VI, Allgemeine Besprechungen 2, Ausschnitte 1933, undatiert, Seite 36

en . Se
1

la France: Le mpstère des dmes, qu'on
moins à cause de l’enchainement des
rent pour la representation du
presses de lirre qui n’ait été impring
voit des maintenant à l’étalage des li.
S’einpresseront filies ei souten
faits qu'en raison de la sulte logique des
arec un soin ectréme, grüce d Templot
braires, et Thérèse qui a été retenu par
vriers heureux, petits bourgeois
idées.
de edracteres aussi nets qu’ils sont 6i6.
L’édition Albin Michel.
WINWC
Ab! les retours aux lumières
gants.
Cette remarque est suggérée partien.
elles, allument tant de poésie
Aussi la firme Papot continnest-elle d
lièrement par Leutnant Gustl, récit
Le fantaisiste er le philosophe
se la perçoit.il? Certes, non. )
etre Timprimerie officielle de UInstitut
qui, depuis sa parution (1901), a fait
reçoit. Elle le prend, se joue à
de France. Elle publie et met en vente
le tour de l’Europe centrale, II seralt
C’est à Paris, pourtant, que Schnitz.
émerveillés de plus en plus,e
les actes officiels des différentes acd¬
trop long d’expliquer les faits à la suite
ler, influencé par les lettres françaises
comme une griserie lente. 18 !
démics.
desquels le ieutenant Gustl. type parfalt
Les employées de la Maison
vers sa vingtième année (c’est.ä.dire
Elle n’a pas abandonné non plus ses
et un peu caricatural de l’officier autri.
tent de leur travail, et, de mas
Taux environs de 1882), fit jouer d’abord
antres publications savantes, telles que
cquet
chien, tel qu'il était avant la guerre. se
Tune des sept petites pièces en un acte
magasins, c’est la mème
la collection dans laquelle elle d impri¬
voit placé entre ces alternatives: ou le
qu'il écrivit à cette époque sous le titre
brugante. De cette fonle ei
mé unc lonque suite k’étndes sur
déshonneur ou le suicide. Toujours est.
général d’ärter. De ces amusantes co.
Emaue une poésie que l’enfau
IOrient et sur la Gréce clüssique.
il qu’après une nuit d’angoisse — car il
mort tragique du
aussi, mais plus Aprement. Et
médies il avait concu ie thème et l’es.
Muis d ce vieun fonds qui continue
alme la vie, et s’en aperçolt parmi les
.Voici un evurt
pli de cette poésie de la foule,
prit en lisant Les petites Cordinal. L’hu¬
d séduire la partie la plus intéressante
parfums printauiers du Prater — il ap.
un moment relative¬
tre chez lui, le cceur un peu ##
mour et la fantaisie sont restés, depuis
des lecteurs français, Papot, depuis peu
prend que l'’homme qui pouvait le désho.
lors, dans son tempérament. Mais de
pour ses dix ans.
ie du poéte son
de temps, d ajouté un élément nouveau:
combien d’éléments nouveaux ne s’est- inorer est mort d’une embolie avant d’a.
Le spectacle fut semblable
pour le grand public, cette maison édite
a recueilli à Dur¬
volr eu le temps de parler. Le lieutenant
jour ou, ayant quitté l’école pi
elle pas enrichle, cette personnalité qui
maintenant des lirres de haute vuloa¬
la Bretéche. II y
Gustl, ivre de Jole, pourra donc vivre.
petit Dabit entra en apprentis
s’est orientée de plus en plus vers une
risation, éclairés par d’ercellentes gra¬
II se rappelle à ce moment qu’il dolt
Im roman, recherche
un serrurier.
philosophie profonde ! Cette philosophie,
vures et dont le terte a été confié, du
se battre en duel dans aprés.midi avec
n, si proche de lui,
Schnitzler n'aime pas à l’exposer en for.
reste, d des écrivains de premier or.
un autre officier.
me de traltés. Deux fois seulement —
dre: Paut Valèrp, par eremple. Chacun
Le monde du travail
II oublie aussitôt toutes les refléxions
dans un recuell d’aphorismes d’abord,
de ces livres sur grand papier est mis
que la pensée de la mort lui a inspirées
Ce contact brutal avec les h
puis dans une dissertation intitulée :
en vente au prio de trente fruncs, prin
et, bien incapable d’éprouver pour son
teint cruellement les sensibit
Lo parole dans Taction et l’esprit dans
qui doubie à peine celut d’un maurais
adversaire la pitié qu’il a éprouvée pour
fines des gamins. Ces hom
T’action — II a consenti à exprimer ses
roman.
soi.méme, il s’écrie intérieurement:
illeurs, à Poccasion,
idées en termes exphicites et dans un
D’autre part, la maison Payot d en. frustes et naturels. Raremen
a Tol, mon vleux, je te rédulral en chair
gent à dissimuler. Leurs dé
Foccupations par de
esprit presque mathématique. Mais les
Utrepris de publier, dans une forme tou¬
à patée 1 „
peines, leurs Joles, leurs
seuls titres de ses nombreux ouvrages
ses. C’est ainsi qu'au
jours soignée, les cuvres des auteurs du
leurs amours, lis les étalen
suffisent à prouver qu’il alme mieux
woyages à Besangon,
die.neuvième siecle — Chateaubriand
Audaces
par le besein de communion
por erempie. Le prio abordable de ces
ferner un journal de
L’auteur dramatique qul, en Schnitz.
simples. IIs se montrent la#
livres séduit autant que la fidélité du
que Pengand, indul¬
ler, se rencontre avec le conteur, est vo.
temps, tels qu'ils sont. Quel i
terte et la présentation tupographique.
Vles mots, a quali¬
lontiers spirituel, comme dans la Ronde,
veau apparaft aux yeux de
Enfin, Papot a fondé une nouvelle
pièce que Mme Falconetti a décidé de
ou plutôt quel monde au doub
collection de critique et dhistoire litté.
créer à Paris la saison prochaine; mals
Volel donc les hommes 7 IIs
raire, collection dans laquelle vient de
Le 27 mars 1904, les
III est aussi très audaclenx. On cite en
un peu, avec ces bour ades
paraitre, notamment, l’Histoire de
bbs annongaient Jous
exemple des scandales que sa hardiesse
pour eux la marque de T’affe
I’Académie Goncourt, écrite par Léon
psychologique peut provoquer les protes.
Deffoug. On voit que ces innovations lei done le travail ? Rude lab
#s que, la veille, un
tations que souleva, précisément, la Ron.
sont conformes dum principes de lu so. Ime grince, arrache les oreit
rendait d sa vigne
de, dans une ville d’Autriche.
Ges mots directs des hommes
# au lien dit Saint¬
Raymond MILLET. lide et utile maison Payot.


hmme P#assant age
Weafde fiann
d RSRU
Suiaatuinga ien
##g aus. Les constata¬
Puipaiunimgtin
K
köt pur M. Félicien
920
##
es papiers trouvés en
défunt avaient per¬
EN ETBAN F LESREv6.
corps pour etre ce¬

WDeubel, o iginaire de
JOACHIN DU BELL
sau hameau de la Ba
ment d'un désir sexuel. II est, en cé
RIEN DE NOUVEAU
Arthur Schnitzler
à un zuicide. a Lo
Oest un véritable article
cas-lä, avant tout une fiction; l’hom¬
ePetit Comtois, se¬
O. Brackfeld. Kattache à montrer
me désirerait volontiers avoir accom¬
scomplet et profond, aue E
seite funeste détermi¬
Itraduire sa philosophie par des récits —
riot, dans ie Temps, conso
pli son devoir; redoutant la solution
aur lecteurs de la Revue mondiale que
des récits objectifs, malgré la subtilité
réelle, il recourt à une supercherie qui
Ila pensée du docteur Adler (dite l’in¬
chim du Bellay. Voici com
de T’analyse.
ractérise les Regrets:
ne sert qu'á le tromper lui.méme.
Idividualpsychologie), en réaction, dans
que Léon Deubel,
Ila nouvelle philosophie allemande, con¬
Après cet exposé M.Brachfeld mon¬
Si les Regrets sont tou
Ede sa dlume rédigs
Déterminisme et libre arbitre
tre le systheme de Freud, a en des
Elégiaque, soupirant ses 7#
Itre que Roussean et ses personnages,
Stait das étranger à
Mademoiselle Else, livre de deux
brécurseurs en France.
en ce qui concerne les reves ont été
me Ovide et qui un jour,
Bournalistes bisontins
cents pages dans lequel l’auteur déroule
Tandis que pour Freud tout réve est
ment, saura faire jaillir
adlerins avant la lettre.
### de publier à Penvi,
devant nous comme sur un écran, les
la réali#ation de nos désirs sexuels et
sonnet Heureur qui comm#
Cependant le mérite d’Adler n'en est
secrétes réflexions d’une Jeune fille, ne

inconscients. Adler, en réagissant con¬
fait un beau voyage, ils r##
permet pas aux lecteurs français de pé.
point diminué; il a retrouvé ces idées
suivant, 3 avril, ie
tre les excès du freudisme, s’est en¬
en Joachim le premier de nc
nétrer à fond sinon l’art de Schnitzler,
par ses moyens, indépendamment de ses
testait dans le Flam¬
gagé dans une autre direction. C’est
du molns la conception qu’il s’est faite
lie peintre tour à tour ma
illustres précurseurs.
Wefüct dar une letire
du monde et de la vie. Du reste, il in.
à tort, dit-il, que Freud considère le
ral, indigné, ironique ou ve
troduit d’ordinaire, dans ses courts ro.
ebdomadaire. Le #l1-
réve comme la zia regia qui nous con.
[laideur, de la sottise et d
mans, plus d’action et plus de pathéti.
sa détestable imagina¬
duit à l’inconscient, en lui attribuant
Isie humaine, dont Rome luf
que .On en jugera mienx gräce à Theré.
it #le cruel bénéfice
eine telle importance dans notre vie
chaque jour le spectacle h
se qui, par les soins de Mme Clauser,
Intieipéesn. lI se gaus¬
psychique; en réalité il n’est qu'éga¬
leur et sans cesse renouv
doit être publié à Paris au début de
: M. Cornu, bien in¬
ent un symptöme parmi d'autres
l'année prochaine. Thérèse est un de ces
„Eut-i, ce charmant
êtres médlocres, un de ces humbles con.
#ère et de qui 'e nom,
symptömes (auch ein Sympton); sa
quelque consolation en Ita
damnés à une existence obscure, sur les.
wäla quatrième décli¬
valeur du point-de-vue caractérologi.
suppose. II n'e pas mélé

quels Schnitzler aime à se pencher. II
Eculair: eremple de sa
que ne dépasse pas presque toujours
d’amour à ses Regrets
nous raconte avec une émouvante 80.
1 0, donnait à rire par
celle de l’écriture, la mimique, la dé¬
il l’aurait pu, puisqu'il eut
#in, d reprochait, de-briété la pauvre vie et les déceptions de
marche, voire celle de la position que
du Tihre une tendre et
cette institutrice. Séduite par un homme
F bien incapables de
nous occupons pendant le sommeil,
qui, bien entendu, l’abandonnera au lieu
aventure avec une belle Rd
bur a pieuses gens de
de l’épouser, elle a un fils. Lorsqu'il
tous phénoménes trés significatifs pour
Ia célébrée dans une suite d
vient au monde, elle a envie de le tuer.
la Meuschenkenntnis, la connaissance
vop lu Edgar Poe v.
les Poemata, que certains
Mais l’instinct maternel l’emporte. Elle
de l'homme. Le réve dans un nombre

gnent à ses quvres, sans
élève l’enfant, espère qu'il la consolera
prépondérant des cas, est un entraine.
probablement rencontré jut
de tous ses débolres. Mais II se révèle
ment: c’est la transition d’une situa¬
coup de lecteurs. IIs n'ava
sous le plus sinistre jour et devient un
zu bruit. Pas autant
tion à l'autre, en somme, la préparation
Itraduits avant l'heureuse
mauvais sujet; un terrlble eriminel,
#comptait le meneur de
mème, puisqu’ll la tue. Dans la minute
de l’acheminement vers les buts, réols
adonnée, en 1923, M. Thi
Car, s'i avait cédé, a
ou il la frappe, la pauvre femme a l’im.
ou fictifs de l’individu. II est l'anticipa¬
sous le titre les amcurs
pression qu'il se venge du mal qu'elle a
Vpériode électorale qui
tion d’événements futurs, mais dans un
Plus que l’iraginaire Oli
voulu luf faire quand il vint au monde.
Weuse, au désir de mo¬
tout autre sens que Freud le croit;
a existé. Elle avait un man
Avant de mourir, elle dit à un témoin
chinion amusée, un ad¬
quelquefois un individu, tout en étant
l’enferma dans un couvent
de son agonie: d Déposez en mon nom,
die du parti de Vinstt¬
préoccupé de se libérer d'un devoir
kut avisé de sa disgrace.)
dites aux Juges qu'ils l’absolvent, car 11
kpait obéi surtout à la
qui commence à slimposer à lui, voit en
ne m'a falt que ce que j'ai voulu lui
ra sa maitresse. A la fin
André Berge qui vient de feire porai.
#e se poser, par cette
faire. 9
réve sa täche résolue; dans un pareil
rendue, mais peu de jours
trecher Plon un noureau lore, La Jeu.
Vous discernez l’idéologie: Ihomme
bonne fois en bedette
cas, sans doute, le réve est la réalisa¬
Ite fixée pour son retour 6
ne peut pas échapper à sa destinée et,
c. Aucun doute 10 des¬
au fond, il en est luLmème la cause. Cet Ition d’un désir, mais pas nécessaire. Inesse interdite.
contiennent des ##ges émues, des scé-Idescriptions des pavsages.
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