2. Die drei
—
lixiere
box 1/1
—
ut plus aimer
car elle était
2
inepersohne
son, Amour, inté¬
esquisse de M. Ola
pürle ton personnel quselle prend. Lauteur
taiche à suivre dans ie labyrinthe de la conscience
tenn des causes qui provoquent la naissande ou
mort de Tamour. IIy a des aundes déja, i#nou
madans Sensition Amorosa toute une serie de
Tanalogues, Sa nouvelle de l AImanach marche
Stre iron sur les traces de celles de son debut
raire. Avec. M. Oscar Panizza, naus rentronsen
dans le pays de Thumour. M. Panizza sourit
irs. Encore que le sujet de son Pasteur lokannes
tache béaucoup à Hoffmann, son etvie rappel
ot celun der nouvelles de Gottfried Kelleret peu
npeuiimmermann. M. Przybyszewski (1), 1•615n
decadent polenais, qull serait impossiblé de
aracteriser en quelques lignes, évoque dans Assomb¬
tien la curieuse sensation de réves chaotiques en
miesommeil digresse.
enial Loris (Hugo von Hofmannstha
In
er ia Mort, une scène lyrique toute
44
falsant quelque pen songer à Mussel.
amte amère sur une destinde pete
merdune vie trop facile. M. Herman.
le protéisme ne reussit plus à Stonner
e nousdonne, apres Grabke et apres M. Bl.
le premieracted un Bonaparte avec une curieu
de Josephine. Aurait-i, une fois, pu ne pt
comme Paris? En préface à un fragment de c
en vers, Le Rérell d'Elin, M. Frank Wedekint
annonce que sa jecen trois actes t
Speurneerdite, dort depuis Se
unfond uun tireir etque son Paros e garc
W#la veille du marlage Tornement d’üne chas
immaculée 2. Parmi tous ccs fragments souvent
ncomplets, i convient de mentionner encore ceuz di
Shant de VHumasite, de M. Henr Hart, et la Lan
un dn Baradis, extrait d’une tiagedie sur le Christ
M. Jules Hart.
boétes lyriques, cette fois encore, sont
té dans l’Almanach (le voldme entler contien
ut as auteurs). M. Dauthendey, dans ses
ononcez: Pchybychew
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lixiere
box 1/1
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ut plus aimer
car elle était
2
inepersohne
son, Amour, inté¬
esquisse de M. Ola
pürle ton personnel quselle prend. Lauteur
taiche à suivre dans ie labyrinthe de la conscience
tenn des causes qui provoquent la naissande ou
mort de Tamour. IIy a des aundes déja, i#nou
madans Sensition Amorosa toute une serie de
Tanalogues, Sa nouvelle de l AImanach marche
Stre iron sur les traces de celles de son debut
raire. Avec. M. Oscar Panizza, naus rentronsen
dans le pays de Thumour. M. Panizza sourit
irs. Encore que le sujet de son Pasteur lokannes
tache béaucoup à Hoffmann, son etvie rappel
ot celun der nouvelles de Gottfried Kelleret peu
npeuiimmermann. M. Przybyszewski (1), 1•615n
decadent polenais, qull serait impossiblé de
aracteriser en quelques lignes, évoque dans Assomb¬
tien la curieuse sensation de réves chaotiques en
miesommeil digresse.
enial Loris (Hugo von Hofmannstha
In
er ia Mort, une scène lyrique toute
44
falsant quelque pen songer à Mussel.
amte amère sur une destinde pete
merdune vie trop facile. M. Herman.
le protéisme ne reussit plus à Stonner
e nousdonne, apres Grabke et apres M. Bl.
le premieracted un Bonaparte avec une curieu
de Josephine. Aurait-i, une fois, pu ne pt
comme Paris? En préface à un fragment de c
en vers, Le Rérell d'Elin, M. Frank Wedekint
annonce que sa jecen trois actes t
Speurneerdite, dort depuis Se
unfond uun tireir etque son Paros e garc
W#la veille du marlage Tornement d’üne chas
immaculée 2. Parmi tous ccs fragments souvent
ncomplets, i convient de mentionner encore ceuz di
Shant de VHumasite, de M. Henr Hart, et la Lan
un dn Baradis, extrait d’une tiagedie sur le Christ
M. Jules Hart.
boétes lyriques, cette fois encore, sont
té dans l’Almanach (le voldme entler contien
ut as auteurs). M. Dauthendey, dans ses
ononcez: Pchybychew