11.
box 17/5
Reigen
disparition s’est sileidee i .
Vue dassurer
Sur la route, ses qualités sont encoh
3. Seisgenantssgasemce. — Cue octogénaire, Mme
jetant dans la Garonne.
et du gaz à l’hopital et
Elle est de bonne racc. Renseignez
Seule la petite mariée de Choisy-le-Roi, Mme veuve Michel, qui habitait la ferme de Perton, près
239, avenue Berthelot, à Lyon, et dar
a ville.
u'aggrave la concur¬
de Shakespeare: Don Juan (avec Harry Wal¬
nocent, la Flamme, de Müller
Le théätre de la Burg, qui passe depuis de
e. A plus forte raison
den), le Mariage forcé, Macbeth, avec une ex¬
toire par une actrice dont le #n
longues années pour la meilleure des scènes
lles à lutter avec des
cellente traduction nouvelle du docteur Hock,
aux lecteurs du Temps, Mmne
classiques de langue allemande, lutte coura¬
Hamlet, Beaucoup de bruit pour rien. Dans la
Volkstheater atteste en somme
geusement, mais avec des fortunes diverses,
reprise qui a aussitöt caractérisé l’aprés-guerre.
n’a-t-elle pas com¬
pitulation de toutes les idées,
contre les difficultés matérielles grandissantes.
c’est IEchange de Paul Claudel qui a bénéficié
nier, par une gréve à
préjugés, des ci-devant censur
II a subi après la démission de l’excellent ac¬
de l'effort moderniste du nouveau régime. Le
syndicat des g em¬
de vue encore des hardiess
teur Heine une longue crise d’anarchie direc¬
Burgtheater s’étant adjoint une annexe de prin¬
ühnenverein) exigeait
nouvelle interprétation du
toriale terminéc par l’avènement d’un nouveau
temps et d’automne, l’ancien théätre privé de
erale allant jusqu'à
Gethe, dans son texte intégr
dictateur littéraire, le poête Anton Wildgans,
l’empereur au chäteau de Scheenbrunn, c’est
à
dacieuse nuit de Walpurgis.
Eslistes publiées
que trois tragédies, Pauvreté, Amour, Dies Ire.
encore Molière et Bernard Shaw qui ont eu
é notamment que le
avaient, de 1914 à 1918, fait particulièrement
vue politique, le triomphe de
surtout les honneurs de cette salle unique
nnois, payait de 1,400
remarquer. Sauf Wildgans et le Polonais Thad¬
(le Temps viendra) ou de son
avec son élégant décor blanc et doré, ou
Buchner (la Mort de Danton).
ois ses artistes, tandis
dée Rittner, qui vient de mourir prématuré¬
Talma joua devant les hôtes princiers de
remier théätre d’opé¬
apprécié, à côté de ces déclam
ment (le Jardin de la jeunesse), les succès des
Napoléon I“.
années de guerre n’avaient fait que consacrer
les de Krantz (Liberté), le dern
ou fut créée la Veuve
L’Odéon de Vienne, le Deutsches Volkstheater.
geois de Schcenherr, Tragédie
des réputations déjà établies comme celles du
la Flüte enchantée de
est demeuré fidele à lhabitude, que pourrait lui
très curieux de nous intéresser
célèbre auteur de Liebelei, Arthur Schnitzler
eux remarquables in¬
envier son émule parisien, d’un constant bon¬
au problème de l’adultère en 1##
(Comédie des paroles), du Tyrolien Schenherr
tty Fischer et Louise
heur financier accompagnant une production
l’impure tragédie dans unee
(Femme-démon), ou du Hongrois Molnar (Car¬
dérisoires respectives
active et toujours soucieuse d’art. L’avantageux
limpide, l’äme pure des enfa
naval). Weibsteufel, de Schenherr, est un de
par soirée. La grève
bilan de la gestion de son habile directeur, M.
desquels la déroulent ses hér
ces drames villageois dont ce montagnard à
e obtint surtout des
Bernau, tient surtout à son initiative, inspirée
spectateur.
solide charpente physique et au langage äpre
pnds röles y, en méme
d’ailleurs d’exemples étrangers, d’avoir ouvert,
Romain Rolland après Roj
ct énergique s’est fait une spécialité.
hinistes et les choris¬
à côté de la grande vieille maison, des Kam¬
Paul Glaudel! On le voit, l’infl
La révolution a changé tout l’esprit qui inspi¬
tn’en ont pas moins
merspiele ou deux représentations consécuti¬
français, dont j'avais ici
Ation de situation très
rait le répertoire de la Burg, traditionnel
ves de soir et de nuit permettaient l’emploi in¬
guerre, eu l’occasion de signa
conservateur. C’est maintenant l’irruption
du
en de la Burg gagne
tensif de tous les excellents éléments de sa
rance, ne menace pas de déc
pessimisme scandinave de Strindberg (Devant
bnnes par an, un pre¬
troupe. II faut avouer en outre que le réper¬
dévalorisation de la monnaie
un an, l’incomparable
7a mort, la Reine Christine), de l’anarchie
toire des Kammerspiele ne fut pas choisi sans
tante pour des directeurs pari
tellectualiste de Bernard Shaw (Candida,
l’Opéra, Jeritza, en
la
un sens averti du goüt et des instincts du pu¬
Vienne de droits de traduction
Maisons des ccurs brisés, représentée alors
en avoir aujourd’hui
blic mélé qui fait aujourd'hui les succès d’ar¬
II est à souhaiter pour l’influe
pour la première fois en Europe), ou des autres
aine à New-York lui
gent. On connait à Paris, notamment par son
térature et le rayonnement de
hardiesses de cet autre Anglais Oscar Wilde
age. L’augmentation
Eveil du Printemps, l’ceuvre risquée de Frank
Cette situation soit bientôt m
(Bunbury). Plus caractéristique encore est une
hit subir au prix des
Eveil du printemps, l’cuvre risquée de Frank
cord enfin ißttervenu récemm
des premières pièces jouées en 1919 : Ein
huelle (30 fois le prix
en butte aux sévérités des censures, mème les
ciété des autcurs et composit
Geschlecht (Une famille), pamphlei contre la
50 fois à- LOpére en
moins timorées. Son Chdteau de Weiterstein
celle de Vienne. En attendant,
guerre d’un officier devenu poête pacifiste,
de plus en plus Tan¬
relève par son sujet un cas de sadisme, réa¬
autres les longs succès du Ro#
Fritz von Unruh. Moins révolutionnaires, mais
du public beurgeois,
lisé et satisfait sous les yeux du spectateur, de
de Pana à la Renaissance, et, p
sassi hardies, les Scurs, d’Arthur Schnitzler,
devenue elle-méme
notre Grand-Guignol. La distinction d’inter¬
et Caillavet, de Capus (les Ma
ont charmé l’avant-dernière saison comme le
Ers ont remplacé ces
prêtes comme Hugo Werner-Kahle et Mlle
aux Kammerspiele, de Mauric
Cyone de Molnar la dernière.
tconfirment par leur
Carlsen enlevait, il est vrai, à l'interpré¬
calion de prince) à la Neue W
plaisirs d’art que pro¬
Bien qu’on ne puisse, dans une revue aussi
tation ce que les adversaires de la pièce
Veber et de Gorsse (Colette)
e capitale des Hai
bréve, méme seulement nommer toutes les eu¬
auraient pu trouver de plus choquant. Le scan¬
loutes pièces antérieurement
ves qui mériteraient d’étre retenues, il faut
dale s’accrut encore, artificiellement provoqué
ns et d’artistes decin¬
encore cit## le beau drame biblique de Beer
L’Opéra d’Etat — tel est au
pour des raisons plus politiques que littérai¬
héätre du Mittelstand,
Hofmann, Frivain de premier plan et très oé
officiel du premier théätre lyn
res, avec la Ronde de Schnitzler. Les lettrés
lebre quoi qu'il ait au cours d’une longue car¬
—
bénéficiant de la forte or
connaissaient depuis longtemps l’amusante sé¬
es& theätres du peu¬
rière fort peu produit: le Songe de Jacob;
duite sous le long regne du
rie des dix dialogues, nullement destinés au
les Troyennes, adaptation d’Euripide qui a con¬
Gustave Mahler, a eu la chaf
théätre, ou l’auteur d’Amourette mettait
sacré le talent déjà très estimé d’un & jeune
sa téte, lors de sa réorganisa
à tour aux prises un homme et une femme des
Kn coctait wrant in guerre
de Prague, Franz Werfel, et fait de lui
comme Richard Strauss, assis
#ur les représentations 6 à
différents milieux de l’ancienne société au¬
poéte arrivé du groupe de tres jeunes écrivains
à prix augmentés „ 2,500,
teurs comme l’éminent chef d’
trichienne, prostituée, soldat, femme de cham¬
qui constitue e l'Autriche de demain 9. Mais
extraordinaires v & 3,600
Favorisé aussi par l'afflux de
hre, jeune bourgeois, jeune femme mariée,
estre (du 8° au 13° rang)
le plus grandsuccès de l’après-guerre a été,
gers qui ne reculaient devan
époux infidèle, grisette, auteur dramatique,
nes à 400, 600 et 800, un
comme plus d’une fois avant 1914, une piéce
tion des prix, il s’est assuré à
actrice, officier aristocrate. La situation, tou¬
niers rangs de côté de 3 à
française de ce répertoire contemporain si cher
très homogène, au premier r
jours la méme et difficile à représenter jus¬
aux Viennois, Die Fahrt ins Blaue, la Belte
brillent Mmes Jeritza, Kiurina,
qu'au bout aux lumières, comportait par sa ré¬
trichienne a d’ailleurs créé
Aventure de Flers et Caillavet, magistralement
I'Américain Piccaver ou le S
pétition méme un enseignement d’une philo¬
ilture artistique 8 à l'usage
interprétée par Tressler et Mme Wildbrand, la
sophie savoureuse, sur la portée duquel aucun
le concours de & Geste n, c’est
syndicats, la Zentralstelle
Madeleine Brohan de Vienne. La guerre, sans
Sozialdemokratischen Par¬
critique de bonne foi ne pouvait se méprendre.
en représentations des prin
donner, sauf dans les deux premiers mois,
infatigable est le docteur
La mise à la scène du Reigen concue à Ber¬
d’Europe, engagés spécialemen
représentations à prix ré¬
place à des pièces de circonstance, ayant privé,
lin a choqué des susceptibilités qu'une cuvre
qui convient le mienx à leur t#
verses scènes viennoises à
pour des questions de droits d’auteurs surtout,
moins littéraire n’aurait peut-étre pas provo¬
qu'il a pu monter dans des c
s des syndicats pour leur
les théätres viennois d’ouvrages français ou
quées et qui trouvèrent un écho à Vienne en
près impeccables deux cuvre
Flassique ou les meilleures
anglais d’auteurs vivants, ce fut l’occasion pour
de regrettables incidents.
ment remarquables, la Femme
ntation. Le parti chrétien
Ia Burg de monter avec un soin particulier les
Le plus grand succès peut-étre du Volks¬
Strauss (1920), et la Ville mor
Kunststelle für christliche
chefs-d’oruvre un peu négligés de Molière et
theater Jui-méme n’était pas d’un sujet plus in- (1921).
box 17/5
Reigen
disparition s’est sileidee i .
Vue dassurer
Sur la route, ses qualités sont encoh
3. Seisgenantssgasemce. — Cue octogénaire, Mme
jetant dans la Garonne.
et du gaz à l’hopital et
Elle est de bonne racc. Renseignez
Seule la petite mariée de Choisy-le-Roi, Mme veuve Michel, qui habitait la ferme de Perton, près
239, avenue Berthelot, à Lyon, et dar
a ville.
u'aggrave la concur¬
de Shakespeare: Don Juan (avec Harry Wal¬
nocent, la Flamme, de Müller
Le théätre de la Burg, qui passe depuis de
e. A plus forte raison
den), le Mariage forcé, Macbeth, avec une ex¬
toire par une actrice dont le #n
longues années pour la meilleure des scènes
lles à lutter avec des
cellente traduction nouvelle du docteur Hock,
aux lecteurs du Temps, Mmne
classiques de langue allemande, lutte coura¬
Hamlet, Beaucoup de bruit pour rien. Dans la
Volkstheater atteste en somme
geusement, mais avec des fortunes diverses,
reprise qui a aussitöt caractérisé l’aprés-guerre.
n’a-t-elle pas com¬
pitulation de toutes les idées,
contre les difficultés matérielles grandissantes.
c’est IEchange de Paul Claudel qui a bénéficié
nier, par une gréve à
préjugés, des ci-devant censur
II a subi après la démission de l’excellent ac¬
de l'effort moderniste du nouveau régime. Le
syndicat des g em¬
de vue encore des hardiess
teur Heine une longue crise d’anarchie direc¬
Burgtheater s’étant adjoint une annexe de prin¬
ühnenverein) exigeait
nouvelle interprétation du
toriale terminéc par l’avènement d’un nouveau
temps et d’automne, l’ancien théätre privé de
erale allant jusqu'à
Gethe, dans son texte intégr
dictateur littéraire, le poête Anton Wildgans,
l’empereur au chäteau de Scheenbrunn, c’est
à
dacieuse nuit de Walpurgis.
Eslistes publiées
que trois tragédies, Pauvreté, Amour, Dies Ire.
encore Molière et Bernard Shaw qui ont eu
é notamment que le
avaient, de 1914 à 1918, fait particulièrement
vue politique, le triomphe de
surtout les honneurs de cette salle unique
nnois, payait de 1,400
remarquer. Sauf Wildgans et le Polonais Thad¬
(le Temps viendra) ou de son
avec son élégant décor blanc et doré, ou
Buchner (la Mort de Danton).
ois ses artistes, tandis
dée Rittner, qui vient de mourir prématuré¬
Talma joua devant les hôtes princiers de
remier théätre d’opé¬
apprécié, à côté de ces déclam
ment (le Jardin de la jeunesse), les succès des
Napoléon I“.
années de guerre n’avaient fait que consacrer
les de Krantz (Liberté), le dern
ou fut créée la Veuve
L’Odéon de Vienne, le Deutsches Volkstheater.
geois de Schcenherr, Tragédie
des réputations déjà établies comme celles du
la Flüte enchantée de
est demeuré fidele à lhabitude, que pourrait lui
très curieux de nous intéresser
célèbre auteur de Liebelei, Arthur Schnitzler
eux remarquables in¬
envier son émule parisien, d’un constant bon¬
au problème de l’adultère en 1##
(Comédie des paroles), du Tyrolien Schenherr
tty Fischer et Louise
heur financier accompagnant une production
l’impure tragédie dans unee
(Femme-démon), ou du Hongrois Molnar (Car¬
dérisoires respectives
active et toujours soucieuse d’art. L’avantageux
limpide, l’äme pure des enfa
naval). Weibsteufel, de Schenherr, est un de
par soirée. La grève
bilan de la gestion de son habile directeur, M.
desquels la déroulent ses hér
ces drames villageois dont ce montagnard à
e obtint surtout des
Bernau, tient surtout à son initiative, inspirée
spectateur.
solide charpente physique et au langage äpre
pnds röles y, en méme
d’ailleurs d’exemples étrangers, d’avoir ouvert,
Romain Rolland après Roj
ct énergique s’est fait une spécialité.
hinistes et les choris¬
à côté de la grande vieille maison, des Kam¬
Paul Glaudel! On le voit, l’infl
La révolution a changé tout l’esprit qui inspi¬
tn’en ont pas moins
merspiele ou deux représentations consécuti¬
français, dont j'avais ici
Ation de situation très
rait le répertoire de la Burg, traditionnel
ves de soir et de nuit permettaient l’emploi in¬
guerre, eu l’occasion de signa
conservateur. C’est maintenant l’irruption
du
en de la Burg gagne
tensif de tous les excellents éléments de sa
rance, ne menace pas de déc
pessimisme scandinave de Strindberg (Devant
bnnes par an, un pre¬
troupe. II faut avouer en outre que le réper¬
dévalorisation de la monnaie
un an, l’incomparable
7a mort, la Reine Christine), de l’anarchie
toire des Kammerspiele ne fut pas choisi sans
tante pour des directeurs pari
tellectualiste de Bernard Shaw (Candida,
l’Opéra, Jeritza, en
la
un sens averti du goüt et des instincts du pu¬
Vienne de droits de traduction
Maisons des ccurs brisés, représentée alors
en avoir aujourd’hui
blic mélé qui fait aujourd'hui les succès d’ar¬
II est à souhaiter pour l’influe
pour la première fois en Europe), ou des autres
aine à New-York lui
gent. On connait à Paris, notamment par son
térature et le rayonnement de
hardiesses de cet autre Anglais Oscar Wilde
age. L’augmentation
Eveil du Printemps, l’ceuvre risquée de Frank
Cette situation soit bientôt m
(Bunbury). Plus caractéristique encore est une
hit subir au prix des
Eveil du printemps, l’cuvre risquée de Frank
cord enfin ißttervenu récemm
des premières pièces jouées en 1919 : Ein
huelle (30 fois le prix
en butte aux sévérités des censures, mème les
ciété des autcurs et composit
Geschlecht (Une famille), pamphlei contre la
50 fois à- LOpére en
moins timorées. Son Chdteau de Weiterstein
celle de Vienne. En attendant,
guerre d’un officier devenu poête pacifiste,
de plus en plus Tan¬
relève par son sujet un cas de sadisme, réa¬
autres les longs succès du Ro#
Fritz von Unruh. Moins révolutionnaires, mais
du public beurgeois,
lisé et satisfait sous les yeux du spectateur, de
de Pana à la Renaissance, et, p
sassi hardies, les Scurs, d’Arthur Schnitzler,
devenue elle-méme
notre Grand-Guignol. La distinction d’inter¬
et Caillavet, de Capus (les Ma
ont charmé l’avant-dernière saison comme le
Ers ont remplacé ces
prêtes comme Hugo Werner-Kahle et Mlle
aux Kammerspiele, de Mauric
Cyone de Molnar la dernière.
tconfirment par leur
Carlsen enlevait, il est vrai, à l'interpré¬
calion de prince) à la Neue W
plaisirs d’art que pro¬
Bien qu’on ne puisse, dans une revue aussi
tation ce que les adversaires de la pièce
Veber et de Gorsse (Colette)
e capitale des Hai
bréve, méme seulement nommer toutes les eu¬
auraient pu trouver de plus choquant. Le scan¬
loutes pièces antérieurement
ves qui mériteraient d’étre retenues, il faut
dale s’accrut encore, artificiellement provoqué
ns et d’artistes decin¬
encore cit## le beau drame biblique de Beer
L’Opéra d’Etat — tel est au
pour des raisons plus politiques que littérai¬
héätre du Mittelstand,
Hofmann, Frivain de premier plan et très oé
officiel du premier théätre lyn
res, avec la Ronde de Schnitzler. Les lettrés
lebre quoi qu'il ait au cours d’une longue car¬
—
bénéficiant de la forte or
connaissaient depuis longtemps l’amusante sé¬
es& theätres du peu¬
rière fort peu produit: le Songe de Jacob;
duite sous le long regne du
rie des dix dialogues, nullement destinés au
les Troyennes, adaptation d’Euripide qui a con¬
Gustave Mahler, a eu la chaf
théätre, ou l’auteur d’Amourette mettait
sacré le talent déjà très estimé d’un & jeune
sa téte, lors de sa réorganisa
à tour aux prises un homme et une femme des
Kn coctait wrant in guerre
de Prague, Franz Werfel, et fait de lui
comme Richard Strauss, assis
#ur les représentations 6 à
différents milieux de l’ancienne société au¬
poéte arrivé du groupe de tres jeunes écrivains
à prix augmentés „ 2,500,
teurs comme l’éminent chef d’
trichienne, prostituée, soldat, femme de cham¬
qui constitue e l'Autriche de demain 9. Mais
extraordinaires v & 3,600
Favorisé aussi par l'afflux de
hre, jeune bourgeois, jeune femme mariée,
estre (du 8° au 13° rang)
le plus grandsuccès de l’après-guerre a été,
gers qui ne reculaient devan
époux infidèle, grisette, auteur dramatique,
nes à 400, 600 et 800, un
comme plus d’une fois avant 1914, une piéce
tion des prix, il s’est assuré à
actrice, officier aristocrate. La situation, tou¬
niers rangs de côté de 3 à
française de ce répertoire contemporain si cher
très homogène, au premier r
jours la méme et difficile à représenter jus¬
aux Viennois, Die Fahrt ins Blaue, la Belte
brillent Mmes Jeritza, Kiurina,
qu'au bout aux lumières, comportait par sa ré¬
trichienne a d’ailleurs créé
Aventure de Flers et Caillavet, magistralement
I'Américain Piccaver ou le S
pétition méme un enseignement d’une philo¬
ilture artistique 8 à l'usage
interprétée par Tressler et Mme Wildbrand, la
sophie savoureuse, sur la portée duquel aucun
le concours de & Geste n, c’est
syndicats, la Zentralstelle
Madeleine Brohan de Vienne. La guerre, sans
Sozialdemokratischen Par¬
critique de bonne foi ne pouvait se méprendre.
en représentations des prin
donner, sauf dans les deux premiers mois,
infatigable est le docteur
La mise à la scène du Reigen concue à Ber¬
d’Europe, engagés spécialemen
représentations à prix ré¬
place à des pièces de circonstance, ayant privé,
lin a choqué des susceptibilités qu'une cuvre
qui convient le mienx à leur t#
verses scènes viennoises à
pour des questions de droits d’auteurs surtout,
moins littéraire n’aurait peut-étre pas provo¬
qu'il a pu monter dans des c
s des syndicats pour leur
les théätres viennois d’ouvrages français ou
quées et qui trouvèrent un écho à Vienne en
près impeccables deux cuvre
Flassique ou les meilleures
anglais d’auteurs vivants, ce fut l’occasion pour
de regrettables incidents.
ment remarquables, la Femme
ntation. Le parti chrétien
Ia Burg de monter avec un soin particulier les
Le plus grand succès peut-étre du Volks¬
Strauss (1920), et la Ville mor
Kunststelle für christliche
chefs-d’oruvre un peu négligés de Molière et
theater Jui-méme n’était pas d’un sujet plus in- (1921).