II, Theaterstücke 11, (Reigen, 1), Reigen: Frankreich, Seite 55

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11. Reigen

WIEN, I., WOLLZEILE 11
TELEPHON R-23-0-43
Ausschnitt aus:
vom:
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be
Signafure
Cenihen
GRTTTOUE THEATRALE
O La Ronde n, d’Arthur Schnitzler,
au Théätre de I’Avenue
Lu Ronde v fut écrile il y a jusle
50 ans. On la dirait d’hier, malgre und
einpreinte marquée de Tecole naluraliste,
si certains details connne cclui des bot¬
tines à boutons ne nous rappelaient subi¬
teinent su date de malssaner.
Ene pierreuse se donne au maidiot. Lo
metelot seduit la bonne. Celle-ci deniäise¬
ie jeune étudiant. L’étucant conquiert ia
feimme du monde, qui se soumet à son
mnari. Le mari passe ine soirée avee la
petite ouvrière, laquelle vient chez Pan¬
teur à sücces, Frauieur devient P’amant de
Pacirice en vogue qut accucille à son tour
un offieler. Enfin cet officier se reveille
un mnatinechez in fille que nons avons vue
au debut. Le cercle est parcouru, In vie
continde.
On songe d’auleur Hlait médeein) qusun
microbe pathogene u bien pu suivre touf
le cireuit, mais e'est Pamour, Pamoul¬
désir que ce elinicien a vonlu traiter.
Ml. Piloöff a ajuslé ces dix fablenux
avec un art reinarquable; # tient jul¬
mème le röle de Tofficier avcc beancoup
d’humour. Alme Piloöff inchrne les eing
fennnes avec une sensibilite, un espril.
une souplesse hors pair. AIM. Dagand.
Salon el Geno-Ferny jouent avec aisance
e# maturel cette piece d’une apre ironie.
Albert PARENTV.
„OBSERVER
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WIEN, I., WOLLZEILE 11
TELEPHON R-23-0-43
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CcColo dellaSerd Trieste
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S. 0NT. 103 2
La Ronde, di Arturo Schnitzler
PARIGI, ottohre?“¬
(Camillo). L'ottimo Pitoeff ha volute¬
Ifarci udire (La Ronden dello Schnitzler,
un altro dramma sull’amore. In dieci
quadri il grande autore viennese ci fa
rassistere ad alcune coppie che fanno
l'amore — un amore di passaggio —
le questo ripetersi dello stesso atto per
dieci volte ingenera un po’ di fasti¬
dio e un po' di monotonia.
Meravigliosa addirittura la messa in
scena dovuta al genio del Pitoeff, ed
Feccellente, come sempre, la signora
Ludmilla, che sostenne, con l’arte sun
magistrale, dieci personaggi femmini¬
Ii: una serva, una borghese, un’ope¬
raia, un'attrice, una scrittrice, e vial
dicendo.