box 15
ruene Kakadt
9.3. Der
Premières Representations
—
INE. — La Mutérteile, un acte,
THE
ruc; la Guerre au Village,
de M. Gabriel Trarienx
solie en un arte, d’Arthur
n de M. E. Lutz.
Sa
leng.
Un a
de l’allemand à par ins¬
tants secoué l’indifférence du public.
C’est, le jour méme de la prise de la Bas¬
tille, dans un cabaret-cave, tenu pfr une
espécade Bruand, et ou les gens de la cour
viennent se faire insulter, pour le plaisir,
par des goujats et des filles; en mème
temps, de faux escrocs ei de faux assas
sins, — en réalité, acteurs habiles, -
leur donnent l’agrément, par des récils et
gesles, de l’épouvante et du frisson.
des
Mais voici que l’aventure imaginaire du
omédien Didier, qui se vante d’avoir
ué T'amant d’une femme qu’il vient d’é
1. Marquet est fort agréable¬
pouser,
s’achéve en u. meur
III4
Jjue, parmi les cris,
es bousculades, 1a
ient
em
les
ladres-
es d’une expo¬
as, gräce au jen
tre et farce, de MM.
Mosnier, et aux jolies
eJeanne Lion, fort élégante
8
en petit chevalier, et de Mme Grumbach,
marquise fort endiablée. Quant aux re¬
muements, aux heurts, aux renverse¬
ments de chaises et de tables, aux pots
brisés, et à tous les bruits de coulisse,
on y retrouve, cela va sans dire, cet art
spécial et enfin un peu conventionnel de
mise en scène dite réaliste, ou M. An¬
toine excelle, depuis si longtemps.
Cal## Wende, C. M.
ruene Kakadt
9.3. Der
Premières Representations
—
INE. — La Mutérteile, un acte,
THE
ruc; la Guerre au Village,
de M. Gabriel Trarienx
solie en un arte, d’Arthur
n de M. E. Lutz.
Sa
leng.
Un a
de l’allemand à par ins¬
tants secoué l’indifférence du public.
C’est, le jour méme de la prise de la Bas¬
tille, dans un cabaret-cave, tenu pfr une
espécade Bruand, et ou les gens de la cour
viennent se faire insulter, pour le plaisir,
par des goujats et des filles; en mème
temps, de faux escrocs ei de faux assas
sins, — en réalité, acteurs habiles, -
leur donnent l’agrément, par des récils et
gesles, de l’épouvante et du frisson.
des
Mais voici que l’aventure imaginaire du
omédien Didier, qui se vante d’avoir
ué T'amant d’une femme qu’il vient d’é
1. Marquet est fort agréable¬
pouser,
s’achéve en u. meur
III4
Jjue, parmi les cris,
es bousculades, 1a
ient
em
les
ladres-
es d’une expo¬
as, gräce au jen
tre et farce, de MM.
Mosnier, et aux jolies
eJeanne Lion, fort élégante
8
en petit chevalier, et de Mme Grumbach,
marquise fort endiablée. Quant aux re¬
muements, aux heurts, aux renverse¬
ments de chaises et de tables, aux pots
brisés, et à tous les bruits de coulisse,
on y retrouve, cela va sans dire, cet art
spécial et enfin un peu conventionnel de
mise en scène dite réaliste, ou M. An¬
toine excelle, depuis si longtemps.
Cal## Wende, C. M.