II, Theaterstücke 9, (Der grüne Kakadu. Drei Einakter, 3), Der grüne Kakadu. Groteske in einem Akt, Seite 63

ruene Kakadu
box 15/1
9.3. Der
Der Bruche kandau

S
—1
Hla these; ne
simplemént gai et d’une bonne bouffonnerie #tourner indéfiniment autour du pot et se déci-J conclut que, pour l’avoir lous, je suist
nous donne
copieuse.
der, à un moment donné, à tenter le grand cipal personnage de la pièce de M.
able cuvre,
Enfólage, de M. Daniel Jourda, est extréme¬
effort et à risquer l’échec. Un acte ne tombé àl’odéen. II n’est pas impossible. Lac
halée, mais
ment adroit et bien fait et vraiment dröle.
jamais; c’est connu. C’est précisément poufcependant me parait sévère, encore
Hue, Cocotte Ide MM. Georges Nanteuil et cela qu’il faut s’aventarer au delà de l’acte uni¬
soit pas rigoureuse.
Faverne, peut étre entendu sans ennui.
que si l’on ne veut pas que l’on vous applique
Quoi qulil en soit, on m'avertit que M
ier aux Ca¬
Deur heures du matin, quartier Marbeuf, de
pour devise une partie au moins du vers d’Ho¬
ler a été déja joué en France. On a don
inaire dans
MM. Jean Lorrain et Gustave Cogniot, est du
race:c tulus nimium timidusque proselle.*
au théätre Antoine la Compagne, un
ntchez tout
genre du plus ancien ethéätre libre: et du
Alionsi jeunes gens, on ne peut pas fixer und
duit par M. Maurice Vauçaire, et qui
n faire. En
plus libre théätre ancien. La hardiesse en est
date ni un äge; mais, en moyerne, après cinc
honnéte sticcès. (Exact. Je m’en souvie
signalées à
un peu bien forte; mais la chose est traitée
succès d’acte unique, c’est-à-dire après cinc
sent.) Et on a donné aussi de Jui, aux
autés avec
avec vigueur et un certain sens dramatique. Ce
piéces en un acte, risquens le navire à trois
Souper dadien, un acte traduit égalen
gréable de
n’est pas indifférent. Cest peut-étre condamna¬
ponts, à trois ponts au moins. ily va de votrd
M. Maurice Vaucaire. (De celui-la je
Péniel, bouf¬
ble: mais ce n’est pas méprisable.
honneur littéraire.
souvenance. II est prohable qus jen
M. Franc-
Ces jeunes gens, fournisscurs oréinaires et
v.) Enfin on m’envoie une piéce en tr
amusantes,
fournisseurs infatigables, semble-t-il, des Capu¬
J'ai toute une #littérature sur Pldiot de M.
de Schnitzler, traduite etadaptée par
M. Claude
eines, du Grand-Guignol, des. Mathurins, etc.,
de Lorde, qui est Napasta de M. Caragiale. Jei
Thorel et on me prie de l lire.
aucoup de
et, ne sont pas autre que les Dancourt de notre
ne vous la sers pas. La cause est entend#s of
Je l’ai lue. Cest extrémement bien. C
Saidreau;
théätre contemporain. IIs saisissent au vol, soit
iln'y a pas contestation. Je remercie seulement
tulé Amouretle. Je crois, à ne rien céle
T’actualité proprement dite, T’actualité maté¬
mes aimables et empressés et patriotes corress
titre est ironique. Voici les faits.
sozs, défille
rielle, ie dernier fait-divers; soit ce qu’on pour¬
pondants et je les prie de me laisser le dossies
Fritz et Théodore sont de bons pet
he, Jacques
rait appeler l’actualité morale, la dernière
quelque temps, au cas ou des contestations 861
diants viennois. Fritz estun nerveux e
petite chose dent on cause et dont on dispute,
Ieveraient, ce que je ne crois pas. La bonne
timental. Théodore est un hon vivant
nt tres Jolie
etils portent cela tout chaud sur la scène, avec
de M. de Lorde n’est, du reste, nullement
sceptique et spirituel. Il ade tres jolis
le, Fin de
un tour de main plus ou moins adroit, quelque¬
çause. II ne connaissait pas Napasta, ni Carb
les choses de l’amour: & Au fond, nous
t Vernayre.
fois vraiment excellent. G’est un peu du jour¬
giale, la piece lui étant parvenue par voie ind
les femmes que nous aimons et nous n
nt distingue
nalisme dialogué.
recte. II ya là simplement adaptation, qui
que les femmes qui nous sont indiffen
Cela, non
Sarcey dirait que, comme le journalisme
pourrait, selon moi, que donner lieu à des r4¬
— A quoi Fritz répond, pour se mettre
se fait écou¬
proprement dit dévore en les dispersant (tant
vendications d’ordre commercial et d’ordre de
mais, du reste, en demeprant dans son
supérieure
pis pour la cohérence de la métaphore) des
propriété littéraire. En attendant, silyahatten
tère: & Une séparation, Cela fait toujou
bien secon-
talents littéraires qui auraient pu s’appliquer à
dre, allez voir l'Idiot et vous conclurez sar
peine, méme s’ily alongtemps qu'en la
w.
choses plus solides, de méme ces journalistes de
doute qulilya des Roumains qui font de bonnés
Fritz et Théodore, comme tous bo#
petits théätres se dépensent en menue monnaie,
Ipièces et des Erancais qui leur font un heau somt
diants viennois, ont chacun une x petite
lement d’af- poussent en feuilles et sont perdus pour le vrai
eFflüche de Ia Seilte.
comme dit M. Brieux en style pudique
re, cing de théätre. Certainement il aurait raison; mais,
Sur M. Schnitzler, T’auteur de Au Perroquet
Christine, Théodore a Mitzi. Mitzi
Nes qui sont
aussi, comme le prouve l’exemple des Capus et
vert, je reçois des renseignements nouveaux
joyeuse et une étourdie. Christine est u
euves (celui¬
des Donnay, il faut bien commencer quelque
qui sont intéressants. A la vérité, Au Perro¬
timentale et une s cau profonde 2. Il
sdemt etje
part, et ces années passées à produire de petit
quet vert, après un succès unanime de répéti¬
sont pas trompés, ni les uns ni les aut
s töt) sont
actes sont peut-étre de bonnes années d’appren
tion générale et de première et après avoir
les affinités électives.
de Rauvray.
tissage. L’essentiel est encore de travailler.
contenté et méme ravi des juges aussi difficiles
Seulement, et c’est ici que lombre'se
mais d’une
Seulement, avec un certain sens de l’oppor¬
que M. Léon Daudet et que moi, — Au Perro¬
tableau, seulement, en méme temps qu
tunité et du gpoint de maturité de son talent, Hquet veri n'’a pas réussi et a quitté l’afliche du
dore commence à étre l’amant de Chri
Rochon, estcomme disait tres hien Büffon, il faut ne pas fthéätre Antoine. Tel de mes correspondants on est oncore l'amant de Mmo X (elle n