II, Theaterstücke 18, Der einsame Weg. Schauspiel in fünf Akten (Junggeselle, Junggesellenstück, Die Egoisten, Einsame Wege, Wege ins Dunkle, Weg zum Licht), Seite 181

box 23/1
18. Der einsane Neg
Les Japocars Crrehta
Scibien y a-t-il de ves qui soient
Houte! WNous Navens
—.——
avec und extrémé lente
Liestes pu. s Koupes Japonai-! # droit d’avoir raison avant Theure. Nous ne capables d’expliquer proprement le sens du mot
Une brigade dinfant
Itaximétre? I viendra donc un moment ou les Fran¬
rie, a été aux prises av
9 pouvons pas avoir raison contre notre parti,
gmenter notablement nos forces
I çais ne sauront plus du tout ce que vondront dire
line, le 20 septembre.
Gerre, alln darriver à des résul¬
5 surtout quand il s’agit d’exercer en son nom
été vik.
Eemps le plus court possible.
les mots qulils auront le plus souvent l’occasion de
5 T’action gouvernementale „. M. Jaurès avoue,
re de nos unités atteindra un
Le quartier général
prononcer, ces mots servant à désigner des inven¬
rait plus de les laisser groupées dans ces lignes, qu’en renonçant à la participa¬






meilleure si le jeun
tomnal dans lequel retentissent les derniers
Cette artiste, qui, par sa taille ronde, ses veux
relations avcc un chätelain
de fagon si claire et
sons d’une douce valse viennoise. Mais ses per¬
bleus et sa chevelure d’un blond foncé fait l’im¬
pas restées sans suite; mais
instincts, puisqu'il a
sonnages ne dansent plus, peut-étre parce que
pression d’une bonne bourgeoise, est un génie
our faire à lhomme quselle
du séducteur de san
leurs pères ont trop dansé; ils sont très fati¬
primnitif qui semble créer tout d’un monde in¬
ven de sa maternité, et, d’un
Mais mémeles lieu
gués, tres prudents et préfèrent vivre dans le
connu. Avec sa langue lourde, elle ne serait pas
Es morales pas trop scrupu¬
si prudents qu'ils
passé que dans l’actualité. Choses mortes re¬
capable de prononcer un vers, mais un cri
Ehne lui permettrait de se sau¬
comme sur une éir
pissent la vie, tel est le titre d’une de ses nou¬
d’elle vaut plus que la déclamation la plus ar¬
tion en épousant un brave
parfaitement; il
velles. On peut baisser les rideaux, quand le
tistique, et son rire est si doux au'elle ferait ver¬
e. Cela est déjà arrivé plus
peintre au tempéram
printemps frappe à la fenétre, on peut fermer
ser des larmes de joie. Elie est l’idole du pu¬
hvillage, et pour qu'elle en
arracher encore àla
les yeux devant le soleil et le printemps
blic mais elle joue avec une grande modestie
tre le crime infanticide, il
a donc perdu son un
et le soleil n’existent plus. L’äme peut ré¬
et une grande retenue, comme si elle ne s’en
cculée par les événements
encore un peu jusc
sister, étre réfractaire à tout ce qui est
était jamais aperçue.
s. Ce dénouement tragique
Sala lui ait expliqu
actuel, àtout ce qui est vivant, elle ne peut
Gerhardt Hauptmann a écrit ici pour la pre¬
fine et psychologiquement
eux qui ont été si an
pas se refermer contre le souvenir. Sans
mière fois une pièce, dont lepersonnage principal
eune fille, autrefois si prude
le droit de compter
qu'il soit appelé, il se présente et il ne se laisse
estunefemme, et c’est à cet étre quevatoute la
fois tombée, la bestialité des
que; nos folies, no#
pas renvoyer. M. Schnitzler est un fin connais¬
sympathie et la pitié de l’auteur, tandis qu'il
ne contre elle, et, après le
cachées à d’autres,
seur de l’ame moderne, par laquelle, en sa qua¬
semble n’avoir qu'une froide méflance pour les
du moins un homme conve¬
plus profond de no
lité de sentimental, il se laisse facilement sé¬
hommes. Les chasseurs brutaux qui entourent
lividu brutal et dégradé, qui,
jours ce que nous va
duire; sans, toutefois, se laisser tromper. Doux
la noble proie ne font pas contraste entre eux par
'elle avait été honnéte, n'a¬
Enfin ce jouisseu
et faible décadent viennois, il n’a pas la main
des traits conventionnels, mais ee sont des figures
Tose, et qui se dit mainte¬
l’intelligence si vivel
assez vigoureuse pour conduire la lourde ma¬
finement différenciécs dont chacune représente
M'elle a appartenu à quel¬
doit encore supporte
chine du drame dans un mouvement ininter¬
suivant son origine, ses instincts, son tempé¬
Hus autres tous qui avons un
de son existence, ca
rompu, c’est pourquoi il n’est bien à son aise,
rament, un genre particulier de moralité, et
d, ne l’aurions-nous pas? „
tentissement sensat
et ses auditeurs aussi, que quand il peut laisser
chacun d’eux cherche à nuire à la pauvre Rose
se sauver, ni par son mé¬
discret. II a des relaß
s’asseoir ses personnages. Alors, observateur
à sa façon. Ce qui est mauvais pour elle, c’est
upplications, et, lorsqu'elle
teur de l'Académie
méticuleux, il entreméle leurs destinées à l’aide
son amourette irréfléchie avcc le petit seigneur.
d’angoisse, il la prend de
ceste parce qu'il est
des saillies suggestives qu'il leur met dans la
Mais ce qui est pire, c’est le désir grossier du
mis, il est vrai, de garder
paternel, et comme
bouche. Pour cette première raison, ses pièces
paysan bestial, mais cequi est le plus terrible
vanité masculine l’empéche
nage un peu énigm
manquent d’énergie dramatique; les per¬
c’est l’inflexibilité du sentiment de justice de
sse, parce qu'il veut se tar¬
létang de son jard
sonnages sont trop savants. IIs ne peuvent
son père qui la traine devant les tribunaux
s par des allusions préten¬
ressource à de Sall
ni apprendre, ni souffrir, ce qu’ils n’ont
amène ainsi la catastrophe. Seul son flancé
ons forcent le vien- Bernd,
méme d’une mani
pas préalablement pensé. Plus ses inven¬
officiel, un doux piétiste, la prend en pitié;
louter de la pureté de sa
Cgoistes stenfuient e
tions sont simples, comme dans sa première
en hon chrétien, il respecte ses souffrances,
se
ivre en justice. Rose
fait faillite à la vie, d
pièce, Amourette, plus on cublie l'absence de
mais elle ne peut plus accepter la main
Elle a honte d’avouer le fait
ont trompé comme
faculté de construction, par suite des artifices
qu'il lui avait offerte, parce que, avec la
ramant, et en revenant du
on ressent vivement
séducteurs de sa gräce ct de son amabilité.
malernité perdue, la force de la femme a été#
Enfant venu au monde peut¬
vieillesse viennent
Sa dernière pièce, le Chemin solitaire, a étc
anéantie. C’est ainsi que cette tragédie villa¬
la suite de ces émotions. La
entrent dans le ch
fächeusement alourdie d’une quantité d’hypo¬
geoise, malgré son cadre intime, offre une grande
qui se passe dans les coulis¬
directeur est le sen
theses, et il faut plus de temps que d’habitude
image de la fragilité des choses humeines. Elle
encore plus difficile à suivre.
c’est-à-dire qui ait g
pour arriver à goüter la finesse de ses ré¬
constituc de longues variations sur le problème
Mans le dernier acte que la
nature seule ne lui #
flexions. En principe, c’est I’histoire tragique
de la moralité, avec des figures Cxtrémement
ue du problème s’éclaircit. II
la dernière scène so
de deux hommes vieillissants, qui doivent par¬
vivantes, dont chacune a une fraction de la
de la lutte des sexes inhé¬
verlu qui se sacrifie,
courir le chemin solitaire jusqu'à leur fin, par¬
science dans sa main. Nous ponvons rassem¬
ce de Thumanité, entre les
observeren méme ie
ce qu'ils ont toujours détruit, jamais construit.
bler ses fractions en une image de l’huma¬
et la femme, proie, qui dé¬
glepour étre bon.
Le peintre Fichtner a séduit la flancée d’un
nité, mais la pièce est plus forte dans la repré¬
plus précieux, la maternité,
Dans cette fine con
ami, il ya quelque vingt ans, et lorsque, épouse
sentation de la diversité que dans son effort
extrémité. Dans le dernier
filie est un sujet d
de Thonnéte dirccteur d’Académie, elle est
vers l’unité, et nous recevons seulement la lu¬
aprété à la mère les accents
probablement son 0
morte, il révele 4 son fils Félix, un lieutenant
mière lorsque nous avons pénétré les ténébres
ants. Elle a un enfant; peu
lion que l’auteur ne##
autrichien, ie secret de sa paternité, non pas
et les complications de l’action. D’après les idées.
mais on ne veut pas per¬
Sala, qui a les chos
par un sentiment de remords, mais parsimple
allemandes, le röle d'un raisonneur qui explique
de vivre, et lorsqu'il vient
le röle d'un simpler
égoisme, parce que, frölé par les premiers fris¬
le sens de l’action est absolument inadmissible,
a pas de place pour son
personnage dans la
sons automnaux de la vie, la solitude commen¬
mais la pièce elle-méme pourrait nous parler
ee flevreux de la d###péré#e
et diffuse au détrin
ceà lui peser. La scène prend un développe¬
plus compréhensiblement et nous faire connaf¬
Masphèmes effrofables, des
que cetle comédie
ment tres vraisemblable, parce que, contraire¬
tre plus tôt qu’au dernier moment, ses Inten¬
sespoir et des plaintes dou¬
pas la meilleure im
ment à une vieille convention de théätre, la
tions humaines.
qu'on la voit repré
soi-disant voix de la nature ne se manifeste
Acôté de Gerhardt Hauptmann, nous avons
#nd est véritablement unc
à plusieurs reprises
pas du tout. Félix était habitué à considérer le
Arthur Schuilzler qui est resté fidele au & Théa¬
ié avec sa passion ct son“
nesse ct la delichtess
bon directeur comme son père, qui, sans égols¬
eallemand v. Le Donnay allemand, doux, ai¬

gnen der Pay—
mes habilucs à ce au
me, à remplises devoirs, et la vérité qulil vient
mable, sentimental, ironique, est notre seul
mères nalves et enfantines
ges ne se meuvent pa
de découvrir n’a pour lui ancun effet, sinon que
dramaturge qui sache parler élégamment: cela
Etde mensonge. Elle trouva
point que Thabileté
Fichtner qu'il estimait et aimait, lui est devenn
rfäite dans Mme Else Leck- I signilie qu’il nous vient d’Autriche. Toutes ses
est tout de santé et de nature. I pieces semblent se basser dans un paysage au-Ttout à fait étranger. Cette scène scrait encore I considérée comme un