c
□
D
ruene Kakadu box 15/1
9.3. Der Kruchennanden
d e
M
urner indéfiniment autour du pot et se déci-Tconclut que, pour l’avoir loué, je suis le prin-]nommée dans la pièce, ni son mari non plus),
er, à un moment donné, à tenter le grand cipal personnage de la pièce de M. de Lorde
et cette g chaine r, d’une part lui pèse, d’autre
ffort et à risquer l’échec. Un acte ne tombe
à l’odéon. II n'est pas impossible. La conclusion
part le rend inquiet, parce qu'il lui parait, et à
mais; c’est connu. C’est précisément pouf
cependant me parait sévère, encore qu'elle ne
Mme X., aussi, que le mari a des soupcons et
la qu'il faut s’aventurer au delà de l’acte uni¬
soit pas rigoureuse.
qu'il épie. II croit le voir, à chaque instaht sur
ne si l'on ne veut pas que l’on vous applique
Quoi qu’il en soit, on m'avertit que M. Schnitz¬
le trottoir d’en face, il croit l’entendre monter
ler a été déjà jouc en France. On a donné de lui
our devise une partie au moins du vers d’Ho¬
l’escalier, quand il est avec Mme X..; il croit
#ce:tulus nimium timidusque proselle.*
au théätre Antoine la Compagne, un acte tra- l’entendre röder dans le mur. Fritz a une vie¬
llons! jeunes gens, on ne peut pas fixer undl
duit par M. Maurice Vaucaire, et qui a eu un
très malheureuse.
ate ni un äge; mais, en moyenne, après cini#
honnéte succès. (Exact. Je m’en ###cens à pré¬
Les choses étant ainsi, au premier acte nous
iccès d’acte unique. “est-à-dire après cind
sent.) Et on a donné aussi de lui, aux Bouffes,
sommer en présence d’une partie carrée.
ieces en ur acte, risquons le navire à trois
Souper d’adien, un acte traduit également par
Théodore st Mitzi, Fritz et Christine sont en¬
ats, à trois ponts au moins. Ily va de votrd
M. Maurice Vaucaire. (De celui-là je n'ai plus
semble, chez Fritz, et devisent gaiement en
onneur littéraire.
souvenance. II est probable que je ne lai pas
dégustant de vin de Tokay et en faisant de la
vu.) Enfin on m’envoie une piéce en treis actes
musique. Nétait que Fritz a toujours des soup¬
de Schnitzler, traduite et adaptée par M. Jean
Jaitoute une & littérature sur FIdtot de M4
çons d’étre soupçonné et des pressentimonts
Thorel et on me prie de la lire.
e Lorde, qui est Napasta de M. Caragiale. Je
vaguement (inistres, ce serait une idylie deli¬
Je l’ai lue. Cest extrémement hien. C’est inti¬
e vous la sers pas. La cause est entendue eß
cieuse.
tulé Amouretle. Je crois, à ne rien céler, que le
nyapas contestation. Je remercie seulement
Tout à coup, un pas dans T’escalier et un coup
titre est ironique. Voici les faits.
es aimables et empressés et patriotes corres¬
de sonnette et un second coup de sonnette et
Fritz et Théodore sont de hons petits é-u¬
ondants et je les prie de me laisser le dossien
un troisième coup de sonnette. Diable!
uelque temps, au cas ou des contestations 864
diants viennois, Fritz est un nerveux et unsen¬
Fritz fait passer Théodore, Christine et Mitzi
timental. Théodore est un hon vivant, léger,
veraient, ce que je ne crois pas. La bonne K
dans la pièce à côté et va ouvrir. Cest#le
Isceptique et spirituel. Ilade tres jolis mots sur
e M. de Lorde n’est, du reste, nullement #
mari; c’est M. X. Vous l’attendiez. Fritz
ause. II ne connaissait pas Napasta, ni Carbs
les choses de l’amour: & Au fond, nous halssons
aussi.
iale, la pièce lui étant parvenue par voie inds4 les femmes que nous aimons et nous n’aimons
La scène, sohre, courte et forte, est tout à
que les femmes qui nous sont indifférentes. „
ecte. II ya là simplement adaptation, qui ###
fait bonne: & Monsieu“ puis-je me permettre
ourrait, selon moi, que donner lieu à des ré4j — Aquoi Fritz répond, pour se mettre auton;
de vous demander ce que vaut Ihonneur de
endications d’ordre commercial et d’ordre de
mais, du reste, en demeurant dans son carac¬
votre visite?
ropriété littéraire. En attendant, silyadatten
tère: & Une séparation, cela fait toujours de la
Certainement! (Avec tranquillité.) Ma
peine, méme s’ily a longtemps qu’on la désire.,
re, allez voir l'Idiot et vous conclurez sart
femme a oublié sa voilette chez vous.
Fritz et Théodore, comme tous hons étu¬
Houte qu'ilya des Roumains qui font de bonnés
—
Cette plaisanterie
diants viennois, ont chacun une g petite amie
ièces et des Hanais aui leufont un beau soit
— Je netrouve pas que cela soititres plaisant.
comme dit M. Brieux en styie pudique: Fritz a
eFlüche de Ia Seilé¬
Voici vos lettres à elle adressées. Je vous prie
Sur M. Schnitzler, l’auteur de Au Perroquet
Christine, Théodore a Mitzi. Mitzi est une
de me rendre les siennes.
joyeuse et une étourdie. Christine est une sen¬
ert, je reçois des renseignements nouveaux
Monsieur, je suis à votre disposition.
ui sont intéressants. A la vérité, Au Perro¬
timentale et une g cau profonde v. Ils ne se
Bien!
Guet vert, après un succès undnime de répéli¬
sont pas trompés, ni les uns ni les autres, sur
Vous pensez, M. X.,, parti, quelles sont les
les affinités électives.
ion générale et de première et après avoir
figures des personnages de la partie carrée...
Seulement, et d’est ici que l’ombre se met au
ontenté et méme ravi des juges aussi difficiles
Le second acte, un peu vide, ne contient
Gue M. Léon Daudet et que moi, — Au Perro¬
tableau, seulement, en méme temps que Théo¬
qu'une scène à proprement parler. Mais elle
et vert n'a pas réussi et a quitté l’afliche du
dore commence à étre l’amant de Christine, il
est belle. Vous la prévoyez. Gest, le lendemain.
héatre Antoine. Tel de mes correspondants en #est oncore l'amant de Mmo X. (elle n’est pas Fritz venant faire ses adieux à Christine, qut
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urner indéfiniment autour du pot et se déci-Tconclut que, pour l’avoir loué, je suis le prin-]nommée dans la pièce, ni son mari non plus),
er, à un moment donné, à tenter le grand cipal personnage de la pièce de M. de Lorde
et cette g chaine r, d’une part lui pèse, d’autre
ffort et à risquer l’échec. Un acte ne tombe
à l’odéon. II n'est pas impossible. La conclusion
part le rend inquiet, parce qu'il lui parait, et à
mais; c’est connu. C’est précisément pouf
cependant me parait sévère, encore qu'elle ne
Mme X., aussi, que le mari a des soupcons et
la qu'il faut s’aventurer au delà de l’acte uni¬
soit pas rigoureuse.
qu'il épie. II croit le voir, à chaque instaht sur
ne si l'on ne veut pas que l’on vous applique
Quoi qu’il en soit, on m'avertit que M. Schnitz¬
le trottoir d’en face, il croit l’entendre monter
ler a été déjà jouc en France. On a donné de lui
our devise une partie au moins du vers d’Ho¬
l’escalier, quand il est avec Mme X..; il croit
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llons! jeunes gens, on ne peut pas fixer undl
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Les choses étant ainsi, au premier acte nous
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Théodore st Mitzi, Fritz et Christine sont en¬
ats, à trois ponts au moins. Ily va de votrd
M. Maurice Vaucaire. (De celui-là je n'ai plus
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souvenance. II est probable que je ne lai pas
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musique. Nétait que Fritz a toujours des soup¬
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Jaitoute une & littérature sur FIdtot de M4
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Thorel et on me prie de la lire.
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Je l’ai lue. Cest extrémement hien. C’est inti¬
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cieuse.
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nyapas contestation. Je remercie seulement
Tout à coup, un pas dans T’escalier et un coup
titre est ironique. Voici les faits.
es aimables et empressés et patriotes corres¬
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Fritz et Théodore sont de hons petits é-u¬
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uelque temps, au cas ou des contestations 864
diants viennois, Fritz est un nerveux et unsen¬
Fritz fait passer Théodore, Christine et Mitzi
timental. Théodore est un hon vivant, léger,
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Isceptique et spirituel. Ilade tres jolis mots sur
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mari; c’est M. X. Vous l’attendiez. Fritz
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ecte. II ya là simplement adaptation, qui ###
fait bonne: & Monsieu“ puis-je me permettre
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Fritz et Théodore, comme tous hons étu¬
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Christine, Théodore a Mitzi. Mitzi est une
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Le second acte, un peu vide, ne contient
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