, sous la direction de M. Philippe
Gaubert.
COMEDIE-FRANCAISE Joue ce solr en
L représentation officielle. à Genéve, l'Auare
# le Martage forcé.
TOUTES LES DATES en solrée étant déja
eienues Jusqu'au 7 octobre, MM. Léon
Volterra et Louls Verneufl se volent obligés
de remettre au mardi 4 octobre, en mannée,
la répétition générale de Une lemme ravie
au Théätre de Paris.
Toutefols, en s’excusant auprès de la erl¬
tique, pour ne pas prolonger un long reläche,
ls flxent à samedi soir 1“ octohre la pre¬
mière représentation à bureaux ouverls. 1
DORTE-SAINT-MARTIN. — Aujourd'huf à
L14 h. 45, matinée populatre à prix réduits
du Scandale, le chef-d’euvre d’Henry Ba¬
taille. (Prix des places de 3 à 19 francs.)
Matlnée à prix rédulis tous les jeudis e:
samed's.
/IIII. SARAH-BERNHARDT. — Aujourd’huf
à 14h. 30, matinée, et ce solr à 21 h.,
Ces dames aur chapeaur verts, le grand
succès oomique.
THEATRE MOGADOR. — Rappelons que la
4 répetition générale et la première repré¬
sentation de l'Auberge du Cheval blanc,
d’Erlk Charell, auront lien demaln ei samedi
avec M. Georges Milion en téte d’une écla¬
tante interprétation.
(HATELET. — Aujourd'hul à 14 h. 30, ma¬
tinée de l’opérette triomphale Nina Rosa
avec André Baugé et Sim Viva.
AITE-LYRIOUE.
Allez applaudir let
□ Mousquetaires au couvent. D’amusante
opérette obtlent tous les sotrs un tres grant
succès pleinement Justiflé. Dimanche matinée

La Julie sere affichée ie mardl s9
4 octobre. Unique représentation.
NTe
„Oerik.
URTTTISRUE TRONCHET, 31, VIII
Adresse:
Date
29 SEPTENERE 1932
SignafureeessesSenSaPRenRSenensSsSasSereraSauneestnen unassSssSsssshaasseser
Frnneitian:#
Répétitions générales
A LA POTINIERE, à 21 heures,
répétition générale A du spectacle
du Théatre russe a Karoussel „, 14
tableaux mis en scène par M. Eu¬
gene Iskoloff.
Premières représentations
A LATHENEE, à 20 heures 30,
„ Youki n, comédie en trois actes de
M. Félix Gandera.
A LAVENUE, à 21 heures, 6 La
Ronde v. piece en 10 tableaux d’Ar¬
thur Schlfiitzier, träduction fran¬
çaise de Mme Suzanne Clauser et
MM. Rémon et Bauer.
Le Soir:
20h 45 Musical
AAdresse : LE EATTN 9
Septenbre
2. 224. Pofssoniere,
Date: —
1932
PäRks 10.
0——
Signé:—
Repetition generale
au theatre de I’Avenue
de dLa Bonde #
Pièce en dix tableapk d’Arthur Schnitz¬
ler, traduction de Suanne Clauser, M.
Remüh en, W. -Bauer

Jimagine all Schnitzler, gil porte de
Pautre monde un regard zur Poris, doit
Pétre bien surpris. Enrisaheait-il que ses
dir dialoques d’amour, ou, pour miene
dire, ses dir scenes érotiques, poundient
saccommoller du cädre aue leur donne
M. Georges Pitoell? Audil-ipu prévoir
que son naturalisme d’aspect si trou¬
biant a ie sin de kautre siecle ne sdu¬
rait plus clarmer personne aujour-#
chui? Je crois bien que cette ercur¬
ision rétrospective à laquélle nous som¬
#mes couriés wassirmers que Phabileté?
cphe des
#d'un réalisateur aut #
pires dihicnltes de mise en scene et le
#talent d’une interpréte qui remplit, an
cours d’une mème soiree, les eing roles
seminins de Lourrage.
D’apres Schniteler, tout est hypocri¬
sie en n#sr physique. A la minule de
Petreinie, tes ames se cachent derrière
un visahe que dissimule mni-meme un
masqus, ## sont des Jorces obseures el
snhutierement semblabtes pour eidenn!s
c’entre nous qui rehissent les desirs de
Létre kumein. Depuis, Freud d derclop¬
pé considerablement la these. Dans sag
piece, Schnitaler tend surtout a demon¬
#trer ceci: que les tendances, les sen¬
timents, les desants et quelque chose
d’autre encore se compliquent à mesuren
que Létre mönte dans létat social. Une.)
discussion ouverte sur de tels sujets
pourrait sétendre indesiniment. Mais
serait-elle tout a sait sensée, puisque,
uscessairement, en pareit cas, la erca¬
ture est tonjours juge et partie?
Ame Ludmilla Pitocl) troure iei un
sücees bien merite en sonant abec son
originalite coutumiere son quintupte
röle, et ses partenaires, MM. Georges
Pitoclf, Raymend Dagand, Lonis Salon
et Geno-Fernt, sont, tout comme elle
chaleureusement applandis.
JLAN PRUDHONME.