II, Theaterstücke 4, (Anatol, 5), Abschiedssouper, Seite 126



dael il fät sigue de deommper, ce qu’il ne se
fau pas dire deux fois. Vivette zereit bien
engrate de ns pas esuter au con du biron, ce
qu’elle fait à la grande joie de celui-oi, qui,
intérieurement, benit le cambrioleur. cause
indirecte des tendresses de la jenne limme.
Cette jolie pantomime, accompsguée au
piano per l’auteur, a été fort bieo jonée par
les trois artistes. Mlle Charlotte Wiche a un
jeu prime sautier, très en dehors, tres ex
bressif, et une physionomie des plus mobiles.
Avec cela elle est jolie, posséde de superbes
chevenx blosds et s’habille avcc habileté de!
costumes aux coulears chstoyantes, II n’est
donc pas étonnant qu’avectontes ces qualités
elle ait obtenue un très gros such 6#.
Adroit et expressil aussi en cambrioleur,
M. Paul Franck, qui ronlait des yeux à faire
peur à plus courageuse que Vivette. M. Tauf
fenberger a été un baron conveneble de tout
point.
Nous n’analyserons pas aussi longuemint
les deux piècea de M. Schnitz 1: Souper da
diet et Colombine, traduites par Ma. Mau¬
riee Vicaire et Jean Thoni. Trois ligues peur
chaque suffiront.
Souper dadieu, c’est la situation du due de
Richelien et de la marquise de Prie, dans Ma¬
demoiselle de Bellc-Iste. IIs s’étaient promis
de se prévenir lorsqu’ils ne se plairaient plus,
et vollà que les deux amourenx dénoncent en
meme temps le traité. Pareille aventure er¬
rive à Maurice qui, dans un souper d’adien,
devait rendre aa liberté à Louise, une célé¬
brité chorégraphique, et reprendre la sienne.
Mais il est prévenu par la ballerine, qui s’est
éprise d’on de ses collegues, un beau den¬
seur. Dépit de Maurice, naturellement, et
moqueries de Louise, qui finit par emporter
la moitié d’one beite de cigareg. a de##lent
pas pour moit s, crie-kelle en guise de fliche
du Parthe, en foyant d’un pied léger.
Colombine est plus dramatique. C’est l’a¬
venture d’un certain Paillasse qui s’est telle¬
ment engoué d’une actrice qu’il l’a épousée.
Mais c’est une créature frivole qui re pemse!
qu'à scn toiletter, à ses ca prices, et qui déper.
se beauooup plus qu’elle ne gagne. Aussi ac¬
oueille-t-olle favorablement le baron Arlequin,
qui possede vingt millions; elle espere qulil
contribuers à son luxe.
Peillasse, pour satisfaire sa femme, vole
une somme rondelette à la banque cu il est
oyé, puis va le joner. La chance lai est
bie et il revient tout joyenx vers Co¬
ine, lorsqu'il surprend un billet de mille
francs remis per Arlequin et dont elle ne veut
pas avouer la provenance.
Paillasse, fon de douleur, vent d’abord tuer
Cofombine, mais elle le cajole et il fait gräce,
mais pour aller se brüler la cervelle.
Cet acte aurait bien convenu aussi pour
une pantomime, le sujet étant plutôt mince
et ne comporte que trois scènes; l’auteur a
düy penser en # flublant ses personnsges des
Roms de la comédie italienne.
M. Paul Frauck s’est montré d’un dépit
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