II, Theaterstücke 9, (Der grüne Kakadu. Drei Einakter, 3), Der grüne Kakadu. Groteske in einem Akt, Seite 66

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ruene Kakadu
9. 3. Der
ler gruche Kakadu
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Aer e
le, sobre, 1du choix de son tuteur, le banquier amérlcain] bien qu’ils ne voulaient pas autreschose et! qu'à nos neveux; mais itira loin seus les
qu'une piéce du Chätelet n’est jamais, ou pres¬
de nos garçonnetstet de hos fillettes.
Blackson.
serrerle
Bien entendu, Blackson, pour garde. pourque jamais, depuis #e Tour du monde en 80
ire couler
Je vous ai dit dans sen temps tout
lui ou dans les environs de sa personne, ceildours, qu'une course aux clochers, à tous les
que je pensais de lAbandon de Psuché, co
demi-magot encor digne de quelque considé-Iclochers de l’univers, sous un prétexte quel¬
is guil y
en un acte en vers, de M.G. de Primefen,
ration, fait le ferme propos de marier Maufconque.
ersonnel-
Tannée dernière aux Bouffes-Parisiens
Et c’est ainsi qu’on nous mène à Brighton et
avec son fils, le nommé James Blackson. Voila
un grand
en Hollande et à Venise et en Amérique et en
je n'avais pas pu, contreison habitude, B
qui est bien.
itzler est
quelques autres lieux circonvoisins eu éloi¬
qui est des piecesten vers vous en citen
Mais, de son côté, un M. Harris, citoyen de
lon la for-
ques couplets. Jole puis mnintemnant, ayan
gnés, pour le plaisir de nos yeux et aussi de
Chicago, ccnvoite vivement Mlle Maud. Riva¬
la brochure, guce sera lamen respewit.
Inos oreilles, car, scuvent, la musique est très
Flité, compétition, cencurrence.
Vous vous souvenexpäut-étrei de la fa
Et, enfin, troisième larron probable, un jeunedjolie, soit qu’elle soit inédite, soit qu’elle soit
spectacle,
cette petite piece. Psychen été punie pom
homme, français, ceiuisci, vons pensez bienanciennes mélodies arrangées pour la circon¬
ns prece-
voulu voir Eros dessesyenx, a ne plus #
M. Robert, est tout simplement amoureux de lastance.
d’origina¬
Ilfaut citer comme clous, c’est-à-dire comme
jamais. Elle languit, triste et solitaire, da
jeune fille et très près d’étre aimé d’elle.
ez; eatre
lieux, charmants jadis, Jufebresaujeurd
Forces des belligérants: à Blackson, con au- tableaux, la plage de Brighton, la féte du pati¬
us parlais
Telle a été aimée. Mais voicl que nous appr
torité de tuteur; & Harris, son domestique Bob, Prage à Amsterdem, le carnaval de Venise, New¬
transition,
York et enfin l’apothéose.
et qu'elle apprend qu'elle à été punic ma
intelligent, rusé, avisé, spirituel, gouailleur et
ez gré de
pas oubliée.
Je n'ai pas besein de vous dire, si tant est
dröle, sorte de Panurge moderne. Au jeune
reactes et
Car Eros revient. Ihrevient, invisible, e
que voustenez ale savoir, que Maud finit, après
Français, Eros.
IM. Victor
toutes ces traverses, par épouser l’élu de son
autrefois. comme asant ja nuit fatale, Di
Lignes principales de l’aventure. Au mo¬
musique
cceur.
par les ienebres de Ia suit. Et ilaime
ment ou la chasse commence, au moment ou le#
Le Chätelet s’est mis en très grands frais, en
Psyché et il la berce de douces etenin
docteur Blakson se présente à la pension César,
ux scmp¬
plus grands frais qu’à l’ordinaire, pour cette
paroles. Au moment mémt ou Psychéer
à Courbevoie, la petite Maud vient de filer à
ordinaires
plainte de son cceur dans un threne touch
Tanglaise et en Angleterre àla recherche d’unell piece à grands epectacles et à prodigalités fas¬
plus mé¬
élégant:
marraine à elle, dont elle imagine avoir besointueuses et à défilés et hailets élégants St écla¬
s suffisam¬
et qu'elle croit à Brighton; et M. César, cheftants, on ne saurait souhaiter ni mienx, ni
O mes nuils d’eutrefols et mes sommeils tren
in de dire
plus.
d’institution et marchand de consommés, pour
Mes réves qui riaient à mes pensers fragiles,
Etmes nalfs Jésirs, que sonl-lls devent
L’interprétation est tout à fait digne de louan¬
ne pas avouer T’escapade de sa pensionnahe,
ine orphe¬
Tous ces simples bonheurs no me#
ges. M. Paul Fugère, que vous connaissez asscz,
savise de faire passer pour Maudsa propre fille
esar, chef
Car I’Amour, en m’aimant, n###
aété extrémement plaisant, à sen ordinaire.
Lucie, oubliant que la ülle de César ne doit.
s à Cour-
Les baisers de l’Amour brülcntcom
M. Francès est le merveilleux bouffon, copieux,
pas meme étre soupconnée.
Et la trace qufils font rien ne peut#
Haire de se¬
Pourquoi l’ai-je connn s###levait me
Il s’ensuit que, d’une part, Blackson fait fairetranquille et solennel que vous savez et qui,
ald Robin¬
Hélas! Je n’aurai donc entrevn somime
àson fils James un voyage de flançailles avec d’un geste ou d’un mouvement lent de sa tôte
M. Un tel
Que pour le regretter encor davantage,
la pseudo-Maud, ou, comme on aurait dit duépique met toute une salle en joie. M. Pougaud
enfin un
Et, serrant vainement unesomhre datre mes bra
temps d’Heraclius, avec Lucie, crue Maud, tan-Da été plein T’entrain, de brio et de bonne hu¬
Ayant su co.qulilest, pleurer gu'ihne soit past
n modeste
dis que César court à Brighton pour rattraper meur:
Ace moment-là mème, Eros, dans Lomhr#
II faut complimenter encore, et tres chaude¬
sa fugitive, et qu'Harris flaire et cherche la
ud une pe¬
fonde et douce, vient chanter à l’oreille
iment, Mme Renée Bussy, très franchement et
piste de cette méme fugace Maud.
de second
Sulamite grecque:
puissamment comique, ce qui est si rare chez
Cela fait trois voyages qui s’entrelacent, ce
t-à-dire d’a
Ma douleur ente quittant futttelle
une femme et Miles Gril et Crisafully, tres ex¬
qui permet aux auteurs de promener leurs per¬
une demi¬
Que l’écho résonna de me plainte cruellei
pertes et aisces dans leur jen.
gt de Maud sonnages et de nous promener nous-mèmes à
Et sans me détourner j'ai repris les chemins
er un mari travers tous les pays du monde, et vons pensez) Boncie d'Aniérique m’ira peut-étre pas jus-I Qui menent au séjour ignord dos humains