II, Theaterstücke 5, Liebelei. Schauspiel in drei Akten, Seite 1794

Liebelei
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Das Kieins Bhatt, 1.
18 JAN
N· DE DEBIT ——
Artur=Schnitzler=Abend in der Volkshochschule.
LA LIBERTE
Das Theater der Volkshochschule,
Ludo¬
Ertroft de:
Hartmann=Platz 7 (Stadtbahnhaltestelle Burg¬
RUE REAUMUR, 122, II
gasse), bringt am Sonntag dem 20.—
um
19.30 Uhr einen Artur=Schnitzler=Abend, bei
Adresse
dem „Liebelei" und „Literatur“
zur Auf¬
führung gelangen. Mitwirkend: Alexandra! Maria West a. G. Einheitspreis 1 Schilling.
Date
26 JAHVIER 1935
Herrmann, Traute Jakobovics, Lilli Karten in der Volkshochschule, bei Lanyi,
Kuthan, Franz Deutsch, Walter Varn=|1, Kärntnerstraße 44, und=bei Gronner am
dal, Egon Waldmann, Rudolf Weiß und Graben 28,
Siynafure:
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dans des décors et des costumes re-]voir tourné le Dictateur, dont le scé¬
Le Dictateur, film réalisé en An¬
nario est des meilleurs; nous avons
constitués d’après les documents de
gleterre, va prochainement passer
travaillé de la fagon la plus conscien¬
l’époque. J’espère qulen France, oo il
sur un feran français: il n’est pas
cieuse et je n’hésite pas à avouer
passera dans le début de fevrier, le
indifférent, à la veille de sa présen¬
qu’avec Cavalcade, le Dictateur est
Dictateur rencontrera le succès qu'il
tation, de jete un coup d’e il sur l’ef¬
mon meilleur souvenir du cinéma.
mérite à mon point de ue.
fort considérable accompf. par le ci¬
Mais ce que je reproche aux réalisa¬
néma anglais depuis qu’avec la Vie
Et ensuite #
teurs, c’est d’apporter une attention
privée d’Henri VIII, d’Alexandre
Nous tournerons un autre film
inégale aux différents numéros dont
Korda, il a soudain manifesté avec
que mettra en scène Kurt Bernhart,
ils dirigent l’enregistrement. II s’en¬
éclat son désir de vivre et de rat¬
qui vient de réaliser chez vous l'Or
suit une inégalité forcée d’efficience
traper le temps perdu.
dans la rue.
dans les différentes parties Je leurs
Si l’on délaisse les productions an¬
Euvres.
*9
glaises de qualité quelconque, qui se
En février, je partirai pour Holly-
préoccupent surtout d’être commer¬
Clive Brook, sur ces entrefaites, a
10
wood; j'ai signé un contrat de lon¬
ciales en flattant le goüt du public,
donné quelques impressions à notre
gue durée avec la Métre Goldwin
il ne reste à envisager avec intérêt
envoyé. Anglais de naissance, ancien
Mayer et je ne ferai vraisemblable¬
que deux sociétés nettement déta¬
combattant de la grande guerre, il ne
ment plur de films en Eprope, à¬
chées des autres, je veux dire la
mäche pas ses mots.
moins.,, de tomber sur des sujers tout #
Toeplitz Prod. Ltd et la London
A part Korda, Victor Saville et
à fait exceptionnels., Je préfère sa¬
Films. M. Toeplitz de Grand Ry, ani¬
Hitchkook, dit-il, il n’y a pas de met¬
crifier une occasion de gagner de l’ar¬
mateur de la première, avait bien
teur en scène en Angleterre. La plu¬
gent que de compromettre la réplita¬
voulu me faire d’intéressantes décla¬
part des sujets de films sont ridicu¬
tion que je me suis faite au priz de
rations, lors de mon dernier séjour
les; c’est une chance pour moi d’a¬
tant de travail.
à Londres, alors qu’il travaillait avec
D’autre part, Ja London Films, à
mnenn
Korda à la réalisation de Catherine
Elstree, vient de erminer Bosambo;
de Russie. Italien de naissance,
Alexandre Korda est l’animateur de
compagnon de Gabriele d’Annunzio
cette société, et, porr 1935, un impor¬
lors de la fameuse équipée de Fiume,
tant programame est en voie #e réali¬
c’est une curieuse et remarquable
sation. René Clair st King Vidor ont
personnalité. II a, sur le cinéma, les
été engagès pour deux fikns et pro¬
idées les plus larges et parait être
duiront notamment Monsieur Ie Ma¬
dans la bonne voie.
réchal, scénario d’Henri Jeanson et
92
Marcel Achard, avec Maurice Cheva¬
lier comme interprête principal. L’en¬
Le cinéma, a-t-il tout récem¬
gagement de Jacques Feyder ferait,
ment déclaré à notre correspondant
d’autre part, l’objet de conversations
de Londres, est évidemment une af¬
en cours.
faire commerciale, mais qui doit de¬
Le but d’Alexandre Korda est d’en¬
meurer artistique. Autrement dit, le
treprendre une production mondiale
producteur ne doit pas hésiter à ou¬
susceptible de rivaliser avec la pro¬
vrir largement les cordons de sa
duction américaine.
bourse, à condition que soient trou¬
Victor Saville dirige la réalisation
ves et réunis un bon scénario, un hon
d’un film historique, Moi et Malbo¬
metteur en scène, de bons artistes et
borough; pour une autre société :
des collaborateurs de qualité.,, Vérité
Walter Forde, qui fit Rome Express,
de La Palice, peut-Etre, mais vérité
Chu Chin Chow, etc., a mis en scène
trop souvent négligée. Or, pour le
Allas Bulldog Drummond, que nous
Dictateur, j'avais un hon sujet: com¬
avons vuà Paris. Bref, un mouvement
me metteur en scäne, Victor Saville,
de reprise très net s'affirme outre¬
un gargon qui a fait ses preuves ;
Manche. II n’est pas indifférent de le
comme opérateur, Planer, le camera¬
souligner et d’en enregistrer les ré¬
man de Liebelei, de Symphonie Ina¬
sultats que nous rappellera, prochai¬
chevee, Mascarade, 1es Nuits Mosco¬
nement, le succès qui attend vraisem¬
vites comme principaux artistes,
blablement la sortie du Dictateur
Margo, la principale interprête fé¬
enfin, Clive Brook et Madeleine Car¬
avec Clive Brook.
minine de & Crime sans passion 9,
rol. Et nous avons, avec ces excellen¬
le beau film qui passe au cinéma
Raoul dAST.
tes données, tourné le film à Ealing,
des Champs-Elystes avec un grand
Succes.
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