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Junsdesellen
eines
box 2/11
Der Pod an. denen e Pe 0. de K. K. e .
100
Arthur Schnitzie.
Une nouvelle comme Le Célbataire donne de Schnitzler
Tidée d’un Maupassant germanique, ei au total ce n'est poini s
ineract.
Arthur Schnitzler, mort Tannée dermère à Vienne, pro¬
cède en effei du réalisme qui florissait en France aufour de
1890; apres Flaubert, apres Zola, um genre était né plus menu
que le leur; toute une lignée de petits-maitres avaient réduit à la
mesure de la noupelle Tinspiration de maitres qui tendaient d une
synthese, que ce fül celle de Madame Bovary ei de Salammbö,
ou des Rougon-Macquart.
Les noupeaux venus procédaient par analyse minutieuse; leu
ceil étan exercé d voir par le mon les détails c'une action, d
reienir de la physionomie d’un individhu tout ce qui pouvait
serpir d dresser une fiche signalétique. Pour faire de cela un
ensemble, il ne reskait qu'd trouver le sujet: mince luf aussi,
Dévénement qui se laisse racontei ei forme la trame captivanke
c'un récit court, capable d’entrer dans quelque série des Mille
et un Matins.
—
Dans la littérature allemande ou les preportions
amples, ou un roman prend plusieurs de nos volumes,
velle fait un de nos romans, ces récits d'un épisode
4 plications devinrent des nouvelles de vingt d trois c.
C’est en général de telles narrations romanesq
compose Taupre de Schnitzler. La Société viennois
est une peinture n'y est pas représentée à la fresque
plan d la fagon d' Emile Zola ou de Heinrich Mann
tures seulement s'y juxtaposent, choistes seion T’ins
moment; et dans chacune d’elles c’est un cas intère
wrouve exposé. Schnitzler, médecin et psychologu¬
échappé à linfluence de Freud; sa psychologie est d.
pathie. Sans rien pourtant qui sente la théorie, ni l.
laboratoire; Félément essentiel de son travail litté
(1) Né en 1862, mort à Vienne, en 1931.
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Junsdesellen
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Der Pod an. denen e Pe 0. de K. K. e .
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Arthur Schnitzie.
Une nouvelle comme Le Célbataire donne de Schnitzler
Tidée d’un Maupassant germanique, ei au total ce n'est poini s
ineract.
Arthur Schnitzler, mort Tannée dermère à Vienne, pro¬
cède en effei du réalisme qui florissait en France aufour de
1890; apres Flaubert, apres Zola, um genre était né plus menu
que le leur; toute une lignée de petits-maitres avaient réduit à la
mesure de la noupelle Tinspiration de maitres qui tendaient d une
synthese, que ce fül celle de Madame Bovary ei de Salammbö,
ou des Rougon-Macquart.
Les noupeaux venus procédaient par analyse minutieuse; leu
ceil étan exercé d voir par le mon les détails c'une action, d
reienir de la physionomie d’un individhu tout ce qui pouvait
serpir d dresser une fiche signalétique. Pour faire de cela un
ensemble, il ne reskait qu'd trouver le sujet: mince luf aussi,
Dévénement qui se laisse racontei ei forme la trame captivanke
c'un récit court, capable d’entrer dans quelque série des Mille
et un Matins.
—
Dans la littérature allemande ou les preportions
amples, ou un roman prend plusieurs de nos volumes,
velle fait un de nos romans, ces récits d'un épisode
4 plications devinrent des nouvelles de vingt d trois c.
C’est en général de telles narrations romanesq
compose Taupre de Schnitzler. La Société viennois
est une peinture n'y est pas représentée à la fresque
plan d la fagon d' Emile Zola ou de Heinrich Mann
tures seulement s'y juxtaposent, choistes seion T’ins
moment; et dans chacune d’elles c’est un cas intère
wrouve exposé. Schnitzler, médecin et psychologu¬
échappé à linfluence de Freud; sa psychologie est d.
pathie. Sans rien pourtant qui sente la théorie, ni l.
laboratoire; Félément essentiel de son travail litté
(1) Né en 1862, mort à Vienne, en 1931.
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