II, Theaterstücke 4, (Anatol, 5), Abschiedssouper, Seite 122

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4.5. Abschiedssouper
4
Telephon 12801.
74
Alex. Weigl’s Unternehmen für Zeitungs-Ausschnitte
Ausschnitt
+
Nr. 40
„O BSLIVEN
I. österr. behördl. conc. Bureau für Zeitungsberichte u. Personalnachrichten
Wien, I., Concordiaplatz 4.
Vertretungen in Berlin, Budapest, Chicago, Genf, London, Newyork, Paris, Rom,
Stockholm, Kristiania, St. Petersburg.
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+ #703
vom:
X
KESATZ

* 4
ke
Rsatre
BOUFFES-PARISIENS. — Roprésenta¬
tions de Mme Charlotte Wiehe
Nous avons revu avec plaisir, cette se¬
maine, l’intéressante comédienne qui fait à
Paris d’intermittentes apparitions et que nous
applaudimes encore, la saison dernière, à la
Renaissance-Gémier.
Son spectacle actuel se compose de trois [—
inclusive
Für
50 Z pièces: Colombine, drame en un acte de E.
Porto.
100
Korn, traduit par Jean Thorel. Nous en!
Zahlbar
200
avonsrendu compte iei mérne lorsque Mmc P.— im Voraus.
500
Wiehe le joua pour la première fois à. Paris.
„ 1000
Gest ensuite Souper d’adien, sehne de ros- schnitte ist das
Im
taurant de nuit de A. Scnitzler, adaptée par lich steht es den
Abonnemen
Maurice Vaucaire. Mme Wiehe y joue le röle zu ändern.
Abonnenter
d’une danseuse d’Opéra que son amant vent
quitter parce qu'elle lui coüte tropcher, etqui, g enthaltend die
Der
prévoyant le coup et le prévenant spirituelle¬
her Morgen¬
ment, parle la première de rupture au lächeur
Inhaltsang
Wiener Zeitung")
déconcerté.
blätter
wirthschaftliche
wodurch
Cette légère fantaisie est lestement enlevée lwird. Diese Mit¬
par M. Barré, fort amusant dans un röle d’ami
Leben des
confident, et par M. Prad, l’amant vexé, aus¬
theilunger
quels Mme Wielie donne la réplique avec sa
verve et sa fringance si personnelles.
Enün l’Homme aug Poupées est un conte
mimé de H. Bérény. En voici la donnée:
Un poête fatigué ne trouve plus Ies mots
pour exprimer sa pensée malade. Pour remé¬
dier à l’insuffisance de sa muse, le posie essaie
d’aimer des poupées ct d’en faire des eréa¬
tures idéales. On lui en apporte une tres jolic
toute rose. II entreprend de l’animer magné¬
tiquement. N’y parvenant pas, il la replace
dans sa boite etse laisse aller à un regain de
désespoir. Mais voici qu'il entend la poupée
chanter délicieusement une chanson composée
par Jui. HIlombe à genonx devant la marion¬
nette vivante, en qui il rcconnait alors une
femme aimée.
G’estdans cette scèneque Mme Wiche trouve
son plus vif et son plus légitime succès. Elle
mime admirablement ce röle de poupée:
mouvements saccadés, physionomie immo¬
bile, allure micanique, tout ccla est fort spi¬
rituehlement réussi.
M. Séverin Mars tient près d’elle le röle du
poéte. IIy donne une intense impression de
douleur vraie. Je lui reprocherai seulement
de ne pas mimer assez clairement les détails
de T’action.
En somme, soirée intéressante et bien com¬
posée.
Gamillo de Seinte-Croiz.
Telephon 12801.
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Nr. 81
„OBSERYER“
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Wien, IX/1, Türkenstrasse 17.
Ne10s— Filiale in Budapest: „Figyelö“
Vertretungen in Berlin, Chicago, Genf, London, Newyork, Paris, Rom, Stockholm.
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Dn ##nde Paris
vom: 4% 10 03
VLES PREMIERES —1
###üire des Escholiers. — Ze Rése, un
acte en vers de M. Claude-Rolland, musi¬
sique de scène de Mlle Jane Vieu. La
Prousse, comédie en 1 acte et en prose de
M. Schnilzler udaptée par M.Maurice Vau¬
entre. Da Duchesse Puliphar, fanlaisie ro¬
manlique en deux acles en vers de M.
Louis Arlus, musique de scène de M.
H. Bemberg.
Le théätre des Escholiers donnait hier au
MNouveau-Théätre son premier speclacle de
la saison.
Ces représenlations d'euvres jeunes nous
15.—
Für
ont offert quelquefois d’heureuses surpri¬
inclusive
28.—
Porto.
ses. Nous n’y trouvons celte fois rien qui
50.—
ssrte de l’ordinaire.
Zahlbar
110.—
Ze Réve est une imagination poélique

200.— im Voraus.
tmitée des Nuils de Musset etqui n’a point

gsausschnitte ist das
été écoutés sans quelqu'impalience. Mais je
auch steht es den
ne m’allarderai pas à la chicaner; j’y veux
Abon
oder zu ändern.
louer au contraire une aimable musique de
Aboni Mmne Jane Vien, et l'aubade, que l’auteur
en personne, d’une belle voix et d’un art
Auszug enthaltend die
savant a chantée dans la coulisse. M. Mon- Wiener Morgen¬
47
Inhal teux qui lisait, remplaçant au pied levé und „Wiener Zeitung“)
blä
##rie inserit au programme, et Mlle San-& und wirthschaftliche
wodu
Eboten wird. Diese Mit¬
Lebe
dra Fortier ont dit de leur mieus des vers:
theilt pleins de bonnes intentions.
Za Frousse ne manque pas de piquante 2co.
psychologie et elle nous donnait de plus
l’occasion d’apercevoir le charmant visage
de Mlle Lavergne. L’excellente artiste bien
secondée par MM. Berthez et Royer a gen¬
timent joué cette saynète.
Za duchesse Puliphar constituait le mor¬
ceau de résislance de la soirée; l’auteur
T’avait fait précéder d’un prologue nous
avertissant de l’absence de prétention desa
pièce. D’un savoureux pittoresque d’expres¬
sion, le morceau a été enlevé de verve par
cette exquise et süre comédienne quest
Mile Rose Syma, il a été vivement applaudi.
La piéce est conçue el écrite dans la
méme note. C’est lhistoire d’un bandit de
seize ans, prisonnier dans le chäteau d’une
vieille dame qui lui donne à choisir entre
la potenee et sa main.
Ce mauvais sujel de José n’est guère em¬
rrassé de scrupules. Il choisit pourtant
orde. C’est qulil aime Alix, la jeune et
cousine de la douairière: s’il avait le
libre, il sacrifierait aisément aux
nes surannés de la vieille dame pour
er sa vie; mais il ne sait point faire
sser su vie avant son amour.
a là de la couleur, de l’invention, du
mouvemenl, et de la poésie méme et quel¬
ques couplets bien venus; des promesses,
en somme, qui ne demanderont qu'à tenir.
Accompagnée d’une musique de sceneagréa¬
ble, cette fanlaisie avail pour principal at¬
trait d’interprétation Mlie Marguerite Ugalde
qui donnait au jeune brigand son char¬
mani visage et une fougue plaisante. Mlle
Cécile Caron est bien trop fine et jeune pour
celle grotesque duchesse Putiphaz. Elle y
garde une fine mesure et s’y plait eindépit
du röle. Mlle Sandra Fortier est corxette et
gentille dans la jeune Alice.