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Liebele
box 13
„
„OBSERVER
I. österr. behördl. konzessioniertes
Unternehmen für Zeitungs-Ausschnitte
WIEN, I., WOLLZEILE 11
TELEPHON R-23-0-43
Ausschnitt aus:
Prager Tagblatt, Pres
vom:
1. 0KT. 1933
Schnitzler Premiere in Paris. Paris. Angesichts
##erfolges des Liebelei=Filmes wurde das
Stück nun auch in der Uebersetzung von Suzanne
Clauser unter der Spielleitung Pitoeffs im Klei¬
—
nen Theater „Vieux Colombier“ herausgebracht. Der
Erfolg blieb jedoch beträchtlich hinter dem des Films
zurück. In der weiblichen Hauptrolle trug Ludmila
Litoef seinen persönlichen Erfolg davon. Zur Abend¬
büllung wurde Schnitzlers Einakter „Die letzten Mas,
ken“ gegeben.
N· DE DEBIT
Extrat d. K INTRANSIGEANT
RUE REAUMUR, 100, II
Adresse
I•r OCTOBRE 1933
Date:
Stqnature:—
Egposition: —
Siii-
0 Théätre 6
THEATRE DU VIEUX-COLOMBIER. —
Liebelei, pièce en 3 actes d’Arthur
Schnitzler, traduite et adaptée par
Mme Suzanne Clauzer.
La Compagnie Pitoeff, qui a représen¬
té, la saison dernière, La Ronde, de Pau¬
teur dramatique autrichien Schnitzler,
mort i pa deur ans, nous offrait hier,
du mème auteur, au Théätre du Vieug¬
Colombier deur pieces, Lune en un de¬
te: Les Derniers masques, d’un intérét
médiocre, Pautre, Liebelei, en trois ac¬
tes. O’est une cuvre de jeunesse. Elle.
fut créée à Vienne en 1895 et souvent
reprise depuis dans les pays de langue
allemande. Nous ne la connaissionsichez
lous que par le film qu'elle a inspiré
Von peut voir encore d Pécran,
Fe succes n’enzest pas épuisé.
es aurquelles la compa¬
permise préfèrent la version
d la version origi¬
ne Clauzer a fidele¬
tention de la Com¬
d cela: lI est certain!
bleaus pittores¬
Im crée Patmos¬
Phistoire sentimen¬
e, bien mieng
n scène, si réussie
Mais, d’autre
r Schnitzler et
ter, c’est évidem¬
ier qu’elle troure
ion.
toute fagon, que
dire: amourette),
3f.
ure, pas plus que Vieil
Heidelberg et autres petites fleurs
bleues cueillies dans le mème domainc.
Mais ily aura toujours un public nom¬
breug, à Vienne et ailleurs, pour compa¬
tir à la douleur d’une gentille petite
fille qui aime de tout son cceur un sous¬
lieutenant de dragons et se tuc en ap¬
prenant d la fois Vinfidélité de celut-ci
et sd mort dans un duel d la loyale avec
Ie baron dont la semme était sa mai¬
tressé. La Ronde est une cupre autie¬
ment forte et prenunte.
Sous ces réserves, il faut louer de leur
effort méritoire M. Pitocff et les inter¬
prétes de Liebelei: Mmes Ludmilla Pi¬
toeff et Agnès Capri; MM. Murcel Her¬
rand, Louis Salou et Balpétré.
LUCIEN DESCAVEs.
Liebele
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„OBSERVER
I. österr. behördl. konzessioniertes
Unternehmen für Zeitungs-Ausschnitte
WIEN, I., WOLLZEILE 11
TELEPHON R-23-0-43
Ausschnitt aus:
Prager Tagblatt, Pres
vom:
1. 0KT. 1933
Schnitzler Premiere in Paris. Paris. Angesichts
##erfolges des Liebelei=Filmes wurde das
Stück nun auch in der Uebersetzung von Suzanne
Clauser unter der Spielleitung Pitoeffs im Klei¬
—
nen Theater „Vieux Colombier“ herausgebracht. Der
Erfolg blieb jedoch beträchtlich hinter dem des Films
zurück. In der weiblichen Hauptrolle trug Ludmila
Litoef seinen persönlichen Erfolg davon. Zur Abend¬
büllung wurde Schnitzlers Einakter „Die letzten Mas,
ken“ gegeben.
N· DE DEBIT
Extrat d. K INTRANSIGEANT
RUE REAUMUR, 100, II
Adresse
I•r OCTOBRE 1933
Date:
Stqnature:—
Egposition: —
Siii-
0 Théätre 6
THEATRE DU VIEUX-COLOMBIER. —
Liebelei, pièce en 3 actes d’Arthur
Schnitzler, traduite et adaptée par
Mme Suzanne Clauzer.
La Compagnie Pitoeff, qui a représen¬
té, la saison dernière, La Ronde, de Pau¬
teur dramatique autrichien Schnitzler,
mort i pa deur ans, nous offrait hier,
du mème auteur, au Théätre du Vieug¬
Colombier deur pieces, Lune en un de¬
te: Les Derniers masques, d’un intérét
médiocre, Pautre, Liebelei, en trois ac¬
tes. O’est une cuvre de jeunesse. Elle.
fut créée à Vienne en 1895 et souvent
reprise depuis dans les pays de langue
allemande. Nous ne la connaissionsichez
lous que par le film qu'elle a inspiré
Von peut voir encore d Pécran,
Fe succes n’enzest pas épuisé.
es aurquelles la compa¬
permise préfèrent la version
d la version origi¬
ne Clauzer a fidele¬
tention de la Com¬
d cela: lI est certain!
bleaus pittores¬
Im crée Patmos¬
Phistoire sentimen¬
e, bien mieng
n scène, si réussie
Mais, d’autre
r Schnitzler et
ter, c’est évidem¬
ier qu’elle troure
ion.
toute fagon, que
dire: amourette),
3f.
ure, pas plus que Vieil
Heidelberg et autres petites fleurs
bleues cueillies dans le mème domainc.
Mais ily aura toujours un public nom¬
breug, à Vienne et ailleurs, pour compa¬
tir à la douleur d’une gentille petite
fille qui aime de tout son cceur un sous¬
lieutenant de dragons et se tuc en ap¬
prenant d la fois Vinfidélité de celut-ci
et sd mort dans un duel d la loyale avec
Ie baron dont la semme était sa mai¬
tressé. La Ronde est une cupre autie¬
ment forte et prenunte.
Sous ces réserves, il faut louer de leur
effort méritoire M. Pitocff et les inter¬
prétes de Liebelei: Mmes Ludmilla Pi¬
toeff et Agnès Capri; MM. Murcel Her¬
rand, Louis Salou et Balpétré.
LUCIEN DESCAVEs.