N· DE DEEIT¬
FIGARO
Aztrall de
Se PI CHAAPS ELISEES 14, VIn
Adresse
Date
5 OCTOBRE 1933
Signature:—
Expontion: —.—
Jacovzs Duvan est un de nosf Ses.
célebres jeunes auteurs, cl
CHRONIOUE
IV1. Jai pour son talent la plus
vive amilié. Son admirable
sens du theätre, son excellent dialo¬
DES TILATAES DE PARIS
apre ou comique, toujours empreint
dune experienee précoce et profönde,
font de ses pieces, toujours attendues
THEATRE DE LATHENEE; Priere pour les vivants, piece en trois
avec impatienee, des evenements du
& inonde de la scène 9. J'ai bien sou¬
actes et dix tableaux de M. Jacques Deval, décors de J. Boussard.
vent applaudi de grand ecur à ses
THEATRE DU VIEUX-COLO MBIER (Compagnie Pitoëff): Liebelei
succès. Je peux donc lui avouer que
et Les Derniers masques, pieces de M. Arthur Schnitzler, traduction
jai eprouvé an spectacle de Prière pour
les vivants une grande impression
de Mme Clauser, mise en scène dé Pitoéff.
des ce qu'un enfant de mes amfs nom¬
Flin
ZAT AR
mait e lugubrité v. Eh quoi! me direz¬
vous, ne pouvez-vous supporter à la
scène les sombres vérités de la trahi¬
degage d’une semblable existence ou
1.Raine, Tressy, Vanderic y jouent ex¬
son, de la mort et des agonies, enfin
tout est sans äme. C’est en vain que, à
cellemment leurs röles divers, ainsi
de ces lamentables réalités dont notre
la naissance de Pierre Massouhre, une
que Mmes M. Mellot, Doria, Fontan,
triste vie humaine est tissue? Mais si,
pieuse grand’mère a prononcé la e prié¬
Helly, Villars — tous menés par l’au¬
je les supporte: le théätre en est fait,
re pour les vivants2; ce vivant n’aura
teur dans un mouvement d’une vie
des tragedies aux drames, et nous n’en
pas d’äme. La mère, morte trop töt,
intense et disant les mots les plus amu¬
avons jamais voulu à un auteur de
manquera à celte enfance aride, à
sants. Ce n’est que peu à peu, alors
nous avoir Emus, bouleversés. Mais,
cette jeunesse délaissée. Son père Ctait,
que nous ne pouvons plus imaginer ce
ici, tout est volontairement déponillé
avant lui, est resté, un égoiste et un
que sera la vie de Pierre Massouhre,
de cette transposition artistique qui
jouisseur, et c’est cc que sera le fils
puisqu'il la déroule devant nous, que
permet au spectateur de tout admettre,
de Pierre lorsque Pierre sera mort à
nous nous sentons navrés par la misère
el, à force d’étre réelles, les scènes de
son tour et que Robert Massouhre, ai¬
generale et cet excès de basse réalité.
Prière pour les vivants ne nous sem.¬
mable gargon, fera des frais à la der¬
blent plus vraies. Et pourtant que de
nière conquéte de Pierre Massouhre.
talent dépensé à nous conter en quel¬
assis, elle et lui, sur le lit ou ce Pierre
gues épisodes la # vie privée de Pierre
Jai beaucoup gouté Liebelei, cette
Massoubre est mort. On voit le ton de
Massouhre . Ce Pierre Massouhre est
## bleuette 9 noire. Le film avait sé¬
la piece. Ce jour-la, ce Robert, à son
un bien pauvre homme; sans étre mé¬
duit, avant la pièce, et ses admirateurs
tour aussi, vient d’avoir un fils. La
chant, il est vil et menteur; il se con¬
schur ainée, encore bien petite, priera
front certainement an Vienx-Colombier
tente des réussites matérielles et des
seule pour ce nouveau-né, ainsi qu'une
applaudir Mme Ludmila Pitoeff dans
jouissances que lui donnent son ar¬
le röle de Christine. L’anditoire se par¬
aleule avait prie à la naissance de ce
gent, sa situation et les petites dames.
tageait l’autre jour entre ceux qui pré¬
Pierre Massouhre disparu, laissant la
Son manque absolu de vie intérieure
Mérgient la piece et ccux qui prétermient
place aux jeunes. Est-ce que cenou¬
nous empéche de nous intéresser vrai¬
le film. Le film, qui est charmant, a
veau rejeton, continuant la morne
ment à sa vie e rieure. Mais, enfin,
tiré- un parti tout spécial de la mème
chaine, sera depourvu, Jui aussi, de
M. Jacques Deva pourrait nous repon¬
histoire dramatique. Le Vienne d’avant
tout ce qui vous fait vraiment vivank?
dre qu'il a bien le droit de choisir un
cnerre, les paysages, les soirées à
Souhaitons-Jui de ressembler à la
mnorne héros. Je crois que s’il avait.
P°Opéra, les behüx uniforines, des ien¬
jeune femme de Pierre Massouhre, a
avec Prière pour les, vivants, éérit un
nes gens, autant de prestiges dönt la
Françoise, morte si vite, uste avant
roman au lieu d’une pièce, nous au¬
piece ne peut qu’être dépourvue. Par
T’age. C’est cette touchante Françoise.
rions pu saisir plus nettement l’idée
contre, le film nous montrait la belle
trahie par son mari, par son amie, qui
générale de l’auteur. A-t-il voulu nous
amie e fatale , qui décide du destin de
nous fait entrevoir l’intention profonde
dire tout bonnement: & Massouhre est
Fritz et diminnait ainsi l’intensité du
de l’auteur. Certes, elle nie meurt 'pas
comme çan? Non. En certaines sce¬
drame unique et du personnage de
de ces trahisons mesquines, mais bien
nes, certaines phrases, passe um souf¬
Christine. Car Christine est le seul per¬
Cavoir aimé un étre sans ame, d’avoir
fle dé grave amertume. A-til vonlu
sonnage de la piéce, et l’épanouisse¬
vécu dans cette atmosphère qui, pour
nous dégouter de vivre en nous présen¬
ment de son caractère passionné,
certains esprits, est irrespirable, at¬
tant un exemplaire de vie moyenne et,
ombragenx, intense ét jaloux, trop
mosphère de calculs, de réussites uni¬
en passant rapidement en revue, de la
jeune, en fait tout l’intérét. Pendant
quement matérielles, de petites mufle¬
naissance à la mort, la somme et cer¬
tous les épisodes de plaisir et de naiveté
ries quotidiennes, d’incompréhension
tains détails d’une existence que le vul¬
de ces deux actes, elle ne cesse de soup¬
et de platikude, ou les mensonges re¬
gaire peut trouver, selon T’apparence,
çonner un mystère, de se méfier des se¬
présentent la seule imagination, et on
favorisée du sort, malgré ses deuils et
creis de Fritz, de ses allées et venues,
on ne se console des déceptions amé¬
ses déboires? Après avoir réfléchi à
de ses détours, de ses silences, et l’effet
res ni par l’intelligence, ni par la beau¬
cette piece qui, maleré l’impression si
est beaucoup plus grand de ne pas voir
té morale, ni par la religion
pénible qu’elle m’a laissée, est l’euvre
celle-lä qui se croit, elle aussi, aimée, et
Mme Yolande Laffon incarne avec
d’un homme de talent et ne saurait étre
dui, par ses imprudences et la jalousie
le tact le plus exquis cette charmante
indifférente, j'ai pensé que Panteur
de son mari, causera la mort de Fritz.
Françoise, qui a toujours été denuee
avait voulu donner au public une sorte
Cette absente, cette invisible plane si¬
et misérable. Jeune, la pauvreté L’étrei¬
de leçon. Voyez Phorreur secrête qui se
nistrement sur toute l’aventure de jeu¬
gnait. Devenue riche, elle est dépouil¬
nesse et de gaieté, et est beaucoup plus
lée de tout amour, de toute confjänce,
présente à nos esprits que lorsque
de tout espoir. Elle a exprimé avec
nous l’avons vue à l’écran. Quand la
une rare délicatesse ces jalousies re¬
petite Christine apprendra que Fritz
frénées, ces déceptions quotidiennes, cc
TEMPS PROBABLE
est mort, tué en duel, et comment et
désenchantement sans, ressenliment,
M. Jacques Baumer esl parfaitten Mas¬
pougquoi, ce qu’il y.a de très beau en
soubre devenu homme. MM. Pacand et
gechractère de jeune fille c’est au'elle
Région parisienne. — Tomps asses
souffre moins de savoir Fritz mort qle
Rollin sont aussi très bien en Mas¬
bean, unageur arec beiles éclaircies aprés
Mapprendre qu'il est mort à cause
souhre enfant et jeune homme. Le
brume matinalé sourent faible. Pent variable
d’une autre. C’est de jalousie, de dé¬
premier tableau on Pierre Massouhre
on Est faible. Température stationnaire. Muxi¬
ception passionnée qu’elle va sans
nait, ne nous présente pas le nonvean
Mm 17
tont à fait amusante
midinette vienneise
MN. Saion et Herran
M. Balpéiré est rein
papa musicien et in
déja applaudir dans
Liebelei, Les Dernieh
represente avec le
un mourant qui, a
Phöpital, vent revoir
lui gächer le reste d
vélant un affreug se
Parrivée de cet umi h
pécher de confier S
projets à un compa
untacteur phtisique
krefaire tous les gens
masques, et qui fini
de jouer avec lui une
de l’entrevue fulure
par sa flèvre, se dre
c’est à cet étranger
confie, en lui faisan
celui qui va venir et
infäme doit desespé
ce véritable arrivant
et s’assied au pied de
rien. A quoi hon. E
sant.
Ger
—
POUR ECH
ES
UNE GAMINE
SE JETTE DAN
Oest und lamentabl
Goncourt eussent tiré#
Ruc Championnet, p
gnancöurt, une sorte d
se loger une Polonais
perdu en outre cing u
soht marics à Paris, 1o
encore élever une fill
Sonia, qui deja est un
gère et s’occupe de son
sept ans.
Aujourd’hui, Mie
dernier né pleurent Sot
jetée à la Seine pour
— à la vie brutale quf
elle sa griffe.
Le drame est simpl
dernier, après dejenne
son jenne frère cher
chaussures rue Letort.
boutique de # vins e
l’échope d’un cordon
gnichet, I’homme est
modo, les chevenx gris
mal rasé, un tablier 33
genoux la bigorne su
comme un sourd.
Lorsqu'il n’est pas 1
vant le zinc, sirotant
LA 1OU
—.
A fAre de Trion
Souvenir sera ranimée f
cale des anciene éléves d
A. E. T.
o heures — Gran
FIGARO
Aztrall de
Se PI CHAAPS ELISEES 14, VIn
Adresse
Date
5 OCTOBRE 1933
Signature:—
Expontion: —.—
Jacovzs Duvan est un de nosf Ses.
célebres jeunes auteurs, cl
CHRONIOUE
IV1. Jai pour son talent la plus
vive amilié. Son admirable
sens du theätre, son excellent dialo¬
DES TILATAES DE PARIS
apre ou comique, toujours empreint
dune experienee précoce et profönde,
font de ses pieces, toujours attendues
THEATRE DE LATHENEE; Priere pour les vivants, piece en trois
avec impatienee, des evenements du
& inonde de la scène 9. J'ai bien sou¬
actes et dix tableaux de M. Jacques Deval, décors de J. Boussard.
vent applaudi de grand ecur à ses
THEATRE DU VIEUX-COLO MBIER (Compagnie Pitoëff): Liebelei
succès. Je peux donc lui avouer que
et Les Derniers masques, pieces de M. Arthur Schnitzler, traduction
jai eprouvé an spectacle de Prière pour
les vivants une grande impression
de Mme Clauser, mise en scène dé Pitoéff.
des ce qu'un enfant de mes amfs nom¬
Flin
ZAT AR
mait e lugubrité v. Eh quoi! me direz¬
vous, ne pouvez-vous supporter à la
scène les sombres vérités de la trahi¬
degage d’une semblable existence ou
1.Raine, Tressy, Vanderic y jouent ex¬
son, de la mort et des agonies, enfin
tout est sans äme. C’est en vain que, à
cellemment leurs röles divers, ainsi
de ces lamentables réalités dont notre
la naissance de Pierre Massouhre, une
que Mmes M. Mellot, Doria, Fontan,
triste vie humaine est tissue? Mais si,
pieuse grand’mère a prononcé la e prié¬
Helly, Villars — tous menés par l’au¬
je les supporte: le théätre en est fait,
re pour les vivants2; ce vivant n’aura
teur dans un mouvement d’une vie
des tragedies aux drames, et nous n’en
pas d’äme. La mère, morte trop töt,
intense et disant les mots les plus amu¬
avons jamais voulu à un auteur de
manquera à celte enfance aride, à
sants. Ce n’est que peu à peu, alors
nous avoir Emus, bouleversés. Mais,
cette jeunesse délaissée. Son père Ctait,
que nous ne pouvons plus imaginer ce
ici, tout est volontairement déponillé
avant lui, est resté, un égoiste et un
que sera la vie de Pierre Massouhre,
de cette transposition artistique qui
jouisseur, et c’est cc que sera le fils
puisqu'il la déroule devant nous, que
permet au spectateur de tout admettre,
de Pierre lorsque Pierre sera mort à
nous nous sentons navrés par la misère
el, à force d’étre réelles, les scènes de
son tour et que Robert Massouhre, ai¬
generale et cet excès de basse réalité.
Prière pour les vivants ne nous sem.¬
mable gargon, fera des frais à la der¬
blent plus vraies. Et pourtant que de
nière conquéte de Pierre Massouhre.
talent dépensé à nous conter en quel¬
assis, elle et lui, sur le lit ou ce Pierre
gues épisodes la # vie privée de Pierre
Jai beaucoup gouté Liebelei, cette
Massoubre est mort. On voit le ton de
Massouhre . Ce Pierre Massouhre est
## bleuette 9 noire. Le film avait sé¬
la piece. Ce jour-la, ce Robert, à son
un bien pauvre homme; sans étre mé¬
duit, avant la pièce, et ses admirateurs
tour aussi, vient d’avoir un fils. La
chant, il est vil et menteur; il se con¬
schur ainée, encore bien petite, priera
front certainement an Vienx-Colombier
tente des réussites matérielles et des
seule pour ce nouveau-né, ainsi qu'une
applaudir Mme Ludmila Pitoeff dans
jouissances que lui donnent son ar¬
le röle de Christine. L’anditoire se par¬
aleule avait prie à la naissance de ce
gent, sa situation et les petites dames.
tageait l’autre jour entre ceux qui pré¬
Pierre Massouhre disparu, laissant la
Son manque absolu de vie intérieure
Mérgient la piece et ccux qui prétermient
place aux jeunes. Est-ce que cenou¬
nous empéche de nous intéresser vrai¬
le film. Le film, qui est charmant, a
veau rejeton, continuant la morne
ment à sa vie e rieure. Mais, enfin,
tiré- un parti tout spécial de la mème
chaine, sera depourvu, Jui aussi, de
M. Jacques Deva pourrait nous repon¬
histoire dramatique. Le Vienne d’avant
tout ce qui vous fait vraiment vivank?
dre qu'il a bien le droit de choisir un
cnerre, les paysages, les soirées à
Souhaitons-Jui de ressembler à la
mnorne héros. Je crois que s’il avait.
P°Opéra, les behüx uniforines, des ien¬
jeune femme de Pierre Massouhre, a
avec Prière pour les, vivants, éérit un
nes gens, autant de prestiges dönt la
Françoise, morte si vite, uste avant
roman au lieu d’une pièce, nous au¬
piece ne peut qu’être dépourvue. Par
T’age. C’est cette touchante Françoise.
rions pu saisir plus nettement l’idée
contre, le film nous montrait la belle
trahie par son mari, par son amie, qui
générale de l’auteur. A-t-il voulu nous
amie e fatale , qui décide du destin de
nous fait entrevoir l’intention profonde
dire tout bonnement: & Massouhre est
Fritz et diminnait ainsi l’intensité du
de l’auteur. Certes, elle nie meurt 'pas
comme çan? Non. En certaines sce¬
drame unique et du personnage de
de ces trahisons mesquines, mais bien
nes, certaines phrases, passe um souf¬
Christine. Car Christine est le seul per¬
Cavoir aimé un étre sans ame, d’avoir
fle dé grave amertume. A-til vonlu
sonnage de la piéce, et l’épanouisse¬
vécu dans cette atmosphère qui, pour
nous dégouter de vivre en nous présen¬
ment de son caractère passionné,
certains esprits, est irrespirable, at¬
tant un exemplaire de vie moyenne et,
ombragenx, intense ét jaloux, trop
mosphère de calculs, de réussites uni¬
en passant rapidement en revue, de la
jeune, en fait tout l’intérét. Pendant
quement matérielles, de petites mufle¬
naissance à la mort, la somme et cer¬
tous les épisodes de plaisir et de naiveté
ries quotidiennes, d’incompréhension
tains détails d’une existence que le vul¬
de ces deux actes, elle ne cesse de soup¬
et de platikude, ou les mensonges re¬
gaire peut trouver, selon T’apparence,
çonner un mystère, de se méfier des se¬
présentent la seule imagination, et on
favorisée du sort, malgré ses deuils et
creis de Fritz, de ses allées et venues,
on ne se console des déceptions amé¬
ses déboires? Après avoir réfléchi à
de ses détours, de ses silences, et l’effet
res ni par l’intelligence, ni par la beau¬
cette piece qui, maleré l’impression si
est beaucoup plus grand de ne pas voir
té morale, ni par la religion
pénible qu’elle m’a laissée, est l’euvre
celle-lä qui se croit, elle aussi, aimée, et
Mme Yolande Laffon incarne avec
d’un homme de talent et ne saurait étre
dui, par ses imprudences et la jalousie
le tact le plus exquis cette charmante
indifférente, j'ai pensé que Panteur
de son mari, causera la mort de Fritz.
Françoise, qui a toujours été denuee
avait voulu donner au public une sorte
Cette absente, cette invisible plane si¬
et misérable. Jeune, la pauvreté L’étrei¬
de leçon. Voyez Phorreur secrête qui se
nistrement sur toute l’aventure de jeu¬
gnait. Devenue riche, elle est dépouil¬
nesse et de gaieté, et est beaucoup plus
lée de tout amour, de toute confjänce,
présente à nos esprits que lorsque
de tout espoir. Elle a exprimé avec
nous l’avons vue à l’écran. Quand la
une rare délicatesse ces jalousies re¬
petite Christine apprendra que Fritz
frénées, ces déceptions quotidiennes, cc
TEMPS PROBABLE
est mort, tué en duel, et comment et
désenchantement sans, ressenliment,
M. Jacques Baumer esl parfaitten Mas¬
pougquoi, ce qu’il y.a de très beau en
soubre devenu homme. MM. Pacand et
gechractère de jeune fille c’est au'elle
Région parisienne. — Tomps asses
souffre moins de savoir Fritz mort qle
Rollin sont aussi très bien en Mas¬
bean, unageur arec beiles éclaircies aprés
Mapprendre qu'il est mort à cause
souhre enfant et jeune homme. Le
brume matinalé sourent faible. Pent variable
d’une autre. C’est de jalousie, de dé¬
premier tableau on Pierre Massouhre
on Est faible. Température stationnaire. Muxi¬
ception passionnée qu’elle va sans
nait, ne nous présente pas le nonvean
Mm 17
tont à fait amusante
midinette vienneise
MN. Saion et Herran
M. Balpéiré est rein
papa musicien et in
déja applaudir dans
Liebelei, Les Dernieh
represente avec le
un mourant qui, a
Phöpital, vent revoir
lui gächer le reste d
vélant un affreug se
Parrivée de cet umi h
pécher de confier S
projets à un compa
untacteur phtisique
krefaire tous les gens
masques, et qui fini
de jouer avec lui une
de l’entrevue fulure
par sa flèvre, se dre
c’est à cet étranger
confie, en lui faisan
celui qui va venir et
infäme doit desespé
ce véritable arrivant
et s’assied au pied de
rien. A quoi hon. E
sant.
Ger
—
POUR ECH
ES
UNE GAMINE
SE JETTE DAN
Oest und lamentabl
Goncourt eussent tiré#
Ruc Championnet, p
gnancöurt, une sorte d
se loger une Polonais
perdu en outre cing u
soht marics à Paris, 1o
encore élever une fill
Sonia, qui deja est un
gère et s’occupe de son
sept ans.
Aujourd’hui, Mie
dernier né pleurent Sot
jetée à la Seine pour
— à la vie brutale quf
elle sa griffe.
Le drame est simpl
dernier, après dejenne
son jenne frère cher
chaussures rue Letort.
boutique de # vins e
l’échope d’un cordon
gnichet, I’homme est
modo, les chevenx gris
mal rasé, un tablier 33
genoux la bigorne su
comme un sourd.
Lorsqu'il n’est pas 1
vant le zinc, sirotant
LA 1OU
—.
A fAre de Trion
Souvenir sera ranimée f
cale des anciene éléves d
A. E. T.
o heures — Gran