II, Theaterstücke 11, (Reigen, 1), Reigen: Frankreich, Seite 88

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11. Reigen
„OBSERVER“
I. österr. behördl. konzessioniertes
Unternehmen für Zeitungs-Ausschnitte
WIEN, I., WOLLZEILE 11
TELEPHON R-23-0-43
Ausschnitt aus:
Prager Tagblatt, Prag
4.04.
Ptoeff, der große russische Regisseur in Paris, be¬
absichtigt eine Tourné mit dem „Reigen“ von
Schnitzler zu unternehmen.
„OBSERVER'
I. österr. behördl. konzessioniertes
Unternehmen für Zeitungs-Ausschnitte
WIEN, I., WOLLZEILE 11
TELEPHON R-23-0-43
Ausschnitt aus:
Extralt de
SEBRnD A
ALSL
Aun: 20 Niue Arsang
Octobre
Date:
BR7

Signé:


EES SPECTACLES
84
ZE
THEAT
W
* La Ronde
Au Théätre de l’Avenue
Partrice liée à son alfteur ou à un noble,
Arthur Schnitzler est mort trop 101
bel oflieler, qui se retronve, un bean
pour Volr Ea Rontfe, sa piéce préférée
#malin, aree la pierreuse. Le evele, la;
presentée à Paris par M. Piloöff. ien
rone esteacheree.
Früt eie henrenx, ear hols uvons üssiste
In sllecession de ees tableang ent pul
1 5 une realisation d'efforts ingenienn
#tre mionotone; elle est d’ailleurs un pen.
###artistiques dignes de lonanges, Gelle
lente an debal. Mais, pen à pen, lei
piece apre, peesimiste, d’un realisme
reihme saccelere, le dialogue est plus:
aigu, nous n demontre — si nous ne
ViI, les repliques se croisent ironiques,
le anvions deja — qireon einnove pas
I comédlie prend son elan, et les der¬
an theatre. Songeons qute La Ronde n
nieres scenes alleignent une achite spi¬
deja trenle ans: le probleme de in
ritnelteei ferct“ qui louche à in salire la
sexmnlite g est deja traite, et la piece est
plts mordante.
Coupee en dix lableanx, sans antre lien
La mise en scène due à M. Pitoöff est
eitre enx que Peinde du desir charnel!
un art et d’un geüt remarquables, Le
Lo Ronde, e’est la snecession de dix
lablean du hal popalaite, de la lege de
nonvelles qui font penser à Maupas¬
#riee sonl d’une reussite exception¬
sant — hols montrant avec une impla¬
nelle rt ont sorlevé P’enthonsiasme, Pest:
rable ernanle la loi du desir sexnel qui
Pailleurs exeelient en hoberean fat et#
regue dans lontes les elasses, daus lons
sali-fail de en bonne fortune. V. Louis
Piee milienk; une Tois asschvis, ies parte¬
Salon a sillienette un personnage des
koires, Phomme le premier, relournent
emas-iu ln n lout à fait rejonissant;

# leurs affaires quolidiennes, oubliant le
Wila un comedlien d’avenir. VV. Kny¬
ton uingnilique. Voici le marin qui
momd Dagan rt Geno-Ferny sont bons.
abandonne aussitôt la pierreuse qni S’est
Wme Piloeff incarne à elle scule lous
offerle: le jenne' patron quis chasse in
les roles feminins. Quels magniliqnes
femm de chambre trop genereuse d’elle¬
dons de renonvellement elle possede!
meme; le jenne hommne de famille quf
Ene line intelligence la guide dans celte
oublie vite in femme du monde, mmnis il
sttrression de personnages volles à
est deja plus rafline et sail apporter
Pamour d’un inslant, subissant sn loi
gnelques formes an dialogue amonrenN.
#ee resignalion, nee coquetierie
Puis, le miri bourgeois avce sa feirme.
#tee wnelncolie.,. Voiei un speclacle
Phomme de lettres — quel lype précis
fe vie! # #tce la midlinelle, ratieeinam volr.
Louis-dean FINOT.,
sur le deeir; le ion monte eneere avee